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Commentaire sur le poème c'est pour que je t'aime de Louis Aragon

Commentaire d'oeuvre : Commentaire sur le poème c'est pour que je t'aime de Louis Aragon. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Janvier 2014  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 053 Mots (5 Pages)  •  5 810 Vues

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COMMENTAIRE DU POÈME «C’EST SI PEU DIRE QUE JE T’AIME»

Ce poème, appelé «C’est si peu dire que je t’aime» a été écrit par Louis Aragon. L’auteur né en 1897 et il meurt en 1982. Il était un poète, romancier et journaliste très lié à la politique (il appartient au Parti communiste français jusqu’à sa mort). Il était un des représentantes du dadaïsme et surréalisme avec André Breton, Paul Éluard… au XIXe siècle. Quelques de ses œuvres sont «Aventures de Telemaque» (1921), «Mouvement Perpétuel» ou «Les yeux d’Elsa».

Ainsi, dans ce poème de Louis Aragon a publié en 1963 propose l’idée du repentir parce qu’il sent un profond amour par sa aimée, mais il lui a seulement dit « je t’aime ».

Nous nous proposons d’ étudier les idées que l’auteur veut montrer dans ce poème. L’examen du poème portera d’abord sur l’angoisse de l’auteur face à la vie que se finit et enfin sur sa difficulté pour utiliser un langage poétique traditionnelle pour exprimer ses sentiments vers sa aimée.

D’abord, on note dans le poème une angoisse face à la vieillesse de l’auteur qui illustre avec une réflexion de la fatalité face à cette idée et des vers qui montrent la vieillesse tel quelle. Avec cette idée l’auteur veut réfléchir sa souffrance à cause que l’heure de la mort lui est en arrivant et il est très angoissé parce qu’il lui a seulement dit qu’il l’aime et n’est pas une phrase suffisant.

L’auteur présente la fatalité qu’il sent avec des vers « Quand le ciel nous est mesuré » (vers 7), « Cette existence est un adieu » (vers 9) et « La nuit sut ma gorge qui met ses doigts gantés de souveraine » (vers 19-20) et ensuite montre la vieillesse avec « Voilà ce que c’est d’être vieux » (vers 14) « Lorsque les choses plus ne sont qu’un souvenir de leur frisson » (vers 23-24) et « un écho des musiques mortes » (vers 25).

Le locuteur manifeste sa présence par l’emploi de pronoms de la première personne sujets (« C’est si peu dire que je t’aime » (vers 8), « Je n’avais dit que je t’aime » (vers 17)), mais on veut aussi qu’il lui parle à une personne de son amour vers elle, par exemple il dit « On vit ensemble séparés » (vers 3), « Dans mes bras je te tiens absent » (vers 4), « Quand le ciel nous est mesuré » (vers 7)…

Au deuxième lieu, nous trouvons l’idée d’une difficulté de l’auteur pour exprimer les sentiments. Quand on lit un poème, on trouve toujours une grande charge émotionnelle de l’auteur, qui montre ses sentiments avec le texte. Il s’agit d’abord pour l’auteur d’expliquer son manque d’expression d’abord avec le titre du poème qui expose qu’il pense que les paroles « je t’aime » sont très pauvres parce qu’il a des sentiments plus fortes. Ensuite, il répète cette phrase pendant tout le poème comme on le voit au vers 8, 15, 22 et 29.

Après, l’utilisation du recours de l’antithèse en est un bon exemple de sa difficulté pour parler de ses sentiments. C’est le cas de « ensembles » et « séparés » dans le troisième vers ou « dans mes bras je te tiens absent » dans le quatrième vers.

Et enfin, l’auteur enseigne sa difficulté de parole avec les vers « C’est comme

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