Socialisation

Question n°52 : On pourrait considérer l’apprentissage de la vie en entreprise comme une étape de la socialisation, car on pourrait même aller jusqu’à parler d’habitus qui se caractérise selon Bourdieux par « un double mouvement entre intériorité et extériorité » , l’individus en entreprise va intégré les pratiques collectives et individuelles que lui impose cette dernière. L’individus va ainsi être conditioné, et va reproduire les normes et valeurs (les « règles de comportement ») que le groupe sociale auquel il appartient (c’est-à-dire celui de l’entreprise) lui à inculquer. Enfin il va donc faire ce que l’on appelle une « socialisation professionnelle » et va devoir s’adapter aux contraintes que lui impose la vie en entrprise c’est-à-dire trouver un groupe de référence et intégré un groupe de pairs.

Question 53 : Et cette socialisation en entreprise va d’ailleurs avoir des effets en effet l’individus va entamer une socialisation anticipatrice ou une « désocialisation », via une aquisition par avance des normes et valeurs du groupe de référence actuelle pour aquérir les normes et les valeurs d’un nouveaux groupe de référence, ici celui de l’entreprise, ici il peut s’agir d’une désocialisation car par exemple, l’arrivée dans un nouveaux groupe de référence dans le mileux professionnel ce qui permet d’évité d’éventuel frustration ou rejet mais qui peut aussi être selon le sociologue Claude Dubard, une approche, oppératoire et méthodologique (comme dans certaines profession : infirmière, juriste, ou encore en entreprise un ouvrier qui voudrait monter les échelons).

Question n°57 : Si les différents individus au sein d’une même famille ne subissent pas la même assencion sociale, les socialisations en seront d’autant plus différenciées, car au sein de trois génération qui peuvent être en commun : deux parents riches ont un enfants qui fais une ascencion sociale vers la classe moyenne et populaire il va donc pratiquée une socialisation anticipatrice et si il à un enfant, qui lui va recevoir les normes et valeurs qui seront celle de sont père donc différentes de celle de ces grands parents, sa soicialisation pourrat en être corrompue, et il y aura des conflit entre ces différentes instances de socialisation, si l’on étend cette évènement à l’échelle de la société, cela est en contradiction avec l’évolution globale de cette dernière. On est face à un véritable cycle d’asscention sociale qui sont dyssocié au sein d’un même groupe sociale. On est donc devant un panne de la’assenceur sociale et donc de l’avancé globale de la société.

Question n°59 : Les conséquence d’une « dyssocialisation » sont des révolutions culturelles mais aussi sociale, par exemple les émeutes, les conséquence en seraient donc : la perte des valeurs et normes sociales (politiques, morales, religieuses, civiques etc…), mais aussi des sentiments de dépossessions au profit d’autres individus ou groupes. Le recul des valeurs conduit à la destruction et à la diminution de l'ordre social : les lois et les règles ne peuvent plus être garanties et maintenues Cet état amène l'individu à avoir peur et à être insatisfait, ce qui peut conduire au suicide. L'anomie provient du manque de la régulation de la société sur un individu. Il ne sait comment subvenir à ces besoins et ces désirs

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