Le Rouge et le noir interview Stendhal

Je suis né sous le nom d’Henri Beyle, le 23 Janvier 1783 à Grenoble, j’ai perdu ma mère a l’âge de mes 7 ans étant très attaché a elle j’ai donc énormément souffert. J’ai été pris en charge par la suite par ma Tante et mon oncle très strictes, mais j’ai été sauvé par mon grand-père maternel qui m’a bien elevé. j’ai essayé d’aller a l’école polytechnique de Paris, sans succès. En Grandissant l’héritage de mon père disparaît, je suis donc obligé de trouver un moyen de survivre alors je vais écrire De l’amour, La vie de Rossini en 1826, je vais aussi tenir une chronique dans « Le journal de Paris », Je deviens romancier et écrit mon premier chef d’oeuvre en 1830 : le rouge et le noir.

Stendhal est mon nom de plume, je l’ai choisi lors de mon voyage en Allemagne, plus précisément dans la ville nommée Stendhal où j’ai occupé un poste administratif très important,  mais aussi surtout pour échapper a ma famille que j’ai décidé de me nommer ainsi.

Comme j’ai rejoins l’armée Italienne j’ai évidemment voyagé en Italie, L’Italie mais notamment Milan m’a charmé, le pays était sublime mais l’armée moins, alors je suis partie en Allemagne, en Autriche afin de servir autrement le pays, mais après quelques années je suis retourné m’installer en Italie et j’ai visité Rome, Naples, Florence qui par ailleurs m’en a valu un surnom, j’ai aussi rencontré quelques de mes amours là bas.

J’ai effectivement rencontré des femmes, en 1801 j’ai rencontré Angela Pietragua, mais en 1815 elle m’est infidèle et je décide de rompre avec elle, je n’ai pas écrit pour elle mais je suis tombé en dépression. En 1818 je me découvre une passion amoureuse pour Matilde Dembowski, qui n’était malheureusement pas réciproque mais j’ai écrit inspiré d’elle De l'amour qui se présente comme « une description détaillée et minutieuse de tous les sentiments qui composent la passion nommée amour ». Quelque années plus tard je devient l’amant de la comtesse Clémentine Curial, avec qui je vais vivre un amour très agité, grâce a elle je vais publier une deuxième version de Racine et Shakespeare où je répond aux attaques contre le romantisme.

J’était un témoin et acteur privilégié des campagnes militaires de Napoléon en Europe. J’ai fait toutes les campagnes militaires à partir de 1800, sauf deux : la campagne d’Autriche en 1805 (Je suis alors à Marseille et est totalement désintéressé de la vie politique et militaire contemporaine, au point que l’on ne trouve même aucune référence dans mes journaux et lettres de l’époque à la victoire d’Austerlitz le 2 décembre) et la guerre d’Espagne de 1808-1809. Durant les périodes d’occupation ou de pacification qui suivent les batailles de conquête : pour la deuxième campagne d’Italie (1800-1801), Je suis sous-lieutenant mais la République cisalpine ayant déjà été rétablie, mon régiment se déplace de garnison en garnison sans avoir à livrer le moindre combat, de même en 1806-1808, je fait seulement la fin de la campagne en Allemagne contre la Prusse. Pour les autres campagnes en revanche, je suit de très près l’Empereur et ses troupes, en tant que membre du corps des commissaires des guerres (campagne d’Allemagne, printemps-été 1809).