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Les epidémies à travers les siecles

Dissertation : Les epidémies à travers les siecles. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Septembre 2021  •  Dissertation  •  1 084 Mots (5 Pages)  •  292 Vues

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Nom de l’étudiant :           Yasmine Nourezzine                                    [pic 1]

Cahier de dissertation

2ème dissertation (20%)

Sujet 1 : Le personnage de Tit-Coq dans la pièce du même nom (1948) de Gratien Gélinas (1909-1999) et celui de Joseph dans Un simple soldat (1957) de Marcel Dubé (1930-2016) sont confrontés à de nombreux échecs dans différents domaines de leur vie. Ces échecs sont-ils similaires ? Commentez. (Plan analogique)[pic 2]

Sujet 2 : À la fin de la pièce de théâtre Tit-Coq (1948) de Gratien Gélinas (1909-1999), le personnage principal espère convaincre Marie-Ange de revenir auprès de lui. Son souhait ne se réalise pas. Si Marie-Ange avait décidé de partir avec Tit-Coq, ce dernier aurait-il vraiment pu être heureux ? (Plan dialectique)[pic 3]

Tâche à réaliser :

Vous devez écrire une dissertation partielle, c’est-à-dire :

  • Plan du 1er paragraphe et 2e paragraphe : trouvez l’idée principale et les 2 idées secondaires. Faites des phrases complètes.
  • Rédigez le 3e paragraphe de développement en entier.
  • Rédigez la conclusion en entier. 

N’oubliez pas d’inclure 1 procédé littéraire dans le paragraphe. (Surlignez-le dans le texte.)

[pic 4]

Plan (Faites des phrases complètes)

Premier paragraphe :[pic 5]

Idée principale 1:  La fidélité est une des bases les importantes d’un mariage. Même s’ils s’enfuient ensemble, Marie-Ange n’a pas était fidèle à ce dernier. Cela pèsera sur la conscience de Tit-Coq. Il ne pourra pas être heureux avec une personne qui ne lui est pas fidèle.

Idée secondaire 1 :  Le fait que Marie-Ange avait promis à Tit-Coq qu’elle ne danserait plus jamais avant son retour, mais cette dernière l’a fait, en plus avec Léopold. Même si c’est sous la pression de ses parents, elle l’a fait. Elle a brisé le lien de promesse qu’elle lui avait fait. Cette danse, alors innocente, se transforme en infidélité.

Idée secondaire 2 :  Elle n’a pas attendu Tit-Coq de son retour de la guerre. Elle a préféré céder aux désirs de ses parents à se marier avec Léopold et l’a fait, même si c’est à contrecœur. Elle ne pourra pas se remarier avec Tit-Coq tant qu’elle ne divorce pas de Léopold.

Deuxième paragraphe : [pic 6]

Idée principale 2 : Son rêve de construire un avenir se voit briser même s’il s’enfuit avec Marie-Ange.

Idée secondaire 1 : S’il décide d’avoir une famille avec Marie-Ange, le Padre lui explique que les enfants qu’il aura avec elle ne seront pas légitimes. Son histoire se voit alors rembobiner pour les enfants qu’il comptait avoir dans le futur.

Idée secondaire 2 : Son rêve du fait qu’il voulait marier une « fille propre » ou encore « toute - neuve » ne se réalisera plus jamais, car Marie-Ange s’était déjà mariée.

[pic 7]

Rédigez le troisième paragraphe en entier.

Troisièmement, Tit-Coq sera toujours profondément malheureux par rapport à la famille qu’il n’a jamais eue. En effet, Tit-Coq est née « d’une mère inconnue et d’un père du même poil »[1] ce qui signifie qu’il est un bâtard et cela a eu comme impact un manque d’amour d’un milieu familial normal. Il laisse aussi comprendre au Padre que cette chose qu’il qualifie de « misère » lui sera collée au dos à vie, depuis le jour de sa naissance : « À chacun ces embêtements dans la vie : ma mère a porté sa misère pendant neuf mois, et moi… j’ai porté le reste.» [2] Puisqu’il est un bâtard, dès qu’on effleure ce sujet, ce dernier réagit impulsivement dace à la personne qui vient de s’adresser à lui. La réaction de Tit-Coq rentre en scène lorsque Jean-Paul lui dit « Ôte-toi de ma talle, petit maudit bâtard ! »[3] et que Tit-Coq réagit en le frappant, car lui-même le dit si bien : « (qu’il est) un bâtard, oui ! »[4] La ponctuation présente dans la dernière citation, le point d’exclamation, accentue la honte et le désarroi que ressent Tit-Coq face au fait d’être orphelin. De plus, le fait d’avoir été renié par la seule famille qu’il l’avait accueilli comme étant des leurs l’avait profondément affecté, sachant que c’était la seule chose qu’il désirait le plus. Envisageons que  Marie-Ange aurait accepté le fait de repartir avec lui, même si elle était mariée à Léopold Vermette, compte tenu des circonstances, le père de cette dernière prône clairement son refus face à une potentielle vie futur ensemble. Il enlève à Tit-Coq ce qu’il souhaite le plus : une famille. Il aurait peut-être Marie-Ange mais, pas de beaux-parents. Le père affirma alors : « mais toi – tiens-toi le pour dit  Jamais tu remettras les pieds chez nous. Jamais, finis pour toi ! T’as compris ? La famille Desilets, c’est fini pour toi ! » [5] La redondance dans l’extrait provoque un effet d’insistance sur les dires du père qui refuse catégoriquement que Tit-Coq revienne auprès de leur famille. Avec le poids d’un péché éternel et le fait de ne pas pouvoir revoir sa « famille », ne le laissera pas être heureux, même aux côtés de Marie-Ange.

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