Le colonel Chabert

Nous alons étudier deux extraits du roman Le colonel Chabert , le texte A "Le triomphe des apparences" (p.99-100 de l'édition G-F) et le texte B "l'excipit" (p.128-130 de l'édition G-F). Nous allons montrer dans un premier temp qu'elle est la place de Derville dans le roman.

Dans le roman Derville est un avoué pas comme les autres, lui est pour la justice, c'est pourquoi il a décidé de défendre le Colonel Chabert même s'il

savait que c'était casiment peine perdu, comme dans Le triomphe des apparences "en voyant la femme du compte Chabert, riche des ses dépouilles; tandis que le malheureux vivait chez des pauvres nourrisseur aux milieu des bestiaux" Derville se dit "La morale de ceci est qu'une jolie femme [...] en perruque de chiendent et en bottes percés". Mais Derville a toujours défendu la cause du colonel, même après qu'il est abandonné le procés, comme il l'est montré dans l'excipit "- Quelle déstinée ! Sortit de l'hospice des enfants trouvés [...] aidé Napoléon à conquérir l'Egypte et l'Europe.

Nous allons montrer dans un second temp, quelle vision de la société proposent ces deux textes.

Dans les textes Derville montre comment était la société durant la restauration, une société ou seul l'argent domine. Derville nous fait une description de la comtesse et de son milieux de vie luxueux, il nous décrit les lieux "une jolie salle à manger, avec un singe attaché par une chaîne; l'argent, le vermeil, la nacre étincelaient sur la table, il y avait des fleurs curieuses plantées dans des maginfiques vases en porcelaine; La femme du comte était riche, au sein du luxe, au faite de la société." il en fait également une description physique "La comtesse était enveloppé dans un élégant pégnoir, les boucles de ses cheveux, négligement [...] lui donnant un air mutin. Elle était fraîche, rieuse". Or dans l'excipit il nous décrit les vices de la société en elle même et les horreurs qu'il a pu voir "nous autres avoués, nous voyons se répéter les mêmes sentiments mauvais, nos études sont des égouts qu'on ne peut pas curer; j'ai vu des crimes contre lesquels la justice est impuissante."

Ce qui montre que durant la Restauration la société reposait sur une seul chose, l'argent.

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