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Commentaire composé les animaux malade de la peste

Dissertation : Commentaire composé les animaux malade de la peste. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Novembre 2021  •  Dissertation  •  1 025 Mots (5 Pages)  •  477 Vues

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Les Animaux malade de la peste

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Jean de la fontaine est l’un des plus grands poètes de son temps, il utilisa toutes sortes de stratagème pour se moquer ou critiquer la société. De ce fait ses poèmes ne furent pas censurés puisqu’qu’il employais des allégories en se servant d’animaux. Il s’est inspiré d’auteur tel qu’Ésope. Il songeait donner une leçon de sagesse aux hommes mais aussi les instruire. La publication du recueille des fables s’échelonne sur une durée d’un quart de siècle. En 1668 il fait paraitre le premier recueille recueillant les livre I à VI et dédié au dauphin (jeune fils du roi). Deux autre suivront le premier 1678-1679 regroupe les livres VII à XI est dédié à la favorite du roi madame de Montespan. Le dernier comporte le livre XII et parait en 1693 deux ans avant la mort de celui-ci.

De ces faits nous allons nous demander Dans quelle mesure La Fontaine nous renseigne sur les jugements de sons époque. 

Dans un premier temps nous étudierons la fable en nous concentrant sur sa construction.

La construction. 

Dans ce poème l’écriture est assez rythmé on y trouve une alternance de modalité assertive qui reste dominante mais aussi une modalité interrogative cette ponctuation est abondante et créent un rythme rapide qui crée une atmosphère de chao dans l’esprit du l’lecteur. Nous avons de plus une hétéromère de vers : alexandrin et octosyllabes ce qui procure encore une fois un rythme de lecture attractif au près du lecteur.

Un monde imaginaire.

Dès le début de ce poème nous remarquons l’envie de personnifier la peste de la part de l’auteur. Cette maladie est représentée comme si elle avait une forme humaine « capable d’enrichir « V5, « faisais aux animaux la guerre » (v6). De plus la majuscule au mot « la Peste » lui donne de l’importance. Ce poème nous procure une impression d’un monde détruit, d’un monde cauchemardesque vers 10 à 14, « terreur » vers 1. Nous avons aussi une référence religieuse et mythologique «  le ciel » dieu, « l’achéron » fleuve des enfers dans la mythologie grecques, « péché », « sacrifice », « céleste courroux  » flèche de la colère divine,  «diable» référence au diable « a l’enfer », «  dévouer » sacrifier.        

Cette fable a de nombreuse étape qui ressemble fortement a un texte, dans un premier temps l’introduction du V 1 à 14, les péripéties v 15 à 54 puis nous avons la conclusion la fin de cette histoire v55-62. Sans oublier aussi le moral à la fin v63-64 qui est propre à la Fontaine

Dans un dernier temps nous étudierons la critique à travers  l’ironie en travaillant sur les différentes classe social et nous étudierons comment la justice s’exercé. 

Nous savons que La fontaine utilise souvent dans ces fables des animaux pour critiquer la société et lui faire passer un message. Dans cette fable le pouvoir a été donné à des animaux,  nous comprenons que les animaux sont représentatifs de cette société. Nous avons donc différentes personnification : «  le lion » est le personnage qui parle le plus longtemps il est présente comme étant le roi. De plus la fontaine utilise sur un tons ironique la critique de ce roi ; l’éloge ironique du roi « trop bon roi (v 34). Aspect très ironique le lion n’est pas connue pour son coté délicatesse « en les croquant » (v38) le roi est représenté comme bon d’après le renard hyperbole ironique « vous leur fîtes beaucoup d’honneur » (v38). Nous avons de plus un champ lexical de royauté « sire », « seigneur ». Le renard ne s’exprime pas il cherche juste à persuader de l’innocence du roi. L’âne na pas d’argument il ne fait que décrire ce qu’il a fait, et témoigner de ces actes, de plus ce personnage s’accuse lui-même « je n’en avait nul droit » (v 54). Il n’a pas eu le même discours de défense des deux personnages qui le précède. L’âne est accusé « maudit animal », d’avoir mangé l’herbe d’autrui !! Quel crime abominable » (v60). Pour le pardonner de son acte ignoble il n’y qu’une seule solution « rien que la mort » (v 61) hyperbole. Le traitement de l’âne totalement exagéré par rapport à sa faute et par rapport à la gravité de son acte face aux autres cas !  Le juge le roi est le puissant animal qui a les pouvoirs et le sort de l’âne et du peuple entre ces mains.

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