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LIN2752 – révision fin de session

Résumé : LIN2752 – révision fin de session. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  5 Juillet 2021  •  Résumé  •  18 083 Mots (73 Pages)  •  264 Vues

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LIN2752 – révision fin de session

Dimanche 25 avril

Brightspace

9 :30-11 :30

60 questions

Vrai/faux

Choix mutliples

Porte sur toute la session

Anatomie du cerveau et concepts de base :

Anatomie

  1. Anatomie générale du cerveau
  1. Les cellules du cerveau
  • Le cerveau contient majoritairement des neurones (plus d’un trillion)
  • Les neurones ont différentes formes et différentes longueurs
  • La communication intra-neurone ce fait par signal électrique
  • La communication inter-neurones ce fait par signaux chimiques et neurotransmetteurs
  • Les neurones sont composés d’un noyau (soma), des dendrites (faisceaux de fibres qui recoivent le signal électrique à travers les neurotransmetteurs dans la synapse (grise)), des axones (transmettent signal électrique et sont recouverte de myéline (blanches)), et synapses (communication entre neurones).
  • Synapse électrique : les cellules se touchent et sont reliées par de petits trous, permet à l’influx nerveux de passer directement de l’une à l’autre
  • Synapse chimique : les cellules ne se touchent pas et l’influx nerveux a besoin de molécules particulières (neurotransmetteurs) pour frnachir l’espace entre les deux
  • Neurtransmetteurs : molécules chimiques qui permettent au signal électrique de passer d’un neurone à l’autre
  1. Anatomie du cerveau
  1. Division majeures
  • Vue coronale : séparer dans le milieu avant/arrière
  • Vue horizontale : séparer dans le milieu haut/bas
  • Vue sagittale : séparer dans le milieu gauche/droite
  • Supérieur, inférieur, antérieur, postérieur
  • Cerebrum, Corps calleux, diencéphale, tronc cérébral, cervelet, moelle épinière
  • Corpus Callosum : principale connexion entre les deux hémisphères du cerveau. Constitut un faisceau de fibres
  1. Lobes
  • Lobe frontal : impliquer dans la cognition, c’est le cortex moteur
  • Lobe pariétal : cortex somatosensoriel
  • Lobe temporal : Première aire de l’audition
  • Lobe occipital : Première aire de la vision
  1. Sulci/Gyri
  • Sulcus : sillon/fente séparant les gyri
  • Gyrus : Circonvolution/repli sinueux délimité par les sulci, Renferment des structures
  • Scissure longitudinale : sépare le cerveau en deux hémisphères
  • Sillon latéral : sépare le lobe pariétal et temporal, très profonde, principalement horizontale
  • Sillon pariéto-occipital : sépare le lobe pariétal du lobe occipital
  • Sillon temporal supérieur : sépare le gyrus temporal supérieur et le gyrus temporal moyen
  • Sillon temporal inférieur : sépare le gyrus temporal moyen et le gyrus temporal inférieur
  • Gyrus temporal supérieur : renferme le planum temporale
  • Gyrus frontal inférieur : renferme les « pars opercularis (Op) » et « pars triangularis (Tr) »
  • Sillon central : sépare le lobe frontal du lobe pariétal
  1. Cytoarchitectonie : l’étude des différences d’épaisseur
  • L’épaisseur du cortex n’est pas identique sur tout le cerveau
  • Le cortex cérébral contient 6 couches avec des types de cellules neuronales et des fonctions différentes
  • Les différentes aires architectoniques sont numérotées
  • Elles sont nommées aires de Brodmann (BA) de Korbinian Brodmann, neurologue et neurophysiologiste
  • Les 6 couches varient en épaisseur et en densité de cellules neuronales
  • L’étude des différences d’épaisseur sert à identifier les bordures des régions du cortex
  • Les aires différentes ont des fonctions différentes
  1. Variabilité anatomique
  • Il y a de la variabilité anatomique à cause de l’expérimentateur, du type de test utilisé et des sujets analysés (cerveaux)
  • Conséquences : la même pathologie peut avoir des symptôme variés, les mêmes symptômes peuvent découler de différentes pathologies
  1. Aire de Broca
  • Fonctions :
  • Une des principales zones responsable du traitement du langage
  • Zone de production des mots parlés
  • « Traduction en mots » de la signification de gestes liés au langage
  • Implication en syntaxe
  • Pathologie :
  • Aphasie de Broca
  • Emplacement :
  • Aire frontal gauche
  • Emplacement macroscopique :
  • Pars opercularis (Op) et pars triangularis (Tr)
  • Emplacement cytoarchitectonique :
  • BA44, BA45
  • Variabilité de l’emplacement chez les sujets
  • Les cartes de probabilité cytoarchitectoniques sont utilisés dans les études d’imagerie (ex : IRMf)
  1. Aire de Wernicke
  • Fonctions :
  • Zone impliqueé dans la compréhension des mots et du langage écrit et oral
  • Implication en sémantqieu
  • Résolution de l’ambiguïté sémantique
  • Pathologie :
  • Aphasie de Wernicke
  • Emplacement :
  • Aire postérieure gauche
  • Emplacement macroscopique :
  • Planum temporale
  • Bord antérieur du gyrus de Heschl (impliqué dans l’audition)
  • Bord postérieur du gyrus temporal supérieur
  • Le long du gyrus temporal supérieur
  • Emplacement cytoarchitectonique :
  • BA22

