Guillaume Apollinaire et la modernité

Guillaume Apollinaire et la modernité

Guillaume Apollinaire, est un des plus grands poètes du XXsiècle, est né à Rome le 26 août 1880., et il est mort à Paris le 9 novembre 1918. Après de bonnes études qu’il a effectuées dans des collèges religieux à Monaco, puis à Cannes et à Nice, qui ont formées son humanisme classique et l’ont teinté de quelque mysticisme frondeur, il s’était rendu à Paris en 1899, et s’était engagé comme précepteur dans une famille allemande. Par la suite il avait parcouru, le plus souvent à pied, la Rhénanie, la Forêt-Noire, puis la Bohême, enfin la Hollande, ces trois ans de vagabondage vont fournir à sa poésie, à ses contes, une foule de motifs et d'images. Apollinaire entretenait des liens d'amitié avec un grand nombre d'artistes et les soutenaient dans leur parcours artistique. Il était le premier poète à défendre et à expliquer l’art cubiste. C’est lui qui a lié la peinture à la poésie.

L’art de ce grand poète n’est pas basé sur une théorie mais sur un principe simple où l’acte de créer doit venir de l’imagination, de l’intuition car il doit se rapprocher le plus de la vie, de la nature. Mais l’artiste ne doit pas l’imiter, il doit la faire apparaître selon son propre point de vue, de cette façon, Apollinaire parle d’un nouveau lyrisme. Dans ses poèmes on a un jeu entre la tradition et l’invention, ou la tradition et la modernisation. D’un côté il y a une volonté de modérnité, et de l’autre côté il y a des éléments traditionels. Il ne se tourne pas vers le passé ou le futur, il suit simplement le movement du temps.

Dans ses poèmes on retrouve la juxtaposition des images-des images liéees au passé et au présent, c'est-à-dire les images sont directement mises en relation, et elles alternent tout le temps. Il y a, aussi, une combinaison simultanée de souvenirs et de sentiments personnels. Les poèmes d’Apollinaire ont souvent été inspiré par des femmes qui ont marqué sa vie, depuis Annie, la jeune anglaise de la Chanson du mal aimé, et Marie Laurencin dans Zone ou dans Pont Mirabeau puis Madeleine, ses amours du temps de la guerre, jusqu'à Jacqueline, de laquelle il parle dans "L’adorable rousse" dans son receuil Calligrammes.

Les deux plus connus receuils de ce grand poète sont: Alcols, et Calligrammes. Son premier receuil, Alcols est publié en 1913., et peut être une référnece directe à un oeuvre de Raimbaud „Le bateau ivre“, car Apollinaire était un des continuateur des livres de Raimbaud. D'abord, il avait choisi le nom „Eau de vie“, mais c'etait une ambiguité, on ne savait pas s'il sagissait de l'eau-de-vie, ou l'eau de vie, sans tirets,mais Apollinaire n'a pas résolu cette ambigité, il l'a laissé. Alcols est un receuil qui était écrit pendant 15ans. Le dernier poème qu'il a écrit, il l'a mit au début, c'est le poème „Zone“. C'est un poème qui montre toute la modérnité d'Apollinaire, et c'est pour ça qu'il est le poème liminaire. La plupart de ses poèmes ont été écrits avec la ponctuation, d'une façon régulière, mais au moment où il a fait des corrections, Apollinaire a décidé de la supprimer. De cette façon il a montré la modérnité de ses poèmes, et il a laissé au lecteur la possibilité de marquer son propre rythme, mais aussi il nous fait douter un peu sur le sense de certain vers. Dans ce receuil tout le monde moderne entre dans la poésie et devient une partie integrante. Apollinaire exprime une volonté de modérnité.

En ce qui concerne la longueur des vers, elle est inégale, il n'y a pas de rymes et le compte de syllabe est incertain.

Très souvent les vers n'ont rien à avoir l'un avec l'autre, comme si nous avions plusieurs situations différentes dans chaque vers.

Son deuxième receuil, Calligrammes, a ètè publié en 1918. Le mot “Calligrammes” est un mot inventé par Apollinaire pour designer un poème dont le texte est disposé en forme de dessins. Le

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