Association de la mort dans les vers de Garno et Emile Nellingan

Comparativement à l’autre poème, celui-ci ressemble à un film d’horreur assez violent, les zèbres se font dévorer macabrement et tout au long du poème, l’auteur emploie des mots comme, «tombeau, carcasse, ténèbres, démon,» donc encore une fois nous pouvons voir que le poème représente la mort qu’une façon très significative.

Is2 : À l’opposé, dans Cage d’oiseau de Saint-Denys Garneau, l’auteur évoque la fatalité de manière plus douce. «Il aura mon âme au bec» (v.24)

Exp : Dans cette citation, au lieu que l’auteur termine son texte en écrivant «je vais mourir,» il atténue la réalité avec cet euphémisme. Même si cette phrase veut dire la même chose, elle le dit moins directement. L’une des causes que l’auteur ne présente pas la fatalité d’une façon aussi envahissante est que dans l’autre texte, il associe son poème à sa propre mort, tandis que Garneau l’associe à une mort externe.

IP3 : Toutefois, les deux poèmes présentent la fatalité d’une façon plus similaire que différente, car dans les deux cas, la fatalité est symbolisée par des oiseaux.

IS1 ; Effectivement, dans Les corbeaux d’Émile Nelligan, les corbeaux sont utilisés pour représenter la mort : « Mon âme, une charogne éparse au champ des jours, Que ces vieux corbeau dévoreront en entier.» (v.13-14)

Explication : Comme la citation l’explique, la vie est dévorée par les corbeaux et ces oiseaux vont manger en entier une âme étant déjà affaibli et par l’ennui de tous les jours. Nous pouvons voir encore que la fatalité symbolisé par les oiseaux représente la mort qu’une façon très significative.

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