Synthèse CGE sur la vie privée

Introduction :

Depuis une quinzaine d’année, la bulle internet a explosé. Il est aujourd’hui, de ne pas avoir un ordinateur et une connexion internet. En effet, de nos jours, tout tourne autour d’internet, que ce soit pour faire ses comptes, rechercher des recettes de cuisine ou encore discuter avec ses amis ou sa famille. Le corpus de documents mis à notre disposition se compose de deux articles, le premier de Dominique Cardon, qui se nomme « Vertus démocratique de l’Internet », publié sur le site web La Vie es idées.fr en 2009, et le second de Pascal Lardellier, « Le Online dating, au cœur de la communication électronique », publié dans Networks and Communication studies, en 2012 et enfin d’un dessin de Denis Pessin, paru dans le journal Le Monde le 6 Avril 2012. Ces trois documents tournent autour du même sujet, c’est-à-dire la monté en puissance d’Internet qui met en avant la vie de chacun par des moyens tels que les réseaux sociaux ou les sites de rencontre. Nous pourrons alors nous demander si Internet met fin à la vie privée. Dans premier temps nous demanderons si la vie privée devient publique par le biais d’Internet et dans un second nous nous demanderons si Internet détériore ou amélioré la communication entre les personnes.

I. La vie privée devient publique par internet

1. Dévoiler sa vie privée sur internet

Les trois documents de ce corpus nous montrent une chose identique : la publication d’éléments personnels et privés sur le net. En effet, nous pouvons constater dans l’article de Dominique Cardon, que le réseau social Facebook est un des points fort ayant fait de la vie privée, une vie partiellement publique. Ce réseau social permet de parler de soi, et s’en que nous nous en rendons compte, cela nous entraine dans une boucle infernal où nous nous dévoilons bien que sachant que chaque personne présent sur la toile à accès aux informations que nous postons.

C’est un peu ce que nous retrouvons dans l’article de Pascal Lardellier, qui lui aussi fait référence à ce réseau social, qu’il catégorise comme étant un « Journal intime à toile ouverte » où tout le monde expose des parties de sa vie privée s’en même s’en rendre compte. Par exemple, Facebook nous demande, lorsque nous remplissons notre profil, de dire notre situation familiale, c’est-à-dire, si nous sommes « célibataire », « en couple » ou encore pour pousser le visse plus loin si notre situation est « compliqué ».

Finalement, le dessin de Denis Pessin reprend également le même sujet que les articles de Cardon et Lardellier ; l’homme demande à sa femme ce qu’elle raconte sur lui et celle-ci lui rétorque que « Cela ne regarde que les autres ». Par cette phrase nous pouvons comprendre que finalement, Internet s’approprie notre vie, étant donné que même les choses que nous ne voulons pas dire, qui relève de notre vie privée, peuvent être exposées à la vue de tous par d’autres personnes.

2. La surveillance de nos actes et de nos écrits sur internet

Si les réseaux sociaux sont une source de publication de notre vie privée, mais également source de surveillance. Cardon nous montre que les réseaux sociaux attisent notre curiosité, et entraine un engouement nous donnant une envie que l’on pourrait qualifier d’irrésistible, d’en savoir plus sur les autres. A force de publié des choses sur nous-même, nous voulons inconsciemment que les autres personnes que nous connaissons ou non, fassent la même chose.

Lardellier dénonce la même chose que Cardon mais sous la coupe d’une autre sorte de réseau social, qui sont les sites de rencontre

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