Eric-Emmanuel Schmitt - Le visiteur résumé

Stefan Dinić

devoir-résumé no. 5

Littérature française contaimporain

20.05.2020.        

                           Le Visiteur – Éric-Emmanuel Schmitt

Dans la pièce de théâtre Le Visiteur Éric-Emmanuel Schmitt parle de fondateur de psychanalyse Freud et de sa fille, aussi que de leur vie à Vienne pendant l’occupation nazie d’Autriche en 1938. À travers l’histoire d’une nuit très intéressante, on peut voir deux aspects différents concernant le Dieu pendant cette période – premier qui est athée et scientifique, c’est celui de Freud, et l’autre qui est complètement religieux et c’est celui de personnage inconnu.

L’histoire commence par le dialogue entre Freud et sa fille Anna et, étant donné qu’il souffre de cancer de la gorge, on peut voir les derniers jours de ce savant. Cette conversation est interrompue par la visite de Nazi qui maltraite cette famille parce qu’ils sont juifs. Tout cela se finit quand le Nazi emmène Anna à La Gestapo, mais en même moment, quand Freud reste seul, commence l’histoire parce que l’inconnu arrive au cabinet de docteur.  Au début, cette œuvre semble d’être une simple pièce de théâtre qui parle de la guerre, mais avec la visite d’inconnu tout se change. Bientôt, on remarque le sujet principal – la question de religion, surtout la question qui porte sur l’existence de Dieu. L’attitude de Freud est évidente dans les dialogues avec le personnage dont on ne sait pas le prénom. La foi n’a aucune valeur pour lui parce qu’il est athée. De tout cela on peut conclure quelle était l’attitude de gens concernant la religion pendant cette période de guerre. À cause de tout malheur qui se passait, ils n’ont plus la foi, ils ne croyaient plus en Dieu car il ne venait pas de les sauver.

Freud pense que l’inconnue est un malade qu’il doit soigner, mais bientôt il est confondu parce qu’il obtient l’idée que son visiteur peut être Dieu. Il essaye d’appliquer tous les méthodes dans la guérison de personnage inconnu, même l’hypnose qu’il n’a pas utilisée depuis longtemps. Quand il voit qu’aucune méthode n’a pas de succès il commence à croire à sa présupposition. Malgré un grand engagement de Freud pour l’athéisme, il demande le personnage inconnu tout ce qu’il voudrait demander Dieu s’il existe. Sa présupposition est affirmée encore une fois quand Anna rentre à la maison et l’inconnu disparaît soudainement. Cet ouvrage nous permet de voir le traitement des juifs pendant la guerre, quand Anna parle de ce qu’elle a vu à La Gestapo, mais de plus d’incroyance en Dieu et aussi de l’incroyance de l’homme en lui-même.

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