Commentaire: Les misérables

Commentaire de texte en Français

Victor Hugo, célèbre romancier du XIXème siècle à  écrit le roman Les misérables publié en 1862. Cette histoire raconte l’histoire d’un homme issu d’un milieu pauvre et ancien Prisonnier, Jean Valjean. Ici nous avons un extrait du portrait du personnage peu après son arrivée à Digne.

Ici nous expliquerons quelle image donne Victor Hugo d’un misérable de par sa vision du personnage ?

Tout d’abord nous montrerons que de part ses origines Jean Valjean n’a pas d’identité propre puis nous montrerons ce qu’est un misérable de part son  statut social.

        Tout d’abord La représentation d’un misérable se fait en exposant l’histoire et les origines du personnage.

En effet dans cet extrait V. Hugo fait beaucoup d’allusions au passé de Jean Valjean notamment en insistant sur les noms des parents. Dans le roman Hugo donne les noms de « Jeanne Mathieu » et « Jean Valjean » et insiste le l’inexistence d’origine de J. Valjean car il est de coutume que les enfants orphelins portaient les noms des fêtes de saint du jour ou on les trouvait  et ici les deux parents ont un prénom en temps que nom de famille alors on note une absence de lignée du personnage ainsi il n’a pas d’histoire et ce fait est renforcé par le fais que Jean Valjean n’a pas connu ses parents « il avait perdu en très bas âge » donc n’a pas eu vraiment d’enfance réelle avec des souvenirs il n’a pas le droit ni le temps pour avoir une enfance de part son statut de misérable comme l’explique la phrase « il n’avait pas eu le temps d’être amoureux » Il est destiné à faire et agir.

Ensuite on remarque depuis sa naissance il est destiné a un certain il n’a pas le choix en temps que pauvre il doit faire comme son père émondeur « quand il eu l’âge d’homme il était émondeur » L’utilisation de l’imparfait marque une répétition comme si la misère ce transmet de père en fils et le fait Que Jean Valjean porte le même nom que son père montre qu’il en est le sosie et donc qu’il va mener la même vie. Après être recueilli par sa sœur dont le mari mourut il devient le « père » de famille de sept enfants alors que sa sœur prend le rôle de la « mère » de famille dans cette société ils n’ont pas le temps et l’expression « ce fit simplement » montre que c’est accepté comme une chose normal et évidente.

Par la suite de par son statut et n’ayant pas eu le temps d’être soi même il est représenté comme une chose non finie, comme un objet « c’était quelque chose d’assez endormi et d’assez insignifiant »,  « pensif mais pas triste » laisse présager que pour l’instant il ne peut pas ressentir de sentiment mais que il a un intérieur et un avenir misérable . Et le fait qu’il porte le même nom que son père donne une impression de non appartenance.  

Donc Jean Valjean n’a ni histoire, ni lignée, ni jeunesse, ne s’appartient pas vraiment et est destiné de par beaucoup d’information a une vie de misère comme tout les autres membres de sa famille, il n’a ni le choix, ni le temps à cause de son milieu social.  

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