L’histoire de la neurolinguistique

Premiers modèles de langage

  • Au 18e siècle il y a un débat au sujet de la relation entre le cerveau et le comportement
  • Débat entre modularité et holisme
  • Modularité : La fonction (le comportement) est localisé à des endroits spécifiques du cerveau (aires cérébrales spécifiques)
  • Holisme : La fonction se trouve partout dans le cerveau sans localisation
  • La première théorie modulaire : phrénologie
  • Introduite par Franz Josef Gall
  • Phrénologie :
  • L’esprit humain est séparé en facultés (espoir, combativité, courage, langage…)
  • Le cerveau est séparé en aires distinctes
  • Il y a une relation de un pour un entre les facultés et les aires
  • Une aire plus grande pour une facultés signifie une meilleure performance dans cette faculté
  • La forme du crâne est identique à la forme du cerveau
  • La phrénologie n’est pas une science
  • Problèmes pour la phrénologie :
  • Pas d’analyse statistique
  • Les fonctions dont elle parle sont difficiles à définir et à quantifier de façon objective
  • Le crâne n’est pas représentatif de la forme du cerveau
  • Critique de la phrénologie par Jean-Pierre Flourens
  • Lésion à des parties du cerveau
  • Comportement non altéré ou réapprentissage
  • Sa conclusion : pas de modularité
  • Problème : études sur des poulets et des pigeons
  • Problème : comportement simple (marcher)
  • Apport : Technique de lésion pour déterminer la fonction d’une structure
  • Les premiers à proposer une théorie de la modularité basée sur des faits scientifiques :
  • Paul Broca (1824-1880)
  • Carl Wericke (1848-1905)
  • Avec cette théorie, le premier modèle du cerveau est développé
  • Contribution de Broca au débat sur la modularité :
  • Étude d’un patient avec lésion cérébrale (cérébrolésé)
  • Patient célèbre : Leborgne (tan)
  • Symptômes :
  • Incapable de parler et répétait seulement « tan »
  • Paralysie du côté droit du corps
  • Autopsie :
  • Lésion au lobe frontal gauche
  • Le lobe frontal gauche (aire de Broca) est impliqué dans le langage
  • Une lésion à l’aire de Broca est associée avec des déficits de production
  • Notion de latéralisation du langage
  • Dominance cérébrale
  • Dominance de l’hémisphère gauche (en général)
  • Mais l’hémisphère droit est aussi très impliqué (métaphore, émotions…)
  • Contribution de Wernicke au débat sur la modularité :
  • Étude sur des patients qui :
  • N’avaient pas de paralysie
  • Avaient un langae fluide mais vide de sens
  • Entendaient mais ne comprenaient pas
  • Autopsie : lésion au lobe temporal postérieur gauche
  • Le lobe temporal postérieur gauche (aire de Wernicke) est impliqué dans le langage
  • Une lésion à l’aire de Wernicke est associée avec des déficits de compréhension

