Carnet de voyage Candide, Voltaire

Candide

Carnet de voyage

Théodore

Boita

2e B

Chapitre 3 :

Je suis au milieu de ces deux armées qui se prépare à lancer l’assaut. On dirait une fanfare militaire avec leur trompette, leurs fifres, les hautbois et  les tambours. Face a cette boucherie, j’essayais de me cacher de cette horreur. Alors que les rois, faisaient chanter les Te Deum. Je pris la décisions de passer par à tas de mort qui me donna envie de vomir. Il y avait des morceaux de corps humain déchiqueté : des mains, des morceaux de cervelle ou encore des bras et jambes. Après avoir couru, je suis arrivé dans un autre village abare que les bulgares avaient brûlé. Ce même désastre ce répéta dans de nombreux village. Après avoir quitté le théâtres de guerre avec mon fameux bissac remplit de mes provisions. Je pris la direction de la Hollande en pensant toujours a ma bien aimé Cunégonde. Mais arrivé là-bas mes prévisions furent a manqué. Je pensais que les habitants me traiterait aussi bien que dans le château de monsieur le baron. J’ai demandé l’aumône a plusieurs personne me faisait refouler en disant que si je continuer a faire ça, on m’enfermerait pour m’apprendre à vie. Malgré mes refus, j’ai décidé de m’adresser à un protestant qui parler tous seules a une assemblé sur la charité. Mais je fus vite humilié par la femme de l’orateur. Après mon humiliation, un gentil anabaptiste du nom de Jacques m’emmène chez lui. Je suis très touché par sa gentillesse. Il me nettoya, me nourrit et m’aida a me rétablir. Il a alla même a me faire présent de deux florins. Je suis même allé a me prosterné devant lui devant l’émotion. C’est alors que je revis une lueur d’optimiste dans ce monde. [pic 1][pic 2]

Chapitre

...