Fiche 39 Le mal du siècle
Compte Rendu : Fiche 39 Le mal du siècle. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar myriamchidiac5 • 23 Mars 2015 • 305 Mots (2 Pages) • 1 346 Vues
Le mal du siècle
Fiche 39
Fiche élève
Cette activité d’histoire des arts propose d’aborder le mal du siècle à travers la mise en relation du texte de Musset « Un monde désenchanté », extrait des Confessions d’un enfant du siècle (p. 352 du manuel), d’une biographie de Napoléon 1er et de deux tableaux : Bonaparte franchissant le col du Grand Saint-Bernard, de David, et Le voyageur au-dessus de la mer de brume, de Caspar David Friedrich.
ÉTAPE 1 Lire le texte de Musset
Lisez le texte d’Alfred de Musset « Un monde désenchanté », extrait des Confessions d’un enfant du siècle, p. 352 de votre manuel.
ÉTAPE 2 Mettre en relation une biographie de Napoléon Ier avec le texte de Musset
1. Ouvrez l’article « Napoléon 1er » dans l’encyclopédie en ligne Wikipédia ; lisez l’introduction de l’article, et la partie
(1.3.2 Napoléon et l’Église).
2. Quels éléments de la biographie de Napoléon 1er retrouve-t-on dans le texte de Musset ?
Réponse : Musset retrace une partie de la vie de Napoléon 1er. Pour commencer, il fait allusion aux conquêtes Napoléoniennes, qui ont conduit l'armée française à "Moscou" et en Egypte jusqu'aux "Pyramides". De plus, on retrouve une allusion aux conquêtes européennes de Napoléon. ("Par chaque barrière de ces villes, on allait à une capitale de l'Europe." ligne 5-6) mentionné par l'encyclopédie, qui énumère les villes conquises par l'empereur : Rome, Hambourg, Barcelone, Amsterdam. Pour finir, Musset met en avant le sacre de Napoléon 1er.
3. Par quels procédés littéraires Musset idéalise-t-il Napoléon ?
Réponse ::Napoléon est présenté avec une métonymie doublé d'une hyperbole et d'une métaphore : "Un sang brûlant qui avait inondé la terre" (ligne 2). L'empereur , dans le texte, est comparé à "un vent terrible qui fait frissonner tous les arbres." (ligne 33-34). Et pour finir, il est mit au rang des rois détrônés "portant leur main à leur tête, ils n'y avaient
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