Faire la paix faire la guerre

KHERBA HACHACHE Wafa         Guerre et paix au Moyen Orient depuis 1948                        Tl3

Aujourd’hui le Moyen Orient reste un foyer de conflits il n’y a pas encore de paix pour certains conflits comme la guerre du Yémen, la guerre de la Syrie ou encore le conflit israélo-palestinien. « La guerre repose en effet sur la violence et la volonté d’anéantir l’adversaire pour le contraindre totalement » Clausewitz. La paix est donc son contraire, il y a deux sorte de paix. L a paix négative qui est une absence de paix et la paix positive qui est le fait de construire cette paix pour éviter des nouveaux conflits. Le moyen orient est un foyer de conflits, il est en processus de paix Le Moyen Orient a était 1902 par Amiral Mahan un américain. Le moyen orient englobe tout le territoire depuis l’Egypte jusqu’au Pakistan. En 1948 il y a la création de l’Israël qui elle a déclencher à première  guerre israélo-arabe. C’est pour cela que nous allons nous demander en quoi la complexité des conflits au Moyen Orient rend-elle difficile la paix ? Pour cela nous allons tout d’abord nous intéresser au guerres interétatiques et aux résolutions difficiles que ceux-ci ont  provoquer. Nous allons dans un second temps nous pencher sur les guerres asymétriques et les efforts pour aboutir à la paix. Et pour finir nous nous étudiant les obstacles, limites pour faire la paix.  

Tout d’abord nous nous intéresserons aux guerres interétatiques et aux résolutions difficiles que ceux-ci ont provoquer. Nous avons la guerre israélo-arabe qui est un conflit interétatique qui est provoquer lors d’une vague d’immigration juive venant de l’Europe de l’est. A la suite de cela  Théodore Herzl crée l’organisation sioniste mondiale qui milite pour la création d’un Etat juif en Palestine ottoman. En 1917 la déclaration de Balfour autorise la création d’un « foyer national juif » en Palestine, en 1920 la déclaration est sous l’autorité Britannique. Entre deux guerres un mouvement nationaliste palestinien revendique l’arrête de l’immigration juif, en 1936 ce déroule la révolte arabe qui dura jusqu’en 1939. Les britanniques interdisent aux juif d’émigrer en Palestine mais les survivants de la Shoah le font quand même. En 1947 il y a la création du  plan de partage de la Palestine qui est vote par  l’ONU qui consiste à diviser la Palestine en deux Etats, un Etats juif et un Etat arabe. Cette décision provoque un confit armée qui durera 6mois et qui opposera les forces paramilitaires et les juives et les palestiniens, les britanniques évacuant le territoire. Davide Ben Gourion proclame le 14 mai 1948 un Etat d’Israël, le lendemain les forces armées de la coalition arabe envahissent  l’Etat d’Israël et  la Cisjordanie. L’armée  israélienne remporte  le conflit et fait signer un accord de cessez-le-feu en 1949, à l’issu de la défaite de la coalition arabe l’armée israélienne occupe plusieurs territoire sont Jérusalem-Est.  En 1964 l’organisation de la Palestine devient un mouvement de guérilla. La défaite humiliante des arabes est une des causes de la guerre de Kippour en octobre 1973. A tout cela vient se rajouter une nouvelle arme qui met une pression sur les occidentaux, le pétrole. C’est pour cela qu’en octobre 1937 l’OPEP (Organisation des pays exportateur de pétrole) décident d’exercer un embargo sur les Etats unisse les pays bas (qui soutient l’Israël). Le choc pétrolier crée une crainte de pénurie pour les occidentaux qui adopte une position moins favorable à l’Israël. Mais le Moyen Orient n’est pas dominé que par des conflits interétatiques irrésolues, nous avons aussi des essai de paix dont la négociation de paix de Camp David de 1978. Se traiter consiste à négocier une paix durable entre l’Egypte et Israël. En 1977 le président égyptien Anouar el-Sadate (premier chef d’Etat arabe à se rendre en visite officielle en Israël) et Menahem Begin premier ministre israélien, l’initiative du président égyptien fut couronnée de succès. Le 17 septembre 1978, les deux dirigeants signent les accords de Camp David sous l’égide du président américain de l’époque Jimmy Carter (1977-1981). Ces accord débouchèrent quelques mois plus tard à la conclusion du traité de paix israélo-égyptien en 1979. Au Moyen Orient on retrouve aussi la guerre Irak-Iran (1988-1989) qui a aussi toucher l’Afghanistan qui a était très longue et meurtrière. Elle a marqué les pays concernait.

