La motivation au travail

Introduction aux sciences sociales

1. La motivation au travail

Le marketing relationnel, la qualité des relations interindividuelles. Vise à établir une relation continue, visant à une adhésion, une fidélisation et au changement du consommateur.

Relation acheteur-vendeur ≠ situation d’appartenance

• Méfiance ≠ relation de confiance
• Dissymétrie des pouvoirs ≠ partenariats avec des intérêts communs
• Anonymat ≠ anonymat repoussé
• Brièveté des contacts ≠ relation durable
• Conversation produit ≠ conversation sujets élargis

Cette relation se base sur la connaissance des besoins que l’individu cherche à satisfaire.

Les anciens modèles

Les années 50 et le développement des concepts motivationnels

3 grandes théories :

• La pyramide des besoins de Maslow.

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Transposition de la pyramide de Maslow dans l’environnement pro :[pic 3][pic 4]

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• Les deux facteur d’Herzberg.

Ajoute une autre dimension au modèle de Maslow

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Ce n’est pas la résolution des besoins d’insatisfaction qui motive mais l’attitude des facteurs de satisfaction. Ce qui motive c’est le travail lui-même.

La démotivation vient de l’environnement du travail. Seule la présence de facteurs moteur est source de satisfaction, l’absence de facteur d’insatisfaction ne crée pas de motivation elle évite juste l’apparition des facteurs d’insatisfaction.

La réalisation de soi, un juste équilibre entre compétition et maîtrise

L’équilibre du défi et de la maîtrise mène à des performances durables

L’absence n’est pas un manque de motivation, la motivation est présente mais ailleurs, il faut adapter la stratégie afin d’obtenir un meilleur équilibre.

• X et Y de MacGregor

L’objectif est de mieux prédire les comportements humains.

Deux visions distinctes de la nature humaine :

• La théorie X :

Fondamentalement négative, l’homme n’aime pas travailler donc il faut le contraindre. Besoins physiologiques et de sécurité.

• La théorie Y :

Fondamentalement positive, l’homme aime le travail, la liberté et un degré d’autonomie important en découle. Besoins d’appartenance et d’estime.

Si nous suivons la théorie, le meilleur leader viens de la théorie X. La motivation résulte alors logiquement d’une correspondance entre politique d’entreprise susceptible de satisfaire les besoins et les besoins existants.

Pour MacGregor si l’individu n’est pas motivé c’est de la faute de l’entreprise.

Les modèles actuels

• La théorie des 3 besoins de McClelland

Le besoin d’autonomie, réaliser des problèmes par elle-même, sous leur propre responsabilité.

Le besoin de compétence, recherche d’une évaluation possible à travers des performances élevées.

Le besoin d’appartenance, relation de compréhension mutuelle, travail d’équipe et non de compétition.

• La théorie de l’équité d’Adams

Si je travaille beaucoup, j’estime avoir besoin d’être bien rémunéré, l’individu fait une analyse des coûts et bénéfices de son investissement.

Le sentiment d’injustice mène à un état de dissonance (tension psychologique)

Le sentiment d’équité crée la satisfaction : le statu qui est établi, quel que soit le niveau de salaire.

L’inéquité est source de tensions, elle provoque un changement de comportement de l’employer comme sa recherche d’accroissement de revenus, une démotivation ou encore une action directe sur l’injustice relevée.

• La théorie des attentes de Vroom

La motivation au travail résulte d’un calcul rationnel fondé sur la relation perçue entre les efforts déployés, le niveau de rendement atteint et la valeur de la récompense qui y est associé.

3 concepts clé : Les attentes, l’instrumentalité, la valeur.

• Récompense extrinsèque : attribuée à un individu par quelqu’un d’autre pour un travail satisfaisant
• Récompense intrinsèque : qui découle directement de l’accomplissement du travail et du rendement obtenu.

Conclusion

Ouverture sur le monde et les autres très importante.

Deux catégories de personnels peuvent coexister :

• Ceux qui acceptent volontairement un certain niveau de risque et soucis de performance
• Ceux qui refusent l’incertitude et qui privilégie la qualité de vie

Il faut avoir une attitude sereine et aimable envers les autres

L’écoute des autres mène à l’identification des besoins

Parler le même langage va éveiller l’attention de l’autre

Avoir des réactions émotionnelles en accord avec la situation

Point important

• La satisfaction des besoins est à la base de nos motivations
• Les motivations intrinsèques sont plus importantes que les motivations extrinsèques
• Réduire les facteurs d’insatisfaction n’est pas un levier puissant de motivation au travail
• Le sentiment d’iniquité pousse les gens à réduire leur tension

Le marketing crée-t-il des besoins ?

1. L’influence sociale

Attitude, persuasion et engagement ou comment induire du changement comportemental.

Introduction

Qu’est-ce que le marketing ?

• La face visible de l’entreprise
• Un échange (crée un bien / service dont on a besoin et l’échanger contre une partie monétaire représentant le temps et le coût dépensé pour crée le produit) satisfaire le besoin de l’individu.

Définition : L’ensemble des actions ayant pour objectif d’étudier et influencer les besoins et comportement des consommateurs et de réaliser en continu des adaptations de la production et de l’appareil commercial en fonction des besoins et du comportement identifié.

Or : l’entreprise crée elle-même des besoins complétement inutile. Tellement inutile qu’ils engendrent des gaspillages de tous ordres (alimentaire, vestimentaire, technologique)

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