Devoir 4, commentaire de corpus

Question sur le corpus.

Dans ce corpus trois textes sont regroupés tous ayant un point commun la comédie et la tragédie au XVIIe. La première scène est l’avare de Molière (acte V scène 3), dans cette scène il y a ce que l’on appelle un quiproquo, qui est une méprise consistant a prendre le discours qu’il tiens pour un autre, il y a la un exemple type du quiproquo, c’est une scène de conflits. Un malentendu entre Harpagon et Valere, le crime qui est évoqué ici est un vol, le vol de la canette contenant les Louis d’or, alors que pour Valere il s’agit de la fille d’Harpagon Elise. La ou Harpagon entend argent Valere comprend amour. Il y a donc une ambiguïté entre les mots « crime » et « trésor ». Valere est déboussolé face a la colère d’harpagon.

Le champs lexical présent dans le texte est celui de l’amour et de l’argent, celui du vol est également présent. Les champs lexicaux sont ambivalents le quiproquo persiste et l’ambiguïté du message se poursuit, on observe clairement un conflit de caractère et de valeurs morale entre les deux personnages. Chaque hommes évoquent sont bien le plus précieux, le sens des priorités ne leurs est pas égale. Les procédés utilisé dans le texte permettent de relever l’avarice d’harpagon, ce qui crée une dissemblance avec les sentimentalisme porté au paroxysme du jeune homme, à aucun moment Valere n’a songé qu’Harpagon pouvait faire référence à l’argent. Il ne voit que par l’amour porté a sa bien aimé.

Nous allons maintenant voir le second texte, Tartuffe acte V, dernière scène. Dans la dernière scène se joue un coup de théâtre. C’est la première fois que tartuffe se retrouve confronté à tous les personnage en même temps, mais une fois de plus il se montre maitre de la réthorique. Le prince lui n’apparait pas directement, il est présent dans l’exempt. Tartuffe dans l’exempt avance un nouvel argument et devient défenseur du prince: « de la part du prince » «le ciel » « mon devoir » « intérêt du prince » « devoir sacrée », on s’aperçoit aussi qu’il a pris la place d’Orgon, et utilise le pronom personnel « je ». Tartuffe dans cette scène est vu comme un défenseur de la puissance royale. Ici le prince est perçue comme un homme honnête ui rejette l’injustice. Dans cette scène des allusion sont faite a l’intrigue passée, notamment au début de la pièce. La fin rappelle la fin « deus ex machina » c’est a dire une intervention divine, le roi étant vu comme un représentant de Dieu sur terre, on peut en avoir l’exemple type dans cette dernière scène. Le dénouement est brutale et rapide cette fin étonnante est justifiée dans une longue tirade. Cette fin glorifie exclusivement le roi.

Ensuite, nous avons la pièce monsieur de Pourceaugnac de Molière, c’est une comédie ballet dans laquelle nous retrouvons le comique de mot grâce aux deux gardes suisse qui déforme très légèrement les mots de pars leurs accents prononcés. Il y a donc une distinction entre le langage soutenu de monsieur de Pourceaugnac et le langage familier des gardes suisse. Ce qui crée une rupture sociale. La situation est aussi perçu

comme comique car Monsieur De Pourceaugnac est travesti en femme.

Pour finir nous allons voir a quel type de comédie chaque extrait nous renvoie-ta-il. Dans l’extrait de l’avare de Molière nous somme confronter à une comédie de caractère Molière fait une caricature de l’avarice et n’hésite pas s’en moquer, l’ambiguïté entre Valere et Harpagon est mise en avant, le faite de confondre l’amour de l’argent et le réel sentiment est un problème de société que Molière interprète de façon comique. Le rire ici fait réfléchir, il s’agit donc aussi d’une comédie de caractère.

Tartuffe de Molière est une comédie de moeurs et de caractère. Molière critique les imposteurs et les hypocrites. Et en dernier monsieur de Pourceaugnac de Molière une comédie ballet crée en 1669, dans cette comédie la dramatisation fait place à la moralisation car le méchant est puni. Tout y est présent comique de mot, comique de situation et comique de geste.

Travail d’écriture:

Pensez-vous que la comédie a pour fonction première de divertir le public ?

Il y a bien longtemps que la comédie fut au théâtre le principale moyen de distraction. La comédie a toujours été destinée à provoquer le rire par la représentation de travers et de ridicule, permettant le plus souvent a l’homme d’oublier

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