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Résumé "Cris" de LAURENT GAUDE

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Par   •  30 Juin 2018  •  Fiche de lecture  •  1 940 Mots (8 Pages)  •  35 876 Vues

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Hugo Vautrin 1S1

Résumé personnel de « Cris » de Laurent Gaudé

        Laurent Gaudé est un auteur français né en 1972. Il a fait des études de Lettres Modernes et d’Etudes Théâtrales à Paris, son lieu de naissance. Il commence, à l'âge de vingt cinq ans à produire des  pièces de théâtre dont l'une qui sera monté jusqu'au théâtre national de Strasbourg.

 En même temps d'écrire ses pièces, il se lance dans l'écriture de roman dont Cris qu'il publiera en 2001, à vingt neuf ans. Dans ce roman, Laurent Gaudé aborde un sujet important et souvent difficile à maîtriser : la Première guerre mondiale. 

        Pendant la guerre des tranchées, ont suit le quotidien de soldats français :

- Jules, un soldat ayant été blessé lors d'un assaut ennemi .Il a reçu un papier bleu de permission pour retourner chez lui

- Boris et Marius, les camarades de Jules n'ayant pas reçu de permission et donc restant sur le front attendant la relève

-le lieutenant rénier et ses hommes, commandant de la relève du front de la tempête

-le gazé, un soldat blessé à la jambe et coincé dans un trou d'obus essayant tout au long du roman de s'en sortir

- « l'homme cochon », un ancien soldat ou une créature mi homme, mi démoniaque habitant dans le no-man's-land et hurlant chaque nuit.

- Le médecin, présent depuis le début et connaissant tout ou presque de ce front.

        Les troupes françaises en ont marre. La seule chose qu'ils veulent est que la relève arrive, qu'ils puissent un peu se reposer. Ils résiste comme ils peuvent. Lorsque Rénier et ses hommes arrivent pour reprendre le travail de leurs frères, Marius et Boris sont déjà partis à la recherche du fameux soldat fou. Il commence une grande traque. La relève s'installe dans ses immenses boyaux. Parmis les hommes de Rénier, il y a Ripoll, Barboni, Messard, Castellac ou encore Dermoncourt. Tous ont peur à leur manière mais ont autant peur. De plus, les assauts allemands les déstabilisent. Un ordre du quartier général à été envoyé : A onze heure précise, c'est l'heure du grand assaut. Tout le front entier va tenter une offensive de quelques centaines de mètres. Tout le monde se prépare physiquement comme moralement. Certain prie et d'autre écrivent à leur famille. Pendant ce temps, Un homme perdu loin devant le front pourris dans un trou d'obus. Au début, ce n'était qu'une hémorragie à la jambe, maintenant c'est une jambe paralysée et le début de perte des sens. La vision et l'ouïe commence à se déterriorer. Le gazé va avoir du mal à s'en sortir vivant.

C'est l'heure du grand assaut. Les troupes françaises sortent des tranchées comme des fourmis qui sorte de leur fourmilière pour la défendre. Un torrent bruyant de soldat qui s'abat sur les lignes ennemis. Le lieutenant Rénier avait réussis à se convaincre et à convaincre ses hommes de la nécessité de cette assaut. Il attaque en premier et voilà. Les combats ont durés une dizaine de minute. Peu de français de la relève sont mort mais le commandant de cette troupe n'est plus. Les allemands l'ont fusillé avant qu'il ne puisse attendre la tranchée ennemi. Il jonche sur le sol, une balle lui ayant transpercé le corps, il est mort.

 Dans les tranchées, Castellac est blessé et la folie monte à la tête de certains. L'assaut retour de l'allemagne ne va pas tarder. Un allemand a été d'abord fait prisonnier par notre groupe mais Barboni, la haine au ventre et la folie à la tête, l'a finalement assassiné après une courte prière en latin. Et plus loin, dans le no-man's-land, une traque est en train de se dérouler. Marius et Boris l'ont repéré. Il est la, il se tient comme un animal. Ils s'approchent doucement de cette créature. Mais il les a repéré. C'est alors qu'une folle course poursuite commence. Mais l'air est pollué des flammes des armes des soldats. Boris tient la course mais Marius lâche. Il s'est arrêté. Le temps de reprendre son souffle mais il est déjà trop tard. Lorsqu'il arrive face à lui et à cette bête, Boris s'est fait assassiné d'un coup de couteau dans le cou. Marius n'a pas la force de pleurer. Contre toute attente, c'est l'homme-cochon qui va faire son porte parole. Il hurle et pleure la mort de Boris alors que c'est son assassin. Après une demande des supérieurs, les assayants français doivent retourner vers leur tranchée pour se préparer au grand assaut ennemi. Tous, en arrivant dans les galeries, savait ce qu'il fallait faire: creuser, creuser le plus profond possible pour tenter de résister.

Ça y est, la pluie de feu commence. La grande attaque est imminente. Cette attaque ce fait même ressentir dans le no man's land ou la traque continue. Marius continue de poursuivre le fils de la guerre. Il ne s'arrêtera pas cette fois ci. La seule chose qui pourrait le stopper sont les obus. Au bout de quelques explosions, Marius retrouve une tête qui lui semblait être celle de cette chose qu'il poursuivait. Il avait venger son frère. Pendant ce temps, une bataille se dispute entre les allemand attaquant les tranchées. Les français survivent comme il peuvent mais un personnage ennemi va tout bouleverser. C'était un lance-flamme. Il ravageait tout sur son passage. Barboni commençait à perdre le contrôle. Il s'élança vers l'homme-brasier, esquivant les balles puis ils tombèrent tous les deux dans une tranchée. Peine perdue pour Barboni se disait ses compagnons, sa folie l'a emporté. Contre toute attente, il ressortit de la tranchée, ayant poignarder l'homme et s'ayant approprier le brasier. Les allemands commençait à prendre peur, peur qui ne dura pas longtemps car un des ennemis creva le réservoir du lance-flamme et par la même occasion, fit sauter Barboni. La lueur d'espoir du petit groupe maintenant c'est envolée. Ils ne leur restaient qu'à essayer de fuir.

À Paris, Jules a préféré trouver de l'amour d'un soir plutôt que le repos. Il a ensuite quitté Paris pour faire la mémoire de ses camarades du front. Il parle à leur place, il explique aux villageois les conditions des combattants mais se fait rejeter et frapper car il est pris pour un déserteur.

Castellac, Messard et Ripoll ont fuit, ils ont réussis à semer les envahisseurs mais pour combien de temps? Ils ne peuvent plus courir, ils sont épuisés, à la merci des allemands. Il faudrait un miracle pour qu'il reviennent de cette guerre. Mais le miracle a un nom : M'BOSSOLO.

Les Africains sont arrivés en renfort et ont réussis à extraire les derniers survivants de ce front.

 Marius a réussi à retrouver son chemin. Il est rentré. Sur le champ de bataille, il a récupéré la tête qu'il croyait être celle de l'homme-cochon. En la montrant au médecin, il sombre dans la folie en entendant le hurlement de l'homme qu'il croyait mort. Les villageois ne voulait pas écouter Jules. Il décide, à l'entrée des villages de France, d'ériger des statues de boue représentant ses frères victimes de cette guerre.

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