Introduction du commentaire organisé avec les questions sur le livre Thérèse Raquin

Introduction du commentaire Organisé : Ce texte est un incipit appartenant au livre nommé Thérèse Raquin, dont l’auteur est Emile Zola ,dans ce texte nous pouvons repérer un registre dramatique qui maintient le lecteur dans un état d’attente (suspense),mais également un registre pathétique inspirant au lecteur des émotions tristes et fortes devant une situation. Dans cet incipit c’est l’auteur qui prend la parole pour décrire la scène,on peut comprendre que ce narrateur est de type externe puisqu’il ne décrit pas les personnages mais seulement le lieu,on ne peut donc pas observer de dialogues.En lisant le texte on remarque que l’auteur emploi seulement du présent pour décrire les lieux .A l’aide de différents procédés, le narrateur suggère au lecteur le thème de la mort,et emploi principalement les pronoms personnels telle que «Les,le,la».Tout d'abord nous pouvons voir dans ce texte donne des différentes précisions spatial introduites par l'auteur comme les noms des rues bordant le pont-Neuf «au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient des quais» l1-2, qui nous permettent de situer le lieu .L'auteur fait en sorte que le narrateur puisse bien se projeter dans le lieu, rentrer dans l'histoire à travers cette description détaillé. problèmatique : Comment l'écriture naturaliste employé par l’auteur peut donner un deuxième sens à cet incipit ?

1) Montrez que cet incipit est réaliste. Vous développerez deux arguments. Dans cet incipit l’auteur décrit la rue Guénégaud en montrant d’abord son côté sombre (ligne 2) qui est précisé d’emblée et cette noirceur est accentuée par la saleté qui règne là bas: cela est bien montré dans le passage suivant «passage a trente pas (…) pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre» l.3-4 qui est censé susciter chez le lecteur un sentiment de dégoût et de malaise ce qui donne un aspect réaliste à ce texte.En suite la personnification «dorment vaguement dans l'ombre»nous donne l'impression que les objets pourraient se réveiller et se mettre à se déplacer; et à la ligne 15, le verbe s'agitent est associé à «des formes bizarres» : comme pour attester d'une présence étrange et même presque surnaturelle. Et ces formes proviennent de «trous lugubres» ,expression qui renforce à la fois le côté inquiétant et désagréable .Tous ces éléments continuent à créer une atmosphère étrange et inquiétante et le lecteur peut supposer que cet endroit sera soit le lieu d'un drame soit aura une très mauvaise influence sur les personnages de l’histoire car dans les romans réalistes, on note de nombreuse interactions entre les personnages et le milieu dans lequel ils évoluent, dans les deux derniers paragraphes de cet incipit de Emile Zola, nous trouvons également des détails morbides qui donnent encore plus du réalisme à ce texte. 2) Montrez que cet incipit crée une atmosphère lugubre. Vous développerez deux arguments.

L’incipit d’Emile Zola crée une atmosphère lugubre car l’auteur décrit les lieux, c’est-à-dire le passage du Pont Neuf et les boutiques qui s’y trouvent en leur attribuant un aspect obscure, sombre ; «corridor étroit et sombre » , et « des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau » et on peut clairement le remarquer dans le

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