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Psychologie des apprentissages

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Par   •  14 Octobre 2018  •  Cours  •  1 404 Mots (6 Pages)  •  796 Vues

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PSYCHO DES APPRENTISSAGES

INTRODUCTION

(feuille apprentissage : quelques définitions )

PLASTICITE CEREBRALE : développement des réseaux neuronaux en faisant des activités fréquentes et variées.

INTRO 2 : L’APPRENTISSAGE A CHAMP DE THEORIES

Nous ne sommes pas les premiers à nous intéresser à l’apprentissage ( Platon, Socrate ). Au 18me siècle, J.J Rousseau dans son ouvrage les milles introduit la psychologie de l’apprentissage.

  • Ce sont des modèles sur lesquels nous pouvons nous baser => PARADIGME : C’EST UN ENSEMBLE DE LOIS ET DE PRINCIPES QUI DECRIVENT LA MANIERE AVEC LAQUELLE L’APPRENTISSAGE SE DEROULE.

Tous les modèles ne sont pas reconnus par les scientifiques car ils doivent correspondre à un cahier des charges et effectuer des dispositifs expérimentaux.

CHAPITRE 1 : LE BEHAVIORISME

  1. Les principaux représentants du courant

WATSON 

THORNDIKE 

PAVLOV

SKINNER

  1. Les principaux concepts

  • Apprentissage par essai et erreur THORNDIKE
  • Conditionnement
  • Association S.R WATSON
  • Renforcement SKINNER
  • Enseignement programmé

Tous les behavioristes ne vont s’intéresser qu’au comportements observables, objectivables sans exceptions. D’ailleurs, BEHAVIOUR en anglais signifie comportement.

  1. WATSON

Watson avait envie d’être reconnus comme scientifiques. Il avait envie de ramener la psychologie a un niveau reconnus au même titre que les maths. Sa psychologie était la psychologie S.R = STIMULUS REPONSE. Il a introduit une nouvelle idée, celle de ne s’intéresser qu’aux idées observables et le reste était dans une « boite noire »

Selon Watson « Les termes conscience, état d’esprits et esprit sont à bannir. »

Les théories behavioristes se nourrissent aussi des théories évolutionnistes (Darwyn etc..) . Pour DARWYN par exemple, l’Homme est au bout de la chaîne, si on arrive à expliquer le comportement animal alors le comportement de l’Homme est similaire. Donc les behavioristes, en faisant leurs dispositifs expérimentaux ils utilisaient les animaux et pensaient que les humains étaient identiques.

  1. THORNDIKE

Grâce à Thorndike, qui a fait des expériences qui correspondent aux cahier des charges scientifiques, on va pouvoir commencer a parler de psychologie scientifiques. De ses expériences on va pouvoir en résulter des lois qu’on va pouvoir utiliser pour comprendre comment quelqu’un apprend.

Expérience 1 :  on met un rat dans une cage ou il faut appuyer sur une pédale pour avoir accès à de la nourriture. La première fois qu’il le fait le rat tente de comprendre, et chaque fois qu’on le remet dans sa cage il arrive plus rapidement à ouvrir l’accès. A la fin, si il arrive directement dans sa cage et appuie sur la pédale, on considère qu’il a appris. Pour pouvoir effectuer cette expérience, il faut de la MOTIVATION = Le rat doit avoir faim ( métaphore de l’envie d’apprendre des enfants ).

Expérience 2 : Il prend des chats errants qui ont faim et les met dans une cage, mais remplace le levier par une ficelle. Première étape : exploration pour le chat et au fur et à mesure qu’on le met dans la cage, il tente d’ouvrir pour avoir accès et ça plus rapidement. A la fin, après un nombre d’essais indéfinis, le chat ouvre le levier directement et on considère qu’il a finit par apprendre. (si on tient compte de la loi de l’effet, ce n’est pas pske l’animal a actionner la ficelle qu’il a la nourriture, c’est pske il a la nourriture qu’il a la ficelle)

Thorndike va tirer des leçons de ses expériences. Ces constats vont débouchés vers des lois. 2 lois = la loi de l’exercice et la loi de l’effet.

  1. loi de l’exercice : Les connexions entre la situation ( animal dans la cage) et la réponse ( résultat final ou il tire sur la ficelle...) sont renforcés par l’exercice et affaiblis lorsque l’exercice est arrêté. Plus l’expérience est répétés, plus la fréquence d’apparition du comportement attendue est fréquente.
  2. Loi de l’effet : Une connexion est renforcée ou affaiblie par l’effet de ses conséquences. (le plus important est la suite de la réponse, pas la réponse en elle-même). Il peut y avoir plusieurs conséquences : la satisfaction et la non satisfaction.

Il y a de la séléction qui est faite du aux expériences de chacun.

  1. Thorndike insiste sur la complémentarité des 2 lois : l’exercice ne favorise l’apprentissage que dans les situations entrainant une conséquence agréable

Conclusion : pour Thorndike on parle d’apprentissage par essai et erreur. L’erreur fait parti de l’apprentissage.

  1. PAVLOV : CONDITIONNEMENT REPONDANT

= conditionnement de type 1

= conditionnement pavlovien

= conditionnement classique

Pavlov etait un physiologiste et s’intéressait au système digestif des chiens (animaux). Il n’est pas pédagogue a la base.

EX : il met de la viande devant un animal. Au fur et a mesure de ses expériences sur les chiens, il se rend compte d’une chose c’est que l’animal au lieu de saliver seulement devant la nourriture devant lui, il voit l’animalier (homme qui nourrit les animaux) et salive aussi.

(viande = S stimulus débouche sur une réponse R= salivation)

Si = inconditionnelle

Pour un chien, saliver c ‘est un réflexe = donc Si → Ri

Le stimulus neutre signifie que la situation n’a pas fonctionner (Sn)

Pour reussir son objectif de faire saliver le chien sans nourriture, il associe une cloche avec de la viande et au fur et a mesure de l’expérience on enleve la viande et le chien salive juste au bruit de la cloche = Stimulus conditionnelle (Sc) -> ici ce n’est pas un réflexe car c’est un comportement appris.

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