Le costume féminin au XVI ème siècle
Fiche : Le costume féminin au XVI ème siècle. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Jeannegyt • 13 Mars 2019 • Fiche • 416 Mots (2 Pages) • 607 Vues
Le costume féminin
La longueur de la robe avait une taille obligatoire : aux chevilles. La jupe du dessous s’appelle « la secrète » la deuxième « la friponne » et celle du dessus « la modeste ». Celle du dessus est en velours, en satin ou en moire prolongée par un manteau ou une queue.
Première partie du règne :
Pendant longtemps les femmes étaient habillées par un tailleur mais les couturières furent enfin reconnues.
Les femmes portaient :
Un corset qui affine la taille, écrase la poitrine et donne au buste une forme conique. Le corset est agrafé dans le dos, dont la base, en bois, en fer ou en baleine, monte très haut.
Un vertugadin : c’est ce que l’on dispose sous la jupe pour lui donner une forme. Les 1ères formes sont des jupons raidis par des structures en grain ou en fil métallique. Mais il peut aussi avoir d’autres formes : un simple bourrelet posé pour les élargir (surtout en France), ou à l’autre extrême, on trouve aussi des vertugadins tonneaux ou encore tambour.
La chemise est décolletée et garnie de dentelles.
Le jupon est orné de dentelles,
La robe a des manches courtes prolongées de dentelles. Le bas de la robe est cousu au corsage, retroussé sur les cotés et laisse voir la robe du dessous.
Les bas sont très fins.
Les dames n’ont aucune honte à montrer leur richesses : leurs robes sont garnies de brocarts d’or, damas, satins, velours, le tout surchargé de dentelles, de pompons, de franges, de perles.
Deuxième partie du règne : ce qui change
Les manches sont courtes et plates et laissent dépasser des manchettes de dentelles en entonnoir : « Les Engageantes ».
Le corsage est en triangle ou ovale et il est fermé par une patte brodée et un nœud : le « Tâtez-y ». Parfois une échelle de rubans ferme entièrement le corsage.
La jupe et le manteau de robe sont garnis de plis appelés : « les Prétintailles » ou de volants : les « Falbalas ».Les ornements sont très lourds.
La cape est un fichu noué sur la poitrine. Le décolleté est carré avec un volant appartenant à la chemise.
IL y a des robes dites innocentes, battantes, négligées ou déshabillées introduites par Mme de Montespan pour cacher ses grossesses.
Le justaucorps est de plus en plus porté : il est en soie ou en velours et de bonne qualité.
La forme du costume féminin se transforme très peu, mais on peut voir que les jupes ont été de plus en plus garnies.
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