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La gestion du temps

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Par   •  10 Décembre 2015  •  Analyse sectorielle  •  1 713 Mots (7 Pages)  •  835 Vues

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Mieux réussir son Cégep

350-T13-JO, gr. 00001

Julie Gagnon

La gestion de temps

Travail présenté à

Mme Martine Thibault

Département de psychologie

Collège régional de Lanaudière à Joliette

Le 1er décembre 2015


Table des matières

Introduction        

Recherche documentaire sur la gestion du temps        2

La gestion du temps au cours d’une semaine-type        

La gestion du temps au cours d’une session        6

Conclusion………………………………………………………………………….…8

Bibliographie        9

Annexe A        



Introduction

Notre temps est précieux. Nous courrons beaucoup dans la vie et nous sommes entouré de distraction toujours plus intéressante que les tâches à effectuer. Étant une étudiante au cégep à temps plein et maman de trois enfants, vous verrez dans ce travail ma perception de la gestion du temps. Dans la première partie de mon travail, j’ai fait l’analyse de la gestion de temps ainsi que de certains éléments tels que la procrastination, le perfectionnisme, la motivation et les attributions. Dans la deuxième partie, je me suis intéressée à la gestion d’une semaine en me référant à mon horaire et sa planification au travers de mes divers engagements autant scolaires que personnels. Et ma dernière partie concerne la gestion d’une session avec l’utilisation d’un calendrier et le maintien de la motivation tout au long de la session.


  1. Recherche documentaire sur la gestion de temps

1.1 La procrastination

La procrastination consiste à toujours remettre au lendemain les tâches qui nous rebutent. Cette mauvaise habitude peut causer une augmentation considérable de stress, car nous devons souvent compléter un travail la veille ou la journée même de la remise.

Pour contrer ce fléau, il existe quelques moyens dont celui de prévoir une plage horaire de 30 minutes, environ 3 jours d’avance et de planifier une période seulement à la fois. Ce moyen peut s’appliquer à n’importe quel type de tâches, pas seulement au niveau académique.   (Bégin, 1992)

1.2 La gestion de temps

Pour être capable de pouvoir bien performer à l’école, une bonne gestion de temps est nécessaire. L’utilisation de plusieurs outils peuvent nous aider à pouvoir gérer plusieurs choses à faire quotidiennement comme se faire un horaire d’avance, avec des plages horaires bien établies, autant pour les activités personnelles, que le travail ou les études.

Concilier les différentes tâches à accomplir dans notre semaine peut s’avérer difficile. Et comme la vie est souvent pleine d’imprévue, il est important de se garder des périodes tampons afin de bénéficier d’une marge de manœuvre pour être capable d’accomplir tout ce qu’on doit faire. L’utilisation d’un agenda peut optimiser l’exactitude de nos horaires puisqu’on peut y inscrire les choses à faire longtemps d’avance et lors de notre préparation d’horaire, s’y référer afin de ne pas oublier les rendez-vous ou sortie prévue longtemps d’avance. (Bégin, 1992)

1.3 Le perfectionnisme

Le perfectionnisme est une bonne chose, mais on doit bien l’équilibrer. Parfois, à vouloir que tout soit parfait, on peut se mettre beaucoup de pression et augmenter substantiellement notre niveau de stress.

Il est important de rester réaliste face à nos attentes. Espérer des notes parfaites est souvent difficile à atteindre. Mettre nos attentes à un niveau plus réalisable évite souvent d’être déçue et peut nous éviter d’être découragés. Et lorsque nous performons dans un examen ou un travail avec un résultat supérieur à ce que nous nous étions attendues, non seulement nous sommes fières, mais en plus, notre confiance en soi augmente. (Dionne, 1993)

1.4 La motivation

Dans toutes les sphères de notre vie, nos choix sont guidés par la motivation. Notre désir de vouloir bien réussir académiquement doit être poussé par notre motivation à atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. L’importance que nous accordons à nos études se reflètera dans le temps que nous consacrerons à performer. Notre attitude positive combinée avec notre motivation sont deux combinaisons gagnantes pour bien réussir.

La motivation intrinsèque peut agir selon nos prédispositions à la matière qu’on étudie. Nous serons plus enclins à étudier une matière qui nous intéresse tandis que pour celle qui nous déplait, notre motivation sera à son minimum et ce sera probablement celle que nous voudrons réviser en dernier ; tout semblera plus intéressant à faire, même le ménage.

En ce qui concerne la motivation extrinsèque, elle est plus attribuée à la pression sociale qu’on s’impose. Notre entourage peut avoir une grande influence sur nous ainsi, notre désir de vouloir plaire à tous pourra déteindre sur notre façon d’agir. Par exemple : si notre choix de carrière est en fonction des désirs de nos parents qui veulent léguer l’entreprise familiale, notre motivation à bien performer pendant nos études pourrait être diminuée. (Dionne, 1993)

1.5 Les attributions

Les attributions sont les facteurs attribués à la signification d’un comportement. On peut expliquer une réussite scolaire en attribuant des facteurs internes tels que le travail acharné qu’on a mis à étudier et qui nous a menés à une bonne note. Tandis que les facteurs externes seront octroyés aux échecs. Nous pourrions dire que de ne pas avoir passé notre examen serait dû aux mauvaises explications du professeur. Ce type d’attribution est associé à un comportement égocentrique.

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