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Droit des affaires

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Par   •  7 Mars 2016  •  Cours  •  9 632 Mots (39 Pages)  •  834 Vues

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  1. Introduction au DA

  1. Définition du DC qui est le noyaux du DA

2 définitions s’applique au DC et au CC :

  • objective (sur l’objet) : la nature des actes accomplies  
  • subjective (le commerçant) : le statut de la personne pour être assigné au TC
  1. Définition du DA

Pas de définition officielle.

DA = branche du droit règlementant les activités dans leurs ensembles (la prod, l’échange... du début à leur fin) de l’E effectué par les agents éco.

Pluridisciplinarité du droit avec +++ codes regroupés dans le CC : (structures juridiques, des contrats, du travail, instruments de paiement, fiscal, des E en difficultés.)

= Droit privé a priori qui ne doit pas déborder sur le droit public.

= droit d’exception = le CC prime les règles du droit civil. Mais reste complémentaire au droit civil (= pas autonome). (Ex : Une action récursoire)

  1. Les raisons du particularisme du DA

4 raisons expliquent l’élargissement du DC vers le DA:

  • Rapidité et Simplicité de conclusion et d’exécution d’actes
  • = formalisme des contrats moindre et liberté de la preuve prônée
  • Théorie de l’apparence = Contrats à apparence réel entre E = valable (même si 1 des 2 parties était contre)
  • L’adaptabilité (Instrument de paiement)
  • Lettre de change = souple permet 1 crédit (car paiement à terme)
  • Reconnue : signature électronique, paiement en ligne, engagement par double clic (le net)
  • La protection et le formalisme
  • Doit sécurisé les parties en créer 2 obligations :
  • publication au RCS
  • Accélération = procédure spéciale : injonction de payer = d’obtenir un titre exécutoire de paiement en 1 mois.
  • Droit E en difficultés = procédures collectives : redressement, liquidation judiciaire
  • La transparence = circulation et diffusion d’information
  • Rôle juridique = sécurisé l’E
  • Rôle éco = valoriser l’E
  • Atténuer par le secret des affaires
  1. Les sources du DA

  1. Les sources écrites (les textes, officielles)

Les sources internationales et communautaires prime l’ordre interne :

  • les traités signé par la France
  • le conseil et la commission européenne (réaffirment le principe de liberté du commerce et de l’industrie)

Les textes internes :

  • le CC (la loi)
  • cite le principe de la liberté du commerce et de l’industrie, tout le monde y a accès sans empiéter sur les autres
  • les règlements (= raccourci, fait par les exécutifs)
  1. Les sources orales (officieuse)

  • us (usage de fait) et coutume (usage de droit)
  • But : facilité et sécurisé les transactions
  • 2 = pratiques répéter considérer comme obligatoire pour les parties
  • mais il y a une ≠ de champs d’appli:
  • les us = facultatif et champs d’appli restreint (géographiq, matériel)
  • les coutumes = obligatoire et champs d’appli générale
  • la pratique (par les praticiens) et la doctrine (règles écrite par ≠ auteurs)
  1. Les modes de règlement des conflit en DA

  • les décisions juridictionnelles = TC = compétence d’attribution (spéciale) = tous litiges entre commerçant et par rapport aux actes de commerce, de sociétés commerciales et les procédures collectives. Compétence prévue par la loi.
  • Les juges = des commerçant donc des juges consulaires. Ils doivent être chef d’E. Former au sein des TC et exerce gratuitement. Pas obliger d’avoir un avocat. Reproche : ils ne sont pas impartiaux, manque de connaissance juridique
  • L’échevinage = système de mixité dans les TC soit, des commerçant et magistrat professionnel (pour + de sécurité et prise davantage en compte de l’équité du droit)
  • TC statue soit collégialement (+++ magistrat), soit un magistrat
  • La décision du TC = décision de 1ère instance (ainsi une foi le délai passé de l’appel la décision est exécutoire) contestation via l’appel.
  • Pour les décisions dont le montant < 10 000€ l’appel est supprimé ne peut se pourvoir uniquement en cassation. Sinon appel et cassation.
  • La spécificité de 1ère instance n’existe plus en appel ou en cassation car composé uniquement de magistrat et de professionnel su droit
  • - 200 1ère instance / 35 appel et 1 cassation sur le territoire but : unifier les décisions
  • au TC 1ère instance possibilité de négociation entre les parties
  1. MARC (mode alternatif de règlement des conflits) :

MARC = + rapide et – cher (si ça n’aboutit pas retour à une décision judiciaire)

  • arbitrage (arbitre)
  • déroulement de la procédure imposé, proposition de solutions et impose une décision
  • (se rapproche de la décision du jugement du TC, mais aura été conçut sur un procédure participative puisque ils ont volontairement choisit l’arbitrage)
  • Aujourd’hui + de 80% de ces décisions ne sont pas contestées
  • Si l’arbitrage est contesté on à un retour au TC donc beaucoup plus long  
  • conciliation (conciliateur)
  • mené les parties à trouver une solution entre elles
  • éventuellement à l’aide d’un tiers n’ayant aucun pouvoir sur les parties
  • médiation (médiateur)
  • toujours un médiateur (un tiers) à un rôle actif entre les parties (date imposé, demande de fournir des pièces) fait des proposition
  • les parties sont libres dans le choix de la solution finale
  1. L’entreprise sous forme sociétaire

En 2013, création d’E : 30%  société VS 70% E individuelle : auto entrepreneur, EIRL (E individuelle resp. limité), E individuelle.

Soc. individuelle (1 seul associé) :

  • EURL (E unipersonnel à resp. limité)
  • SASU (soc. par action simplifié unipersonnel)

Soc. a les attribut d’une personne juridique (morale) : dénomination social, nationalité, siège social et patrimoine propre

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