Nous allons maintenant nous intéresser aux guerres asymétriques et eux efforts faits pour aboutir à une paix.  Pour cela nous allons tout d’abord aborder la crise de suez qui commença le 29 octobre 1956 et ce finira le 22 décembre de la même année. Dans la discrétion, les militaires français et britanniques acheminent des troupes vers Chypre en toute hâte. Le français Guy Mollet et le britannique Anthony Eden obtiennent l’accord de leur Parlement respectif pour une intervention militaire contre l’Egypte. Il est convenu (le 24 octobre) que les Israéliens, décidés à « rompre l’encerclement », attaqueront les Égyptiens et qu'ensuite, Français et Britanniques prendront prétexte de ce que la sécurité du canal est en péril pour adresser aux deux belligérants un ultimatum les invitant à retirer leurs troupes, sans quoi elles occuperont la zone du canal « Le 29 octobre, les troupes israéliennes se lancent dans le Sinaï. Elles mettent en déroute l'armée égyptienne. Elles sont appuyées en secret par quelques avions de l'armée française. Comme prévu, le 30 octobre, Londres et Paris envoient un ultimatum conjoint au Caire et à Tel Aviv, enjoignant aux combattants de cesser le feu et de se retirer à 16,9 kilomètres (10 miles) du canal. A défaut d'une réponse dans les douze heures, les forces franco-britanniques interviendront d'autorité. Israël s'incline mais l'Égypte, comme on peut s'y attendre, rejette l'ultimatum. Le 31 octobre, Français et Anglais détruisent au sol les avions égyptiens. Et, les 5 et 6 novembre, les parachutistes franco-britanniques sautent sur Port-Saïd, à l'endroit où le canal débouche sur la mer Méditerranée, et ce en dépit d'une résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies adoptée trois jours plus tôt. Le triomphe militaire des Israéliens et de leurs alliés franco-britanniques est ruiné par la pression diplomatique des Soviétiques et des Américains. Les Etats-Unis sont également très remontés contre l'État hébreu, la France et plus encore la Grande-Bretagne, leur traditionnelle alliée, qui a agi sans les avertir. Le président Eisenhower joint sa voix aux Soviétiques pour exiger un cessez-le-feu. Le 6 décembre en fin de matinée, Eden est informé que Washington propose un prêt d'un milliard de dollars si un cessez-le-feu intervient. Le premier ministre anglais cède, appelle Guy Mollet qui renonce à son tour. Le 6 novembre 1956, à minuit, prend fin l'expédition de Suez. Les parachutistes français et britanniques doivent cesser le feu quelques heures à peine après avoir sauté sur le canal et défait les troupes égyptiennes. L'intervention franco-britannique aura duré au total 40 heures et se sera soldée par quelques centaines de morts dont douze Français et dix-neuf Britanniques. Anglais, Français et Israéliens retirent leurs troupes le 22 décembre. Une force internationale est installée sur la ligne d'armistice. En deuxième lieu nous allons nous intéresser a la premier guerre du golf et a ses caractéristiques de guerre asymétrique. Cette guerre débute le 2 août 1990 et se fini le 28 février 1991.Ce conflit oppose l'Irak à une coalition de 35 États, dirigée par les États-Unis à la suite de l'invasion et l'annexion du Koweït par l'Irak. Saddam Hussein annexe le Koweït au mépris du droit international à l’été 1990, les États-Unis forment une coalition dont ils prennent la tête pour refouler les troupes irakiennes hors du Koweït. Mais ils ne renversent pas le dictateur. L’Irak sort affaibli de son conflit avec l’Iran, mené de 1980 à 1988. Très militarisé, endetté auprès de ses voisins, mais fort du soutien de l’URSS et des Occidentaux, l’Irak envahit le Koweït le 2 août 1990, puis proclame son annexion. Les raisons de cette annexion sont plurielles. L’Irak revendique ce territoire