Les arbres sur la place

Géographie

-----------------------------------------------VOIR 3 FEUILLES ANNEXES ---------------------------------------------------

The Handmaiden

Sujet : les arbres de st Sernin

Une feuille A4 : une illustration personnelle réalisée à la main (une carte, une photographie prise par nous légendée, une illustration, un schéma)

Ou sont les arbres de st Sernin (il faut regarder st Sernin de haut)

Personne ressource (1er étage ou en bas)

Enjeux

Vidal de La Blache :

• Géographie est une science est lieux. Lieux est totalisante (l’environnement, le milieu)
• ‘vous leur servez de rabatteur’ les oiseaux sont aussi acteur de l’environnement >> on les utilise mais ils nous utilisent aussi
• Baisse de biodiversité à cause des pesticides (ils n’en avait pas en 20eme siècle)

La Géographie Humaine dans l’entre-deux-guerres

• Possibilisme (terme de Lucien Febvre, historien un des plus important du 20eme siècle) : le milieu ne détermine pas ce que vous allez y faire mais rend des choses possibles
• Projet unificateur de la géographie échoue (géographie humaine/géographie physique)
• Jean BRUNHES
• Emmanuel De Martonne : connu par la géographie française, étude de relief (géomorphologie)

3 branches créé par De Martonne : geo physique (géomorphologie), geo humaine (agraire et rurale), geo régionale (mélange de sciences naturelles)

D. La géo comme discipline…en doute !

• Lendemain de WWII >> + de geo issue de classes populaires
• France : Ecole normale (formation des instituteurs, très bourgeois), le latin est très important pour aller en médecine >> géo est une formation qui ne requiert pas le latin à l’université >> les étudiants de geo sont de + en + des gens de classes populaires qui étaient à l’école normale
• USA : renouvellement profond des gens qui accèdent aux études, les jeunes blancs qui se sentent engagés pour aller combattre l’Allemagne/l’Asie, qui vont aller à l’université >> classe populaire, sont sensibles aux enjeux économiques et enjeux sociologiques >> transformation du cadre de vie avec l’explosion d’urbanisation >> les français vont suivre la démarche des Américains
• France du 20eme est très clivée (clivage sociale être toutes les classes sociales)
• ‘La nouvelle géo’ débat aux USA qui commence avec Scheffer, ‘De l’exceptionnalisme en géo’ >> attaque à la géo traditionnelle en disant que cette géo n’a aucune valeur puisqu’on n’en tire aucune loi, aucun savoir général (la science doit d’appuyer sur des chiffres) >> il faut construire une géo avec des faits mesurables pour aboutir à des lois scientifiques. Tout ce qui relève du qualitatif est à proscrire

>> la nouvelle géo est critiquée par les gens qui n’aiment pas les maths >> les gens pensent que les chiffres ne peuvent pas décrire le monde réel qui nous entoure

Géo culturelle : étude du rapport sensible entre l’homme et ce qu’il entoure (incarner pleinement la subjectivité

Géo radicale : engager dans le monde contemporain et dénonce les injustices (les militants)

Géo appliquée : géo utile pour l’aménagement de la planète, géo qui doit être une pratique qui aide l’aménagement et le politique

Il y a une division entre ceux qu’il faut juste étudier la société humaine ou l’environnement.

• Personne n’est plus d’accord de ce qu’est la géo dans les années 70-80

Géographie éclatée ou en recentrage ?

Levy J. 2003, ‘Dictionnaire de la géo et de l’espace des sociétés’ (ne correspond pas à la géo comme elle est enseignée ailleurs)

‘La géo est une science sociale parmi les autres sciences sociales’ > sa def de la géo

>> les sciences des animaux, des milieux n’ont pas lieu puisque ce n’est pas une science sociale

II. Quelle épistémologie de la géo ?

1. La lecture de Paul Claval : 5 voies différentes (5 manière de faire de la géo qui coexiste:

1. L’étude des rapports de l’homme à l’environnement, longtemps centrale, qui reste vivante
2. L’étude d’analyse de situation (comprendre la répartition des phénomènes >> comprendre les liens)
3. L’étude des combinaisons : déchirer les combinaisons à l’œuvre, que ce soit dans un paysage ou une région.
4. L’étude de l’espace (science sociale >> Levy)
5. L’étude de l’expérience humaine de la planète (étude de l’habité)

Def des bornes d’une discipline est une question trop réductrice car dans les faits, les personnes vont être inclus dans les recherches qui sont de + en + pluridisciplinaire (bcp de disciplines, ça ne sert à rien de vouloir les délimiter.

Chapitre 1 : Lecture géoenvironnementale de territoires

Les territoires entre support et produit de l’humanisation

Territoire : pouvoir établie, un espace approprié par les sociétés humaines

Dimensions du territoire :

• Environnementale

Jared Diamond, ‘Effondrement’, 2005 (en anglais) >> études de cas (civilisation Maya)

>> effondrement de civilisations qui était pourtant important, avait des connaissances…  

Stephens et Catherwood, ils partent au Guatemala, trouvent des ruines >> des cités dans les forêts. Les habitants de la zone ne savent pas qui était là, ni quelle langue était parlée.

Lecture : extrait du livre de Diamond J.

1. Quel phénomène vers 650 ? Durée ?

Vers 650 AD, les gens ont occupé les versés des collines, mais ces sites ne sont cultivés que pendant un siècle. Le site a été ensuite abandonné.

1. Argument auteur pour expliquer l’importance de ce phénomène ?

Ils ont enlevé les arbres (sol est à l’air libre), pas de césure de pluie >> érosion massive (sol enlevé et se déplace vers le fond de la vallée où ils se sédimentent

1. Conséquence ?

  Le fond de la vallée devient infertile

• Juste un scénario, on ne sait pas exactement pourquoi les gens sont parti. C’est une interprétation fondée sur des faits.

Doc 2 :

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