Ces objets qui nous envahissent cas
Dissertation : Ces objets qui nous envahissent cas. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar kiki971 • 4 Octobre 2015 • Dissertation • 818 Mots (4 Pages) • 776 Vues
Vendredi 02 Octobre 2015
Devoir Maison Culture Générale et expression
Synthèse Corpus 2 : Ces objets qui nous envahissent
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Les objets décrits dans le corpus sont des objets qui font partie de notre quotidien , de la société moderne de consommation Emile Zola dans<< au bonheur des dames >> ainsi que Jacques Tati <
Les objets peuvent aussi être détournés de leur Fonction initiale, matérielle et utilitaire, par tout un chacun comme par les artistes. La majorité des objets qui nous entourent ont une destination précise, clairement identifiable. Utiles, ils étendent le pouvoir de l'homme et facilitent la vie quotidienne ; fruits des innovations technologiques, ils alimentent aussi le mythe du progrès constant de l'humanité. Cependant, les objets ne semblent pas toujours répondre à un besoin prédéfini. S'agit-il pour autant seulement de gadgets superflux, auxquels nous serions attachés sous l'influence de stratégies commerciales comme Michel Eltchaninoff nous le fait comprendre avec L’Ipad L’auteur nous fait constater que l'objet crée son usage ou que les utilisateurs inventent a posteriori des fonctions qui le rendent indispensable, comme c'est parfois le cas dans le domaine des nouvelles technologies , pour lui la tablette tactile est un objet de la vacuité communicationnelle qui nous envahit .La valeur de l’objet est surestimé Boris Vian dans << La complainte du Progès>> dénonce avec humour dans sa chanson satirique la conception du bonheur dans la société de consommation qui commence à se développer en France , il énumère des biens de consommations fantaisiste pour dénoncer cette dérive matérialiste . << Ah Gudule, viens m’embrasser, et je te donnerai… un frigidaire, un jolie scooter, un atomixer…>> Les biens matériels deviennent des gages d’amour Rupture brutale entre deux personnes remplaçant les sentiments par la consommation d’objets banales.
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