Jean Racine (hypote) Scéne

jean Racine écrit des tragédies au siècle du classicisme. Il puise son inspiration dans l’Antiquité sur les grands thèmes mythologiques. Phédre imite Euripide et Sophocle. Le personnage éponyme, fille de Minos et Pasiphaë, épouse de Thésée, ressent un amour incestueux pour son beau-fils Hippolyte. Pendant l’acte d’exposition, on apprend qu’elle s’enferme dans ses appartements et qu’elle se meurt. Œnone, sa nourrice et confidente, exprime son inquiétude à Hippolyte et lui annonce que Phèdre arrive. Hippolyte s’en va. Dans cette scène 3, Œnone conduit Phédre à avouer un amour jusqu’alors secret.

__Tout d'abord un aveu dramatique qu'Oenone arrivera péniblement a sortir aussi étrange que cela puisse paraître de sa propre bouche «Hippolyte¿grands dieux!»vers 24. on voit que dans cette scène Oenone usera habilement de ses sentiment amicaux envers phédre pour la faire avouer,de par sa fidélité «Madame au nom des pleurs que pour vous j'ai versés» ver.1 de par sa tendraisse « par vos failbes genoux que je tiens embrassés» ver.2 et de par sa soumission «délivrez mon esprit de ce funeste doute » ver.3 Phédre face un tél dévouement et acharnement (question rèthorique ex:aimez-vous¿vers17,pour qui¿vers 19) de la part de sa servante ne pourra qu'abdiquer après un long échange durant lequel Phédre aura tous le mal du monde a s'exprimer «ciel!que lui vais-je dire» ver.5.phédre térrifier a l'idée d'avouer ses sentiments incestueux a Oenone cherche a désigner un coupable,ici cité,Vénus «puisque vénus le veut »ver.15 ,a aucun moment elle ne se risque a prononcer le nom de cette amour interdit,qu'elle déteste tan «ennemi» vers.51 elle vas donc utiliser des périphrases pour le qualifier «fils de l'amazone»vers.22 «fils d'égée»vers 27.

__ensuite ont voit tous au long du paragraphe le registre tragique clairement employer «fatal» vers16. «mortel» vers 13 par des méthaphores «de l'amour j'ai toute les fureurs» pour décrire toute la passion qu'elle a enver lui vers.18 elle va méme juska se perdre dans ses propres sentiments «pour bannir l'ennemi dont j'étais idolatre» (anthitése) vers51 ou en utilisants des anaphores pour montrez toute l'horreurs de cette amour «O deséspoire!o crime!o déplorable race»vers.24 qu'elle a temps bien que mal essayer d'éloignez.

_enfin délivrée de ce secret qui la dévorer phédre peut alors éxprimer toute cette passion dont elle est litéralement aliéner «j'aime....a ce nom fatal,je tremble,je frisonne.J'aime» (hyperbole) vers22 des symptome qui au fur est a mesure bascule dans le champs lexical de la maladie «je le vis,je rougis,je palis a sa vue» (énumération) vers 31 ou encore «d'un incurable amour reméde impuissant» (oxymore) vers.41 un sentiment qui la ronge au plus profond d'elle méme et qu'elle ne peut contrôlé l'anime! Survient, à la fin de notre extrait, le présent de l’indicatif qui identifie définitivement le coupable: «c’est Vénus toute entière ».

Cette scéne constitue véritablement une scéne d'aveu puisqu'elle illustre une phédre honteuse «tu vas ouir le comble des horreurs» une phédre lache face a cette amour «c'est toi qui l'as nommé»une phédre affaiblie «ma blessure trop vive aussitôt a saigné » presqua

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