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Psychologie des apprentissages

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Par   •  22 Avril 2013  •  2 102 Mots (9 Pages)  •  1 428 Vues

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PSYCHOLOGIE DES APPRENTISSAGES

L’objectif : Présenter différentes théories des apprentissages

La pédagogie de la médiation est un courant récent, qui définit l’enseignement.

Médiation -> Médiateur : Intermédiaire entre l’apprenant et la situation d’apprentissage

Le modèle classique possède 2 pôles : Un émetteur de savoir et un récepteur de ce savoir.(amphi)

L’avantage c’est qu’il est émit à un grand nombre

L’inconvénient c’est la perte d’information entre l’émetteur et le récepteur, et le manque d’expérimentation.

1) Trois modèles d’apprentissages

Durant le 20ème siècle, 3 modèles d’apprentissage :

- Théorie comportementaliste (ou behaviorisme) : Elle naît d’une théorie développé par Skinner. Ce qui est important, c’est la manière dont est perçu l’apprentissage, ici c’est un processus qui répond à un stimuli. Celui qui apprend doit adapter son attitude en fonction de son environnement.

Apprendre : Enseigner par le renforcement en fonction des réponses. Valoriser la bonne réponse surtout si elle est positive. S’adapter en terme de comportement pour favoriser l’apprentissage. Statut de l’erreur : Sanctionnée.

Cette théorie s’attache aux résultats.

- Théorie constructiviste : Construite en opposition de la théorie comportementaliste, inspiré par Piaget, nommé également cognitiviste (=Manière dont celui qui apprend construit ses connaissances. Piaget est le premier a observé et a analysé les stades du développement de l’intelligence de l’enfant. L’apprentissage n’est pas le produit d’un comportement habituel et répétitif.

Cette théorie on s’attache au développement des structures mentales, par la construction des schèmes mentaux.

=> Dans les deux théories, le rapport au savoir est individuel et l’apprentissage est analysé du point de vu de celui qui apprend

- Le modèle constructiviste interactionniste sociale :

Constructiviste : Construire. Le sujet construit son savoir, ses processus cognitifs. Il est actif, au furet à mesure qu’il construit son environnement, confronté à des problèmes.

Interactionniste : Entre l’individu et les facteurs humaines de l’environnement. Nécessite une présence humaine pour construire son savoir

Sociale : Car il s’agit d’interactions humaines (adultes, pairs, familles, camarades..)

L’erreur est considéré comme quelque chose qui va permettre de réfléchir, elle n’est pu considérée comme une faute. Elle permet de repérer les obstacles. Intérêt du langage.

Il ne s’agit pas seulement d’apprendre ou de savoir faire mais aussi de savoir dire, cela permet de rompre avec le moment présent.

Concept de métacognition : méta : au dessus de / cognition : connaissance

 Rôle déterminant du langage

Il existe des modes d’interventions qui permettent de décomposer les apprentissages en sous matières pour simplifier les apprentissages.

 Re médiation cognitive

Ces différents modèles vont avoir des conséquences, car ils ont des points de vu différent :

- On se centre sur le résultat ou le construction du savoir

- La place de l’erreur ?

- La place du langage ?

Qu’est ce que c’est qu’apprendre ?

Doit on privilégier la manière ou plutôt le contenu, et pourquoi ?

De l’apprentissage va naître la notion de transfert -> Quel est son enjeu ?

La société est caractérisé par un développement rapide, tous les jours on apprend des choses nouvelles, ce que l’on sait aujourd’hui changera durant la vie. Il faut développer ses capacités d’adaptation, afin d’être capable de se mettre à jour rapidement.

 Il est nécessaire d’apprendre à apprendre

Un apprentissage réussi est un apprentissage transférable. C’est la capacité à réutiliser un certains nombres de connaissances dans une situation particulière que l’on peut réutiliser dans une situation particulière.

Éducabilité cognitive : C’est un principe qui s’appuie sur les capacités naturelles d’un individu à s’adapter. Postulat : Pour celui qui entreprend de mener une séance en Éducabilité cognitive, il est nécessaire qu’il croit dans les capacités de l’apprenant.

Point de vu de l’enseignant : Privilégie la méthode active, l’apprenant est un sujet, un acteur et un actif engagé.

But ultime de l’enseignant : Rendre l’élève autonome dans ses apprentissages. Pour cela il est nécessaire de le rendre acteur et lui donner des outils pour qu’il se débrouille toute sa vie.

J. Bruner, travail sur le rôle du langage, la place de médiateur a montrer que pour que l’élève puisse avoir accès à des notions abstraites il faut qu’il parle.

Métacognition, par Britt Mari Barthe

C’est la démarche qui consiste à faire réfléchir les apprenants sur les opérations mentales mises en œuvre lors d’un apprentissage en leur faisant verbaliser ce qu’ils ont fait.

Cela donne au langage un rôle particulier, et fait partie de la démarche de l’enseignant.

Le transfert : Pourquoi j’apprends ?

Il faut réfléchir au processus commun entre enseignant et apprenant. Cela suppose une conception dynamique de l’intelligence, s’oppose au modèle statique (les deux premiers modèles) dans lesquels l’humain n’a pas un grand rôle. Exemple du test de QI par binet-simon

Le modèle dynamique (le troisième modèle) remet en question l’idée de performance, très présente dans l’enseignement

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