Le loup, la Belette et le petit Lapin

Note : 17/20

Aliu Sarah 2°9

Français

commentaire de texte

Plan :

1: L’affrontement qu’oppose le Lapin et la Belette

a) La vulnérabilité du Lapin

b) La ruse de la Belette

2: Les deux facettes du Chat

a) Son faux cote doux et religieux

b) L’hypocrisie du Chat

        Dans cette fable, un affrontement s’oppose entre un Lapin et une belette.

Tout d’abord le Lapin est une personne vulnérable. Il est qualifié de quelqu’un de jeune et d’enfantin «jeune Lapin » (vers 1) ce qui laisse croire que c’est un roi inexpérimenté et qui manque de maturité, qui habite un palais « Du palais »(vers 1) du champ lexical de la souveraineté et c’est une hyperbole pour parler en fait du terrier. Il est aussi appelé maître car c’est quelqu’un de dominant dans la société car c’est un roi « Le maître » (vers 4) du champs lexical de la royauté. « faire à l’Aurore sa cour »(vers 6) est une métaphore dans le domaine amoureux. L’énumération au vers  8 « brouté, trotté, fait tous ses tours » crée un rythme sautillant avec une allitération en T, ce passage montre une impression d’insouciance car il fait ses activités avec frivolité. Le vers 12 insiste avec une périphrase sur l’exil du lapin « Dit l’animal chassé du paternel logis : ».  Au vers 13, il y a une interjection « O là » pour inciter la belette a de partir de son logis.

La Belette, est dès le début présentée explicitement comme rusé mais cependant quelqu’un de respecté. Elle est appelé avec un titre raffiné, de noblesse comme on appelé les personnes à l’époque de La Cour « Dame Belette » (vers 2). Le vers 3 « c’est une rusé » révèle le véritable tempérament de la Belette. Aussi, le vers 3 est un  rejet, il montre que la Belette est une voleuse, le verbe s’emparer « s’empara» est mis en valeur pour insisté sur le vol qu’elle a effectuée, c’est aussi un enjambement car la phrase se prolonge sur plusieurs vers. Au vers 4, on peut voir qu’elle a volé le terrier du Lapin alors qu’il n’était pas là, donc implicitement, l’adjectif « aisée » insiste là dessus et sur la lâcheté de la Belette, de plus aisée rime avec rusée du vers 3. La fenêtre est une métaphore de la maison, en effet le terrier est comparé à une maison ou la Belette a mit son nez, c’est une métonymie qui est caractérisé par son long nez et qui insiste sur son comportement sans gène et de propriétaire « La Belette avait mit le nez à la fenêtre. »(vers 10) . Pour appuyé d’avantage sur son nez pointu et amplifier son caractère malicieux, il y a une périphrase au vers 16 , c’est aussi un symbole de la ruse « La Dame au nez pointu »(vers 16).

Le chat est représenté avec deux visages.

Il est comparé premièrement à une personne très religieuse, qui est attaché aux bonnes actions et à qui on peut se référer « vivant comme un dévot ermite » (vers 32) , il est aussi considéré comme quelqu’un de bien et de pieux « Un saint homme de chat » (vers 34). Il est appelé avec un adjectif du champs lexical de la monarchie « majesté »(vers 38) . Il se dit vieux et sourd, on peut penser que c’est un sage et qu’on peut lui faire confiance «je suis sourd, les ans en sont la cause » (vers 40). Au vers 39, il y a une apostrophe affective «mes enfants » qui le montre protecteur et paternel.

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