La vie de l'écrivain

oouyu L'agent ne fait pas le bonheur » . Cet pauvre homme (en dépit de sa cervelle doté de richesses) perd peut à peut espoir d'une vie heureuse, à cause d'êtres qui l'utilise. J'ai pitié pour un personnage imaginaire. Je voudrais tant lui tendre ma main et dire « Les hommes ne sont pas tous bête et méchant », mais cela m'est impossible, donc je vous transmet le message.

J'ai grandi avec l'idée que l'écriture est un travail noble. J'ai ce respect enraciné pour le dur labeur fourni chaque jour et m'étonne de quoi votre propre « cervelle d'or » est capable. Je trouve que la rédaction de mes sentiments sur un support de papier m'aide à alléger un poids parfois trop lourd pour mon cœur simplement. Je vous conseil d'essayer. Non produire pour un publique de lecteurs assoiffés, mais pour vous même. De profiter de votre don avec une sorte d'avarice, sans en débourser jusqu'à épuisement pour les autres.

Je me suis empresser de prendre la plume dès m'être remise de votre triste histoire. Me voilà, toute heureuse un instant, puis une fois fini de la lire bouleverser, même ébranlées. Vos mots me peignent et suscite en moi le besoin fort de vous réconforter sur la mort subite et brutale de votre chère ami, Monsieur Charles Barbara. La perte d'un proche ou d'un compagnon d'arme - si si ! Je vous voient déjà secouer la tête - les mots sont autant, parfois si on les manie bien, encore plus blessantes qu'une des meilleures épées tranchantes, une chose qu'on juge insurmontable.

Mais le génie à un prix, fort élevé malheureusement. Les écrivains donnent et donnent. Ils ne reçoivent rien en retour. Ils s’épuisent en creusant sur des terres déjà retournaient à maintes reprises en quête de nouvelles inspirations, de textes qui dépassent toujours les précédents... Vos efforts ne sont pas en vain. Regardé autour de vous ! Sans ces pauvres artistes, tel que vous, le monde serait un fort triste endroit. Aucune joie, aucune forme d'ironie qui suscite

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