Commentaire Montaigne

COMMENTAIRE COMPOSÉ

Chapitre XXXI: DES CANNIBALES (Essais de Montaigne)

INTRODUCTION :

On va analyser ce chapitre intitulé ‘’Des Cannibales’’ du principal œuvre de Montaigne, ‘’Essais’’, publié en 1580. Dans cet œuvre, Montaigne essaie se donner à connaître, à travers ses idées et sa pensée. Aussi c’est un œuvre universel puisque cette pensée personnelle l’amène à évoquer des problèmes. Il raconte une expérience personale et une réflexion générale. On va le diviser en deux axes :

PREMIER AXE :

Tout d’abord, il fait une réflexion générale mais il parle d’un point de vue personnel parce qu’il utilise la premier personne tout le temps. Montaigne essai de relativiser les concepts de ‘’barbare’’ et ‘’sauvage’’, <>, en faisant une critique à ses contemporains. Aussi il va mettre en question le problème de l’ethnocentrisme, c’est-à-dire qu’il va proposer certains nombre des choses qui sont des choses relatives, en faisant référence que chacun considère que sa société est la meilleur et la plus ‘’parfaite’’, et les autres sont ainsi inférieures.

En deuxième lieu, il travaille ensuite sur la polysémie du mot ‘’sauvage’’ et il fait une comparaison entre les hommes du Nouveau Monde aux fruits. Il va construire une argumentation avec une analogie entre l’homme sauvage et le fruit sauvage. Tout au long du chapitre, il oppose ainsi la société des ‘’sauvages’’ et celle des Européens. En plus il parle de la beauté de la Nature et qui ont été étouffée par les Européens.

DEUXIÈME AXE :

La stratégie argumentative de Montaigne essai d’amener ses contemporains européens à repenser la notion de ‘’barbarie’’ et il prend ainsi le contre-pied des idées de l’époque en faisant l’éloge des cannibales. Ces cannibales sont supérieurs parce qu’ils ont su rester simples et sans artifices.

Selon l’auteur les sauvages sont supérieures aux Européens car ils sont proches de la nature qu’il juge supérieure à la culture. Tout ça c’est un prétexte pour critiquer la prétendue supériorité de l’Europe civilisée et la notion de progrès.

CONCLUSION :

En conclusion, Montaigne parle de sauvages pour critiquer l’idée de progrès dans la société de son époque. Il oppose la nature et la culture. Les progrès c’est un synonyme d’éloigner l’homme de son état naturel, c’est pour ça qu’il le critique. Il y a beaucoup des philosophes qui ont déjà parlé de cette idée. De nos jours le progrès quant au technologiques, la science, etc., est en train de supposer un vrai problème, parce que comme dit le Petit Prince : on peut voir des humains, mais pas d’humanité.

MARTA LABORÍAS PÉREZ,

77552589Q

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