Julien Graco publie « un balcon en forêt »
Analyse sectorielle : Julien Graco publie « un balcon en forêt ». Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar mou0055887 • 18 Mai 2022 • Analyse sectorielle • 649 Mots (3 Pages) • 440 Vues
Mounia Louradi 1G1
En 1958, julien Graco publie « un balcon en forêt » qui est un récit romancé ou il narre le voyage de l'aspirant Grange affecter dans une caserne dans les Ardennes durant l'année 1939 pour participer a ce qu'on appelle la « drôle de guerre ».
nous nous demanderons alors de quel manière le narrateur fait de la réalité un rêve lors du voyage de son personnage ?
Première partie sur l’aspect réel du voyage et dans la deuxième partie l'aspect onirique du texte et l'appel a la nature
Texte part | Procédés | Analyse |
Depuis que son train avait passé les faubourgs et les fumées de Chareville, | Depuis : indication de temps Deux mots commençant par une fricative imparfait | Deux mots renforce l'expression de fatigue et de lassitude liés a la ville, le depuis marque un passage et donc un éloignement de la ville se qui semble être positif |
Il semblait a l'aspirant Grange que La laideur du monde se dissipait : | Allegorie adj qui qualifie le monde imparfait ponctuations causale | La laideur du monde est peut être une référence a éloignement des maisons et de la ville qui la rendent laide. Les « : » introduise une causale qui renforce l'idée de la laideur causée par les maisons.mais le verbe semblait montre la rêverie de cet image,ce n'est pas réel. |
Le train était vide | Bref phrase marque l'importance du vide | Solitude et intimité |
Deversait Ces solitudes | Imparfait personnification | Lieux désertiques , intime on parle du train qui déversait ces solitudes = personnification = irréel. Image du personnage qui rêve |
Lui lavait le visage quand il passait la tête par la portière | Assonance en L imparfait | Sentiment de bien être, bonheur, sensations agréable |
étincelant, lumière dorée | Champs lexical lumiere | La lumières est irréel,éclairante, presque magique |
s’enfonçait, approfondie,creusé | Champs lexical de l'enfoncement | Descriptions du chemin, l’utilisation de ces mots gache la rêverie du personnage |
étincelante de trembles | Image adj | Les arbres rendent la vallée étincelante, image magique et irréel |
Médiocres épaulements de collines | adj | Le mots médiocre efface la rêverie du personnage |
Un vent cru déjà coupant | Le vent n'est pas caractérisée d'une manière douce, cela nous coupe dans le récit d'un paysage harmonieux | |
La voie changeait de rive capricieusement | Imparfait adj personnalisation | La rive est capricieuse on lui donne des sentiments et un comportement ce qui n'est pas possible |
Meuse semblait plus lente et plus sombre | Imparfait gradation | Retour a la réalité de son voyage |
Le seul plaisir de courir dans le soir frais | Personnalisation du train | Pour le personnage le train a pour seul plaisir de courir mais le train roule et n'a pas de pied seul les hommes peuvent pratiquer la course |
Les foret jaunes qui mordaient de plus en plus haut | Imparfait personnalisation | Les forets jaunes montrent une fascinations du personnages sur ce qu'il voit , nous sommes en automnes et les feuilles perdent leurs chlorophylle et deviennent jaunes. Personnalisation les feuilles ne peuvent pas morde car elles n'ont pas cet capacité et non pas de bouches. |
Les arbres dégageaient un étroit ruban de prairie | Metaphore imparfait | Un ruban de prairie nous montre la reverie du personnage |
Aussi nette qu'une pelouse anglaise | Comparaison (avec le ruban de prairie ) | La forêt semble vivre, harmonie du paysage |
Solitude rebondissait | Imparfait personnalisation | La solitude est un sentiment il ne peut pas rebondir, c'est l’imagination de l'aspirant grange |
Bleu tres pur de l'apres midi d'octobre | Poetique | Imagination l’après midi d'octobre sertait d'un bleu tres pur |
Rivière lente | adj | Retour a la réalité et a la lenteur du temps et de son voyage |
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