Rôles des parties du cerveau

  • Lésion : lésionner une partie du. Cerveau et voir ce que ça donne
  • Études chea les animaux
  • Études chez les humains (Penfield)
  •  Études de patients (Broca et Wernicke)
  • AVC (accidents vasculair cérébral)
  • Accidents
  • Déterminer. Leur lésion et étudier leurs symptômes
  • Double-dissociation
  • Simple dissociation : Une aire. Du cerveau est associé à une fonction cognitive spécifique
  • Double dissociation :
  • Une aire du cerveau est associée à une fonction A mais pas B
  • Une autre aire du cerveau est associée à une fonction B mais pas A
  • Les deux aires sont dissociées
  • Déterminé par des tests cognitifs

Modèles plus précis

  • Affinement du rôle de l’aire de Wernicke
  • Connectée à l’aire visuelle
  • Lésion peut causer alexie
  • Connectée à. L’aire motrice et sensorielle
  • Lésion peut causer apraxie
  • Rôle du faisceau arqué
  • Aphasie de conduction
  • Sons et mouvements langagiers gardés
  • Compréhension gardée
  • Incapacité de répéter
  • 19e siècle : utilisation de méthodes électrophysiologiques
  • Placer une électrode sur le cortex
  • Passer un petit courant électrique
  • Observer la modification d’’un comportement
  • Conclusion :cette partie du cortex est responsable du comportement
  • Ex : stimulation du cortex frontal droit = mouvement côté gauche du corps
  • Stimulation du cortex postérieur droit ne donne pas pas de mouvement
  • Geschwind. (1960) propose un modèle modulaire du langage
  • Pour prononcer un mot qu’on a entendu :
  • Le mot est entendu
  • Activation du cortex auditif – Cortex auditif vers aire de Wernicke – Compréhension du mot
  • Le mo compris doit être produit (répété)
  • Connexion entre aire de Wernicke et Broca activée – Faisceau arqué
  • Le mot est produit
  • Activation de l’aire de Broca – Aire de Broca vers cortex moteur primaire – le mot est produit
  • 20e siècle :
  • Consensus sur l’existence de modules dans le cerveau
  • Différentes aires cérébrales ont différentes fonctions
  • Les différentes fonctions sont séparées les unes des autres
  • Pas de consensus sur la définition du module
  • Pas de consensus sur quels sont les modules
  • Pas de consensus sur quelles fonctions sont associées à chaque module
  • Exemple de théorie modulaire
  • Fodor
  • Critères et condition spécifiques pour la définition d’un module
  • Application aux domaines perceptuels et cognitifs
  • Proposition d’un module de langage

        

