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DM de français: commentaire sur le roman Thérèse Raquin de Zola: Comment Laurent est mis valeur ?

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Par   •  13 Mai 2014  •  Analyse sectorielle  •  632 Mots (3 Pages)  •  1 463 Vues

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DM de français (commentaire)

Zola écrit au XIXème siècle dans le mouvement naturaliste qui cherche à montre la nature humaine. Zola a écrit son premier roman, Thérèse Raquin. Son premier roman, c’est une étude du comportement de deux meurtriers. Zola montre leurs actes et leurs dégouts après le meurtre. Nous allons commenter le chapitre V qui montre la découverte de Laurent et des deux futurs amants. Comment Laurent est mis valeur ? Dans un premier temps nous allons montrer la présentation de Laurent par Camille puis le regard de Thérèse sur Laurent.

Pour commencer, la présentation de Laurent par Camille en montrant son admiration de Camille qui fait l’éloge de Laurent qui donne une admiration pour Laurent qui se révèle par la répétition de « Laurent », l’expression de la santé, des études de Laurent nous montre réellement son éloge « Lui, il se porte bien » (l.19) et « il a étudié » (l.19). La mention des études de droit et de la peinture fait un homme supérieur de Camille.

Ensuite nous pouvons constater le discourt direct qui présente la puérilité de Camille la plupart des dialogues sont énoncés par Camille. Il est excité par cette retrouvaille quatre des cinq répliques au style direct sont des paroles de Camille qui justifie sa puérilité. Il répète quatre fois le prénom de « Laurent » qui apparaît neuf fois dans le texte. Camille le désigne deux fois par des expressions « ce monsieur-là » (l.3). Ses exclamations, ses questions, ses répétitions montrent son emballement. Zola, écrivain réaliste, analyse le mécanisme de compensation. Il est fier comme si les qualités de Laurent rejaillissaient sur Camille cela nous montre aussi sa volubilité.

En outre les contrastes de Camille et Laurent, il montre aussi que celui-ci peu à toute cette enthousiastes, « Il souriait paisiblement» (l.12), « répondait d’une voix claire» (l.12-13), « regards calmes et aisés » (l.13). Les autres personnages, pendant que Camille parle, sont impartiaux, y compris Thérèse, avec son air silencieux « placide » (l.5) comme indiqué au début.

Nous allons maintenant observer l’importance du regard de Thérèse sur Laurent au moment où Camille se calme, Laurent commence à intriguer Thérèse. Sa présence silencieuse attire les yeux de Thérèse. Son regard qui se traduit par tous les champs lexicaux : « regardait » (l.23), « contemplait » (l.24), « arrêta […] ses regards » (l.26), « considérer » (l.27), « l’examinait »(l.31).

Puis nous parlons de l’admiration du physique viril de Laurent dont-elle n’a jamais vu un vrai homme « Elle n’avait jamais vu un homme » (l.23-24). Aussi sa brutalité (« front bas », « poings énormes », avec la reprise du mot « poings » à la fin du passage) lui donnent eux-mêmes une apparence animale, qu’on retrouve dedans la comparaison «cou de taureau ». Le corps gros de Laurent «elle s’oublia à considérer les grosses mains » (l.27), aussi la santé de Laurent, « grand, fort, le visage frais » (l.24), sa force car il est « puissant », avec de « grosses mains » (l.27), des « doigts […] carrés » (l.27-28), « assommer un bœuf » (l.28), il possède « des muscles ronds et développés, tout un

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