Le partie pris des choses/ Francis ponge

Cahier du lecteur 

parti pris des choses de Francis Ponge 

poèmes choisies :

- Pluie (p.11)

- Les mûres (p.17)

- La bougie (p.19)

- Le feu (p.27)

- Le papillon (p.39)

- Végétation (p.77-78)

l ‘ensembles de ces poèmes parurent dans le recueille le parti pris des choses de Francis Ponge en 1942. ce recueille réunis des poèmes écris en prose qui décrivent des événement ou des objets du quotidiens tel que le cycles des saisons ou encore la cigarette, par exemple. Ce recueil est en opposition au mouvement de l’époque qui étais celui du surréalisme, car le poètes va tenter de nous faire porter un regard nouveau sur ces  « chose » d’où le titre du recueil.

1er poème :Pluie (p.11)

  Dans le poème  pluie, le poète décris avec précision la pluie et ses nombreuses tonalités et sons, qui sont également retranscrit dans le poème par des assonances notamment en « i » qui renforce cette sonorité de la pluie.Il y a également les allitération en « s » et « l » dans « alors si le soleil reparaît »(l.29) ligne combiné aux assonances permet de crée cette écriture musical de la lecture. La pluie et enfin comparée a « un mécanisme  compliqué »(l.20-21) d’une horloge et compare la pluie a une machinerie qui fini par s’arrêter tout comme la pluie lorsque le soleil reviens. 

J’ai donc choisie ce poème car malgré sa forme en prose, le poètes arrive tout de même a joué sur les sons et les tonalités en nous faisant porter un regard plus précis et mélodieux sur la pluie qui est un évènement banal et sans rien de spécial pour toutes personnes qui n’entant pas cette mélodie à travers le sons des gouttes notamment en allant jusqu’à décrire cet évènement en apparence simple en un mécanisme complexe.

2ème poème : Les Mûres (p.17)

 Dans ce poème, « Les Mûres », Ponge se livre à une description du fruit et de l’objet poésie lui-même. La mûre n’est pas un fruit évocateur , comme la pomme du désir et de la faute, . Les mûres sont un fruit pauvre en jus,  un fruit dont il n’y a pas grand chose à tirer,  mais leur simplicité et leur fleur les apparentent au poème dans le moment de sa création et de sa maturation, sa difficulté d’accès et la pauvreté de son jus sont donc directement liée a la poésie,il retranscrit donc le processus de création de poème à travers ce fruit. J’ai donc choisie ce poème car le poète arrive a retranscrit sa profession a travers ce  fruit, de plus le poème peux faire pensais au fleurs du mal car  les mûres deviennent image, symbole du poème.

3eme poème : La bougie (p.19)

La scène décrite se déroule dans une obscurité ressentie par le lecteur. Le texte débute d'ailleurs par le groupe nominal « la nuit ». L'expression « plante singulière » laisse entendre qu'il s'agit de quelque chose d'unique, de peu banal. Cette « plante » est en fait une métaphore imagée pour désigner la bougie.
La phrase suivante décrit les jeux d'ombres et de lumières dus à la lueur de la flamme. La bougie procure un éclairage limité dans la pièce qui laisse l'impression de masses sombres : « La lueur décompose les chambres meublées en massifs d'ombres ».  La « feuille d'or » est une figure métaphorique désignant la flamme de la bougie (du fait des formes similaires). Les mots « feuille » et « pédoncule » se rapportent au début du texte, « une planté singulière ». Ces trois termes se réfèrent au champ lexical de la plante, à la nature végétale. Ce poème a pour but de représenter la bataille entre la lumière et la nuit... L'obscurité fait penser au conflit entre la vie et la mort. Une bougie au milieu d'une pièce, elle vit, elle permet de faire un contraste entre la lumière et l'ombre, mais elle s'éteindra comme tout le monde. L'auteur le fait sentir, la bougie est forte, rigide sur sa colonnette d'albâtre, puis elle est menacée, elle s'incline, elle est soumise au temps.  Elle permet de représenter le temps qui s’écoule, elle s'incline, elle se tasse, elle fond,  comme l'être humain : lui il naît, il vieillit... La bougie semble envoyer un signal au lecteur (« Au brusque dégagement des fumées originales encourage le lecteur ») afin que ce dernier ne soit pas surpris, qu'il termine sa lecture avant que l'obscurité prenne le dessus.
Francis Ponge fait de la bougie un symbole, cet objet symbolise l'opposition entre la lumière et les ténèbres. La flamme de la bougie est la représentation du vivant. Tant que la lumière est là, la vie y est aussi...

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