Les méthodes de recherche

Comment construire un test

  • Hypothèse : la réponse qu’on s’attend à trouver à la question de recherche
  • Basée sur la recherche bibliographique
  • Établir une question de recherche
  • Définir ce qu’on cherche à savoir
  • Faire des observations préalables et voir ce que les autres ont observé avant nous
  • Variable indépendante :
  • Contrôlée par l’expérimentateur
  • Représente la cause suspectée du comportement/processus mental auquel s’intéresse la question de recherche
  • Il. Peut y avoir plus qu’une cariable indépendante mais il faut faire attention de garder les interactions claires
  • Variable dépendante :
  • La variable mesurée
  • Représente l’effet de la variable indépendante sur un comportement
  • Variable confondante
  • Variable ou circonstance influençant les résultats
  • Variable non désirée car elle introduit des biais dans l’étude
  • La mesure :
  • S’applique à la variable dépendante
  • Montre la variation
  • Représente le résultat
  • Permet de tirer des conclusions
  • Permet de confirmer ou d’infirmer l’hypothèse
  • Il y a deux types de groupes de participants dans la plupart des études
  • Le groupe test
  • Le groupe qui répond à la question de recherche
  • Le groupe pour lequel on s’attend à ce que la variable dépendante varie
  • Le groupe contrôle (ou témoin)
  • Ce groupe doit différer du groupe test par une propriété seulement
  • On ne s’attend pas à ce que la variable dépendante varie dans ce groupe
  • Permet de démontrer qu’il y a quelque chose de spécial dans le groupe test en lien avec la question de recherche
  • Idéalement, le nombre d’hommes et de femmes doit être aussi égal que possible dans un même groupe (environ 50/50))
  • Idéalement, le nombre de femmes et d’hommes doit être aussi égal que possible d’un groupe à un autre (entre le groupe test et les groupe contrôle
  • Souvent on essaie d’avoir seulement des droitiers
  • Dépend du type de test et du type de tâche utilisée
  • L’âge des participants ::
  • Ne s’agit pas seulement de différencier les enfants des adultes des sujets âgés
  • Les participants doivent avoir sensiblement le même âge dans un même groupe et d’un groupe à l’autre
  • L’âge influence le nombre d’années depuis qu’une langue est parlée
  • Grande influence en apprentissage d’une langue seconde et en bilinguisme/multilinguisme
  • Biais introduits par les participants ou le test
  • Fatigue, café, expérience, habituation…
  • Le type de test doit prendre ces facteurs en compte
  • Nombre de participants
  • Pour que les résultats soient fiables il faut un certain nombre de participants
  • Ce nombre dépend du type d’’étude
  • Les études de cas : 1 participant est suffisant
  • Les études avec des cérébrolésés : entre 3 et 10 participants suffisent
  • Les études avec des sujets sains : à partir de 30 participants/groupe mais préférablement plus de 30/groupe-
  • Les stimuli sont ce qui est présenté aux participants lors d’un test
  • Choisis en fonction de la question de recherche
  • Choisis en fonction de la tâche et de la méthode employée
  • La présélection
  • Sert à déterminer quels stimuli sont adéquats et les plus susceptibles d’apporter des résultats intéressants
  • La première ébauche de stimuli est présentée à un groupe de participants autres. Que les participants du test
  • Propriétés des stimuli
  • Ils doivent être similaires entre eux
  • Types d’images similaires (couleur, taille, stéréotypicalité)
  • Nombre de lettres, nombres de syllabes similaires
  • Complexité similaire
  • Fréquence d’utilisation similaire
  • Tailles de champs lexicaux similaires
  • Les conclusions
  • Basées sur les résultats
  • Basées sur les données statistiques
  • Permettent soit de :
  • Confirmer l’hypothèse
  • Infirmer l’hypothèse
  • Montrer qu’il faut plus de recherche
  • La conclusion est la réponse à la question de recherche