depuis sa création en 1961, considérant qu’il est né des frontières artificielles de la décolonisation (tout comme l’Irak cela dit). L’Irak ne peut rembourser les 80 milliards de dollars empruntés au Koweït pour financer la guerre Iran-Irak. Le pays est très militarisé à la sortir de la guerre Iran-Irak et le Koweït, petit État voisin, paraît assez facile à annexer. Le Koweït est très riche en pétrole, il a décidé d’augmenter sa production de pétrole sans consulter ses voisins. Les cours de l’or noir chutent, ce qui affecte les revenus irakiens. De plus, les champs de pétrole koweïtiens suscitent la convoitise de Saddam Hussein. Le Koweït devenu irakien élargit considérablement l’accès à la mer pour Bagdad. L’annexion du Koweït est aussitôt condamnée par le Conseil de sécurité de l’ONU qui exige le jour même un retrait immédiat. Cette rapidité et cette unanimité marquent d’ailleurs le retour de l’ONU sur la scène internationale après la paralysie de la guerre froide. Deux jours plus tard, l’opération « Tempête du désert » débute par un bombardement massif des sites irakiens, doublée, fin février, de trois jours de bataille terrestre qui permet la libération du Koweït. Cette intervention (surtout américaine car les États-Unis sont à la tête de la coalition) a pour but : de faire prévaloir le droit international même par les armes ; de protéger les approvisionnements en pétrole ; de se prémunir contre une éventuelle menace nucléaire car Saddam Hussein cherche à acquérir la bombe A. Elle montre l’importance de l’hyperpuissance américaine. Le bilan est important et déséquilibré : 100 000 Irakiens trouvent la mort, contre 200 militaires de la coalition. Se développe en effet un fantasme de la « guerre propre ». Les États-Unis contrôlent les médias. Par ailleurs, les forces irakiennes incendient les puits de pétroles koweïtiens lors de leur retraite. Enfin, la coalition menée par les États-Unis ne conduit pas au renversement de Saddam Hussein. Les chiites et les Kurdes se sont pourtant soulevés contre Saddam Hussein, persuadés d’être soutenus par les armées de la coalition. Leur soulèvement est cruellement réprimé. Nous pouvons ici voir qu’il y a une guerre asymétrique. Après celle-ci il va y avoir malheureusement une deuxième guerre du Golfe qui durera huit ans (2003-2011). Donc pour finir nous nous intéresseront à la deuxième guerre du Golfe. En 2003, à la suite des attentats de 2001, les États-Unis de George W. Bush (fils du précédent) cherchent à renverser le dictateur Saddam Hussein, qu’ils accusent de détenir des armes de destruction massive. Le président américain s’appuyait sur le concept de « guerre préventive » pour attaquer l’Irak et parer à la menace des armes. Après l’invasion de l’Irak, ces armes n’ont d’ailleurs jamais été retrouvées. Les États-Unis n’ont pas reçu l’aval de l’ONU pour envahir l’Irak. Certains de ses alliés, comme la France, s’y sont fermement opposés. Pourtant, les États-Unis sont entrés en Irak le 20 mars 2003, soutenus par leurs alliés comme la Grande-Bretagne, l’Australie, la Pologne et l’Italie. Cette invasion a abouti à la défaite rapide de l'armée irakienne, à la capture et l'exécution de Saddam Hussein. Un nouveau gouvernement a été mis en place. Cette intervention sans l’aval de l’ONU est en grande partie à l’origine du chaos irakien et de la déstabilisation de la région. Les États-Unis ont tenté d’instaurer la démocratie en Irak, les chiites majoritaires ont repris le pouvoir. Les sunnites de l’Ouest de l’Irak ont très mal vécu cette perte de pouvoir. Certains se sont tournés vers des organisations islamistes sunnites, dont Daech à partir de 2014. La mosaïque irakienne (ethnique et religieuse) implose.

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