Corpus: Par Quelle Procédés La Guerre Est-elle dénoncée Dans Ces Textes ?: La Bruyère, Sternberg

Dans se corpus nous allons étudier trois extrait de texte. Le premier a été écrit pas Jean de la Bruyère, il s'intitule les caractères et il fut publier en 1688. Le deuxième extrait de texte a été rédigé par voltaire, il s'intitule Micromégas, et a été écrits en 1752. La dernière œuvre de ce corpus se nomme 188 Conte à régler, il a été réalisé en 1988 par Jacques Sternberg. Tous aux long de cette étude, nous allons étudier les procéder littéraires par lesquelles les auteur dénonce la guerre.

Dans le premiers extrais de texte de Jean de La Bruyère, issu du recueil "Les caractères" ressort d'une argumentation directe et appartient plutôt au genre de l'essai. L'auteur critique avec la forme polémique « vous voilà munis d'instruments commodes, qui vous servent à vous faire réciproquement de larges plaies d’où peu couler votre sang jusque à la dernière goutte, sans que vous puisiez craindre d'en échapper. » ligne 30 à 33.

Nous pouvons constater que le procédés est dénoncée par des animaux. Jean de La Bruyère qui par le biais des conflits naturels des animaux, réduit l'homme à se comparer et se différencier aux simples querelles bestiales « Vous avez déjà, en animaux raisonnables, et pour vous distinguer de ceux qui ne se servent que de leurs dents et de leurs ongles ». ligne 25-26

Il affirme donc que l'homme est plus cruel et tue tous ses ennemis. Ses multiples interrogations participent à l'animation du texte et contraint le lecteur à se poser les questions à lui-même.

Nous pouvons aussi distinguer que des le début du texte,Jean de la Bruyère provoque le public ; en effet il montre de l’ironie, remet en question une affirmation d'un auteur inconnu avec la phrase « l'homme est un animal raisonnable; qui vous a passé cette définition » ligne 1-2, cependant nous pouvons aussi le remarquer grâce au ligne 3-5 par « C'est déjà une chose plaisante que vous donniez aux animaux, vos confrères, ce qu'il y a de pire, pour prendre pour vous se qu'il y a de meilleur. » . Car nous savons tous que nous sommes la l’espèce la plus destructrice. De plus si les animaux eux tue c'est pour la bonne et simple raison de se nourrirent... et non pour des choses futile tel que pour nous (pour le territoire...).

Il emploie le présent de l'indicatif, ce qui rend le texte vivant et donne l'impression du vécu au récit.

On retrouve ainsi une énumération d'armes qu'emploie les hommes « imaginé les lances, les piques, les dards, les sabres et les cimeterres » ligne 26-27 qui s'oppose à « ont joué de la dent et de la griffe » ligne 26. Cela montre un aspect plus positif du conflit des animaux que celui des hommes.

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