Méthodes comportementales

  • Mesures
  • Temps de réaction
  • Le temps en millisecondes que le participant prend à réagir au test, à fournir une réponse
  • Rend compte de processus cérébraux
  • Le temps que ça prend pour. Donner une réponse représente le temps que ça prend pour le traitement de l’information au niveau mental/cérébral
  • Mesure « en direct »
  • Nombres d’erreurs
  • Cette mesure représente le nombre de réponse « fausses »
  • Réponses différentes de la réponse attendue
  • Erreurs dénotant un processus mental dans le traitement de l’information linguistique par le participant
  • Types de tests
  • Dénomination d’images
  • Une image est présentée au participant
  • Le participant doit nommer l’image qu’il voit
  • On peut lui demander d’utiliser un nom seul
  • Un nom avec déterminant (Défini ou non)
  • Un nom avec un adjectif avec un déterminant
  • Test servant principalement à tester le lexique (mental)/la morphologie
  • Choix d’images
  • On présente plusieurs images au participant
  • Afin de réduire la possibilité qu’il obtiennent la bonne réponse par chance (2 images = 50% de chance, 4 images = 25% de chance)
  • On présente un mot ou une phrase au participant
  • Le participant doit choisir l’image qui correspond au mot ou à la phrase soit en appuyant sur une touche soit à voix haute
  • Test pouvant servir à tester la syntaxe mais aussi le lexique
  • Décision lexicale
  • On présente un « mot » au participant
  • Il peut être présenté visuellement à l’écrit
  • Il peut être présenté auditivement à l’oral
  • On demande au participant d’indiquer s’il s’agit d’un vrai mot ou non
  • Le participant indique son choix soit en appuyant sur une touche soit en répondant à voix haute
  • Test évaluant le lexique, la morphologie et la phonologie
  • Amorçage
  • Un stimulus (un mot) est présenté, c’est l’amorce
  • Après un intervalle de temps un autre stimulus est présenté (un autre mot ou début de mot)
  • Le participant doit soit compléter le début de mot soit dire s’il a déjà vu le mot soit dire s’il s’agit d’un mot (décision lexicale)
  • On s’attend a. observer un effet de facilitation
  • Le participant se souvient inconsciemment d’avoir déjà vu le mot
  • Traduction
  • Participants bilingues ou multilingues seulement
  • On présente un mot ou une phrase au participant dans une langue donnée (à l’écrit ou à l’oral)
  • On demande au participant de trduire le mot ou la phrase dans une autre langue
  • On peut lui demander de traduire en ajoutant des éléments
  • Jugements grammaticaux
  • Une phrase est présentée aux participants
  • Ceux-ci doivent d.cider si elle est grammatical ou non
  • Fait appel aux connaissances linguistiques (principalement syntaxiques) intrinsèques des participants
  • Se base sur l’idée qu’une personne parlant une langue à un niveau « natif » connaît implicitement sa grammaire
  • Se base sur la théorie de la grammaire universelle
  • Jugements de sens
  • Variante du jugement grammatical : le jugement de sens
  • Fait plutôt appel aux connaissaices sémantqieus des participants
  • N’implique pas. Un problème au niveau de la structure de la phrase
  • Se base sur la grammaire universelle

