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Candide ou l’Optimisme : La guerre et ses différents fronts

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Par   •  13 Octobre 2019  •  Commentaire de texte  •  746 Mots (3 Pages)  •  515 Vues

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Candide ou l’Optimisme : La guerre et ses différents fronts

Le livre que je m’apprête a décrire est  « Candide ou l’Optimisme » rédigé par François Marie Anouet alias Voltaire en 1759 il a été écrit juste après que Voltaire est abandonné le projet « l’Encyclopédie » en 1755 , il est écrit a l’époque ou les « Lumières » sont mal vus ainsi que la moindre critique sur le gouvernement ou l’Église pouvait avoir des conséquences parfois mortel.Dans le passage étudié Voltaire décrit l’horreur de la guerre sous plusieurs front mais toujours avec l’observation de Candide ce passage sert au final a montrer l’horreur ainsi que l’absurdité des guerres et des souffrances des « dégâts collatéraux » (les civils) .

Il écrit donc ce livre comme il dit pour « Faire une mutation aussi bien religieuse qu’intellectuelle parmi les élites afin d’éclairer les esprits » . Lorsque Candide paraît il est dit qu’il est traduit de l’allemand et que l ‘auteur serait un certain Docteur Ralph , bien sur Voltaire fit cela pour éviter la censure ou autres représailles . Dans le livre Voltaire accuse, dénonce voire jusqu’à pointer du doigt les travers de la société, de la religion et des gouvernements de la banalisation de la guerre ou encore d’autre atrocités que certains bourreaux se permettent de faire justement pendant celles-ci .

Entre les soldats et les civils lesquels sont les plus déshumanisés que ce soit une déshumanisation en tant qu’agresseur ou alors une déshumanisation en tant que victime ?

La mise en scène de l’horreur

1-Les soldats

2-Les populations civils

1-Les soldats

Dans le texte on a une répétition qui officialise le droit de tuer :

« Selon les lois publiques »,  « l’honneur et la vengeance » pour la deuxième on associe deux termes qui de base sont senser êtres opposer .Le combat est décrit avec une telle brutalité que le comparé avec une boucherie serait un euphémisme , il y a une répétition qui fait justement une uniformisation de ces soldats « les hommes, les coquins, quelques milliers d’hommes, milliers d’âmes etc...» cette répétition nourrit ce que l’on peut comparer a une forme de déshumanisation les soldats sont compares a des insectes  « comme des cafards qui en infectaient la surface » leur morts aussi est atténuée par un euphémisme « qui ôta du meilleur des mondes » comme si leurs morts étaient insignifiantes . Passons a un autre aspect de la guerre l’aspect qui fait passer les soldats de victimes a ravisseurs , quand on sort du champ de batailles les soldats sont idéalisés mais il n’y a pas lieux d’êtres car sortis du champ de bataille se ne sont plus des hommes mais des bêtes que l’on pourrait qualifier de sauvages , ils s’en prennent a des villages a des populations innocentes commettent des actes immoraux qui sont banalisées comme le fait de violés des femmes pendant que d’autres se battent sur les champs de batailles « assouvir quelques besoins naturels de héros » ici c’est normalisés comme un acte de guerre/passage obligatoire pour montrer la puissance de tel ou tel nations il y a aussi le fait que les combats sur les champs de batailles soient accompagnés d’un chant latin clamant la victoire au près de dieu ce qui apparemment signifie un accompagnement religieux il y a aussi l’orchestre de canons qui fait du champs de batailles un spectacle voir un ballet .

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