Synthese Le Rire

Le rire permet de se sentir mieux, il permet de redonner le sourire aux personnes coupées du monde.

Dans se thème, nous verrons dans un premier temps les biens faits du rire, en deuxième temps « la rigolothérapie » qui est de plus en plus ressent. Et pour finir nous parlerons des analyses de DESMOND Morris et Freud.

De nombreuses études se sont pensées sur les biens faits du rire. Rire pourrait réduire les sensations de douleur. Il apporte de nombreux bienfaits à l’être humain, tant au niveau physiologique qu’au niveau psychologique et même relationnel.

On se dit souvent après un fou rire que ça fait du bien de rigoler un bon coup pour cela, physiquement il y a un massage qui s’opère dans notre organisme, et dans notre cerveau c’est la dopamine qui donne la sensation de plaisir. Les réactions qui suivent sont relaxantes, car notre tension peut baisser suite à ce fou rire.

Les statistiques révèlent que nous rions de moins en moins. Une personne qui a cessé de rire et qui a cessé de vivre, peux faire une rigolothérapie pour sortir du « sérieux », vider en lui sa douleur dans le rire. Nous voyons de plus en plus de thérapie en rire, qui devient une « mode », les personnes préfèrent aller à une thérapie du rire que d’aller voir une thérapie classique qui fait sortir la douleur mais qui ne fait pas forcément aller mieux les personnes.

Dans le document 4 Thomas BROSSET explique que la « rigolothérapie » soigne le stress, la constipations, la dépression, l’ulcère à l’estomac. Il dit «Au début ce n’est pas spontané, il faut se forcer à rire, s’échauffer la voix. Mais on fait une foule de choses pour provoquer un éclat de rire spontané, comme d’imiter la tondeuse en broutant le carrelage. Cela peut paraître stupide mais le propre des enfants c’est de rire pour des stupidités. »

Une analyse de DESMOND Morris dans « le singe nu » qui dit que « le rire est d’abord une ébauche de sanglot, une crise de larmes qui tournent court. C’est un mouvement d’effroi, de panique, de douleur, tout de suite enrayé par l’assurance qu’il n’y a pas de danger réel. » Pour DESMOND, quand nous sentons que nos grimaces vont faire peur à un enfant, nous lui disons que c’est pour rire.

Pour FREUD, son analyse dit la blague est drôle dans la mesure où ils révèlent des pulsions répétées coupables. « C’est un moyen pour l’inconscient, de s’exprimer en fraude, et de fournir l’exutoire aux tendances refoulées, en tournant les défenses et les interdits du surmoi. D’après Pierre GRIPARI dans le document 2 « le rire, ou le sourire, c’est l’horreur surmontée. Ce sont les même faits, les même gestes, les même situations qui provoquent l’hilarité.

Pour conclure, le rire peut être un bien comme un mal, nous avons 3 analyses différentes de Thomas BROSSET, DESMOND Morris et FREUD. Le rire peux être un moyen de sortir du stress, réduire les douleurs, mettre de la bonne humeur dans les mauvais moments.

Mais le rire peux être mal, on se cache défois dans le rire pour ne pas montrer notre souffrance, mais rester renfermer ne peux pas être un bien pour se sentir mieux.

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