Méthodes instrumentales

  • Les méthodes instrumentales permettent d’avoir une mesure plus directe des phénomènes pstchologiques et neurologiques
  • Plus directe que les méthodes comportementales
  • La plupart sont relativement non invasives
  • Moins invasif que les lésions
  • Permettent les. Études sur des sujets sains
  • TMS (transcranial magnetic stimulation)
  • Simulation magnétique transcranienne
  • Permet d’inhiber une aire spécifique du cerveau
  • Permet de simuler une lésion
  • Permet d’exciter une aire spécifique du cerveau
  • La base du signal :
  • Un courant électrique passe à travers la bobine (en cercle ou en « 8 »
  • La bobine émet un champ magnétique
  • Le champs magnétique émit par la bobine induit un courant électrique dans une région du cerveau
  • La région du cerveau dont les neurones sont stimulés est soit inhibée soit excitée
  • Si elle est inhibée, on observe le. Comportement qui est affectée (lésion temporaire, simulée)
  • Si elle est excitée, on observe le comportement qui est produit (ex :  la main se met à bouger)
  • Concepts expérimentaux :
  • On présente une tâche exprimentale soit pendant la stimulation soit après la stimulation
  • Pendant : TMS en direct
  • Utilisé pour évaluer l’implication. D’une partie du cerveau tout au long de la tâche
  • Après : TMS en différé
  • Utilisé pour comparer l’implication d’une partie du cerveau avant et après stimulation
  • Avantages et inconvénients :
  • Avantages
  • Simulation de lésion
  • Étude de l’implication d’aires spécifiques du cerveau
  • Inconvénients
  • Restrictions pour les sujets épileptiques, cardiaques, enceintes…
  • Un médecin doit être sur place pendant l’étude
  • Permet d’étudier uniquement des aires en surface
  • Manque de précision
  • IRMf (imagerie par résonance magnétique fonctionnelle)
  • Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle
  • Montre la fonction
  • IRM : imagerie par résonance magnétique
  • Montre l’anatomie
  • Matériel
  • Aimant, bobine, bobine de fréquence radio
  • Étapes :
  • Champ magnétique principal
  • Protons dérangés par. Pulsation de fréquence radio
  • Protons réalignés sur le champs magnétique principal
  • L’aimant
  • Génère le champ magnétique
  • Différentes intensités visent différents vaisseaux sanguins
  • La bobine de gradient
  • Électro-aiman
  • Fait varier le champ magnétique de façon linéaire
  • La bobine de fréquence radio
  • Permet d’obtenir de meilleures images en augmentent le ratio signal/bruit
  • La base du signal
  • Champs magnétiques
  • Pulsations radio et temps de relaxation
  • Contratse entre les tissus
  • Niveau d’oxygène dans le sang
  • EEG (électroencéphalographie)
  • Mesure de l’activité électrique du cerveau
  • Donne de l’inormation sur le déroulement d’’un processus mental
  • La base du signal
  • Le signal EEG :
  • Mesure « grossière » de l’activité cérébrale
  • Représente une conglomération de différentes sources d’activité
  • Les potentiels évoqués
  • Potentiels électriques associés à des événements spécifiques
  • Flux d’information
  • Les potentiels d’action voyagent le long de l’axone jusqu’aux terminaisons
  • Les neurotransmetteurs sont relâchés dans la synapse
  • Les neurotransmetteurs changent le potentiel sur la membrane du neurone post synaptique
  • Ces changmenets sont ce que le signal EEG mesure
  • Particularités de tous les types de tests
  • Avantages et inconvénients

