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Le lac Alphonse Lamartine

Fiche : Le lac Alphonse Lamartine. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  16 Mai 2020  •  Fiche  •  1 321 Mots (6 Pages)  •  707 Vues

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Plan détaillé

Introduction

  • Sujet amené :

  • Époque : Autour de 1820 (19e siècle) : publié en 1820 et composé en 1817
  • Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine
  • Titre de l’œuvre/de l’extrait : « Le Lac » extrait des Méditations poétiques
  • Date et lieu de publication : Composé au lac Bourget e publiée en France
  • Courant, genre et forme littéraires : Romantisme, poétique et Élégie
  • Lien avec le contexte : Inspiré de la mort de Julie Charles, une jeune femme qu’il a tombé en amour dès le premier contact lorsqu’il l’a sauvé de noyade, mais qu’il a perdu aussi vite.
  • Sujet posé :

  • Démontrer, dans le poème « Le Lac », que le poète cherche à dénoncer la puissance du temps et que la nature protège son souvenir du bonheur.
  • Sujet divisé :
  • Poète dénonce la puissance du temps
  • La dominance de la nature
  • Lamartine demande à la nature de garder les souvenirs une fois vécu

Développement Argumentatif

  • 1er argument Principale – Poète dénonce la puissance du temps
  1. 1er argument secondaire – Méditation sur la fuite du temps 
  1. 1e preuve : procédé + citation + commentaire
  1. Démonstration de perte de temps, démontrée avec l’utilisation de champ lexical du temps lors de son poème.
  2. « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges …/… Jeter l’ancre un seul jour ? »

 

  1. 2ième preuve : procédé + citation + commentaire
  1. Le poète utilise encore les champs lexicaux du temps pour aider à comprendre cette fuite.
  2. « Le temps m’échappe et fuit » ou « suspend ton vol »

C.A. : Lors de se paragraphe il est possible de voir que le poète met beaucoup d’emphase sur la perte de temps, mais qu’il est impuissant face à celle-ci.

  1. 2ième argument secondaire – L’impuissance face à cette fuite
  1. 1e preuve : procédé + citation + commentaire
  1. Pour bien exprimer une telle impuissance, le poète utilise beaucoup de verbe au participe passé.
  2. « Mais je demande en vain quelques moments encore… »
  1. 2ième  preuve: procédé + citation + commentaire
  1. Le poète utilise des idées contraires très rapproché (Antithèse) pour démontrer que le temps détruit tout ce qu’il aurait espéré avoir un seul jour.
  2.  « Ce temps qui les donna, ce temps qui les effaces »

C.B. : Présenté ci-haut, un paragraphe où le poète démontre son impuissance complète envers la nature.

        C.I : Lors des deux premiers paragraphes le poète dénonce son impuissance totale sur la fuite du temps. Pour continuer, il est aussi possible de comprendre et de voir la dominance de la nature par-dessus toutes autres êtres.

  • 2ième argument Principale – Dominance de la nature
  1. 1er argument secondaire – L’humanité de la nature
  1. 1e preuve : procédé + citation + commentaire
  1. Le poète doit parler à quelqu’un, mais personne n’y est alors il parle à la nature et ceci peut être vu lorsqu’il attribue des qualités à celle-ci.
  2.  « T’en souvient-il ? » ou « Regarde ! »

  1. 2ième preuve : procédé + citation + commentaire
  1.  Le poète s’adresse à la nature d’une manière directe et personnelle. Pour démontrer cette communication, il utilise les apostrophes à plusieurs reprises.
  2.  « Vous » ou « Ô lac ! »

C.A. : Le poète est dominé par la nature et celle-ci devient la seule à l’écouter. Il humanise celle-ci et vide son sac en exprimant tous ses sentiments qu’il lui son venu lors de mauvaise nouvelle par rapport à sa belle Julie.

  1. 2ième argument secondaire – Le besoin de parler
  1. 1e preuve : procédé + citation + commentaire
  1.   Lors de ce poème il est évident que La Lac reste la place la plus heureuse au moment présent pour Lamartine. Il utilise du superlatif pour démontrer la joie et le bonheur.
  2. « Des plus beaux de nos jours »  

 

  1. 2ième preuve : procédé + citation + commentaire
  1.  Le poète se sent tellement seule en cette présence de mauvaise nouvelle qui le détruit et il doit en parler avec quelqu’un. Cette espèce d’humanisation de la nature y permet une paire d’oreille et lui permet de vider son sac de ses sentiments.
  2.  « Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire… »

C.B. : Malgré la douleur du poète, il comprend que la nature et que Le Lac lui, vont toujours rester des souvenirs positifs lorsqu’on parle de cet endroit.  Il cherche à créer un lien avec la nature pour qu’il puisse s’exprimer.

        C.I. : Dans les paragraphes du deuxième argument principale, il est possible de comprendre que le poète chercher à parler à quelqu’un et cette personne pour lui c’est la nature. Il lui donne de la vie en essayant d’exprimer ses sentiments et lui parle de ses douleurs. Dans le prochain il demande à celle-ci de garder ses souvenirs une fois vécu.

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