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Le Corps Et Le Droit

Note de Recherches : Le Corps Et Le Droit. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Mars 2014  •  708 Mots (3 Pages)  •  763 Vues

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Le corps et le droit:

Introduction:

En médecine on dit que : "Le corps humain désigne l'ensemble de ce qui structure, anatomiquement et anthropologiquement, l'organisme d'un homme ou d'une femme. Des pieds à la tête, il est nécessairement composé sous l'épiderme d'une structure osseuse, d'un appareil musculaire, de vaisseaux sanguins, d'un système nerveux, respiratoire, digestif, urinaire, reproducteur, endocrinien, etc. En moyenne, 65 % de la masse corporelle d'un corps humain adulte est représentée par la teneur en eau, qui entre dans la composition de tout ce qui le constitue."

Toutefois dans la mesure où il ne peut exister aucune définition juridique qui intègre le corps humain dans temps différents à savoir avant la naissance ainsi qu'après la mort. Ainsi, l'être humain est considéré comme "personne" de sa naissance à sa mort on considère par conséquent que la personnalité ne peut être attribuer qu'après la naissance et avant la mort par conséquent certaine question se pose notamment le corps peut-il être synonyme de personne ?

Il est donc a noté que plusieurs concept qui normalement se doivent d'être présenter tel que la conception du droit de l'individu sur le ou son corps, sur son cadavre, son corps bien avant la naissance et celui des parents sur le corps de leur enfant avant sa naissance n'ont jamais - à notre connaissance - été clairement définis.

Ces définitions étant inexistante jusqu'à présent de cause que le droit n'est jamais ressenti le nécessité d'éclairer ces points, laissant ainsi la notion du corps dans la zone du non-droit et pour cause on suppose que le corps n'a pas vraiment de que fonctionnalité sociale, par conséquent il était inutile voir superflue que de définir cette notion. Toutefois, en vu des progrès émit par les domaines de la médecine et de la biologie ont rendu cette définition obligatoire voir nécessaire.

Par conséquent, quelle définition peut-on utiliser? Peut-on prendre la définition qui a été données par la doctrine, qui englobe de façon générale le corps humain? Peut-on utiliser le même raisonnement que celui utiliser lors de la définition du corps avant sa naissance et après sa mort ?

C'est ainsi, que le droit de l'homme sur son corps tire beaucoup plus vers la doctrine que vers la jurisprudence. Toutefois, le définition juridique apporter peut induire en erreur si prise au pied de la lettre. C'est dans ce sens que Perreau affirme que " Chacun possède sur sa propre personne un droit exclusif et spécial, opposable à tous, comme une sorte de propriété de son être " . On peut aussi trouver les dires de Garraud et Laborde-Lacoste qui tout deux prétendent que " l'homme est maître de son corps "

Par conséquent si la question du corps peut être défini d'un point de vue juridique elle le sera forcément dans le sens d'objet de droit, ce qui induit forcément le fait qu'il soit aliénable et saisissable, toutefois, la majorités des auteurs se mettent d'accord sur le fait que l'homme ne détient pas de droit de propriété sur lui même. Etant donné que cela engagerait une impossibilité au niveau du plan technique et

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