Parole et troubles développementaux

Notions de phonétique et de phonologie

  • La phonétique :
  • L’étude des sons du langage oral humain et de tout ce qui le compose
  • Comporte trois branche
  • Phonétique articulatoire (production des sons)
  • Phonétique auditive (Perception des sons)
  • Phonétique acoustique (ce qui se passe entre les deux)
  • Oscillogramme
  • Les consonnes : l’état glottal
  • Non-voisé
  • Les cordes vocales sont relâchées et l’air peut passer librement
  • En français :  p, t, k, f, s…
  • Voisé
  • Les cordes vocales sont contractées et obstruent le passage e l’air provoquant une vibration
  • En français : b, d, g, z….
  • Les consonnes : lieu d’articulation
  • Labial
  • Bilabial (p, b, m)
  • Labiodental (f, v)
  • Dental ((t,  d, l…)
  • Alvéolaire (t, d…)
  • Post alvéolaire
  • Vélaire (k, g…)
  • Les consonnes : la manière d’articulation
  • Occlusives
  • Nasales (m, n)
  • Orales (p, b, t…)
  • Fricatives (f, v, s…)
  • Affriquées (ts, dz)
  • Les voyelles : le degré d’ouverture de la bouche
  • Fermé (i, y, u)
  • Mi-fermé (e, o)
  • Mi-ouvert. (ɛ, œ)
  • Ouvert (a, )
  • Les voyelles : la position de la langue
  • Avant (i, y, e, a))
  • Central
  • Arrière (u, o)
  • Les voyelles : l’arrondissement des lèvres
  • Arrondies (y, u,  o,œ)
  • Non-arrondies (i, e, a)
  • Les voyelles : la nasalité
  • Orales (i, y, u, e, o, a)
  • Nasales (ã, õ)
  • Interactions
  • La coarticulation
  • La production de la parole n’est pas une série d’évènement isolés
  • La résultante est l’articulation d’un son qui chevauche celle du son immédiatement adjacent
  • VOT (Voice onset time)
  • Temps de début de voisement
  • Temps entre le relâchement d’une occlusive et le début des vibrations glottales pour la voyelle suivante
  • Permet de faire la différence enre des sons qui diffère par le voisement et aussi entre de petites particularités pour un même son
  • La phonologie
  • L’étude de l’interaction entre les sons
  • Elle étudie les phonèmes et les syllabes
  • Elle est spécifique à une langue en particulier
  • Phonèmes
  • Unités distinctes
  • Selon certaines théories, il s’agit de la plus petite unité de segmentation de la chaîne de parole
  • Unité de construction de la syllabe
  • Chaque langue possède un groupe de phonèmes pris dans le groupe de tous les phonèmes possibles
  • À moins. De 10 mois on dstingues les phonèmes de toutes les langues
  • Avec le temps, la perception s’adapte uniquement aux sons de la langue parlée
  • Syllabes
  • Paires minimales
  • Permettent d’établir quels sont les phonèmes et quels sont les allophones
  • On peut les représenter soit par les phonèmes isolés
  • On peut les représenter dans des syllabes
  • Elle permettent de distinguer des situations
  • Deux phonèmes
  • Un phonème et une de ses variations
  • Deux phonèmes
  • « paix » et « baie »
  • Un phonème et ses allophones
  • Ts et t en français
  • Effets McGurk
  • Nous faisons des erreurs de perception quand ce qu’on voit ne correspond pas à ce que l’on entend
  • Entre les mouvements de la bouche et lessons vocaux
  • Règles phonologiques et de syllabification
  • Règles. Phonologiques
  • Sont propres. Chaque langue
  • Décrivent la façon dont les phonèmes peuvent s’organiser entre eux et les interactions qui peuvent en découler
  • Règles de syllabification
  • Propre à chaque langue
  • Décrivent les suites de phonèmes qui créent des syllabes possibles
  • Décrivent de quoi les syllabes sont constituées

Dans le mental/cerveau

  • Études expérimentales de nous avons vues
  • Auteurs
  • Van Lancker & Canter (1982)
  • Questions de recherche
  • Quelles sont les étapes impliquées dans le traitement de la parole dans le cerveau?
  • Est-ce que la perception de la parole est spéciale?
  • Est-ce qu’il y a une sélectivité pour la parole dans certaines régions qui traitent l’information auditive
  • Quels aspects de la parole sont traité où?
  • Est-ce que les voix ont un statut spécial dans le système auditif?
  • Méthodologie
  • Choix d’images
  • 7 images de personnes connues
  • À chaque image on donne 4. choix
  • Choix de voix (variante du choix d’images)
  • 7 enregistrements vocaux de personnes connues
  • À chaque enregistrement on donne. 4 choix
  • Résultats
  • Les patients avec lésions à l’hémisphère droite ont plus de difficulté à reconnaître les visages et les voix
  • Les patients avec lésions à l’hémisphère gauche ont de meilleurs performances dans les deux tâches
  • Interprétations et conclusion
  • L’hémisphère droite est liée à des problèmes de reconnaissances visuelle (prosopagnosie) et vocale (phonagnosie)
  • La prosopagnosie est souvent accompagnée de phonagnosie
  • La voix est traitée de façon particulière dans le cerveau
  • Latéralité
  • Quelle hémisphère s’occupe du traitement des sons du langage?
  • Les deux
  • Hémisphère gauche
  • Variations sonores rapides
  • Intégration des phonèmes
  • Hémisphère droite
  • Variations sonores lentes
  • Intégration des syllabes
  • Intonation, prosodie

Troubles développementaux du langage

...

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