Exposé: « L’habitus et l’espace des styles de vie »

Exposé: « L’habitus et l’espace des styles de vie »

Bourdieu nous explique qu’il y existe des différences de maintien c’est-à-dire les façons dont on porte le corps, la façon dont on se porte comme notre manière de parler et de se comporter par rapport au monde social qui nous entourent. Mais il y’a aussi les aspects qui font que nos corps sont modifiables comme par exemple la coiffure ( cheveux courts, rasés ou autre), le maquillage ( décider se maquiller ou non, avoir un maquillage fourni,…), la barbe ( décider de l’a garder ou pas, de se l’a colorer,..), la moustache et les favoris. Il y a aussi les actes vestimentaires qui vont dépendre de nos moyens financiers et culturels ( par exemple privilégier des vêtements de grandes marques, porter des tenues religieuses, faire recourir aux associations telle que la Croix Rouge,..) . Ces caractéristiques forment des sens et des valeurs dans leurs positions sociales tout en ayant leur distinctions.

Le corps produit des signes comme par exemple la virilité qui se fait par rapport à la manière dont on tient notre bouche et bien dans la façon de poser notre voix cela détermine la prononciation des classes dites populaires. Pierre Bourdieu nous dit que les signes proprement physique n’existent pas ( par exemple la forme du visage ou de la bouche) sont des indices d’une physionomie dites morale qui est caractérisé socialement ayant des états d’âme « vulgaire », « distingué », naturellement nature ou naturellement « cultivés ». La manière de tenir son corps et de le présenter ce qui est communément appelé la tenue est vu comme un indice de tenue morale qui qui est le fait de laisser notre corps naturelle qui peut montrer un laisser-aller.

Pour finir sur ce passage, les propriétés corporelles sont appréhendés dans différents styles de classement sociaux qui ne sont pas indépendants de la distribution entre les classes sous différentes propriétés.

Dans la partie sans façons ou sans gêne, on nous parle des goûts en matière alimentaire qui est caractérisé selon chaque classe. Il faut donc de ce fait, comparer la manière populaire et la manière bourgeoise dans leur façon de traiter la nourriture, l’a servir, de l’a présenter de l’offrir. Cette analyse est difficile puisque penser chacun de ces styles de vie, on peut avoir une appréhension sur l’un ou l’autre. Ignorer ces mécanismes de fonctionnement alimentaire peuvent mener à des malentendus sur les enquêtes par questionnaire. Dans le cadre d’une enquête lorsque l’on cherche des jugements sur des mots ou à vouloir provoquer des réactions on obtient des réponses venant de leur excitation papillaire qui vient de leur classe sociale. L’utilisation de leurs mots telle que « soigné »montre que les classes aiment que le travail soit bien fait. Tout ceci nous montre que le langage défini pour décrire un plat  peut-être commune selon les différentes classes et peut provoquer des sens différents voir opposé.

Dans les classes populaire, au lieu de parler de franc-manger on parle de franc-parler, le repas chez eux est signe d’abondance et sous la liberté ( tout en ayant des restrictions et des limites). La liberté est définie par des plats telle que les soupes, les sauces, les pâtes, les pommes de terre qui sont associés aux légumes et qui sont servis a la louche voire à la cuillère pour éviter d’avoir à mesure et à compter comparé aux viandes. L’abondance quant à elle va toujours à la limite du possible pour les hommes ( leurs assiettes est rempli deux fois) ce qui marque un privilège du garçon au statut d’homme tandis que les femmes elles vont prendre une part ou deux ou manger les restes de la veille. Les jeunes femmes vont passer au statut de femme en commençant à se priver. L’homme doit bien manger et bien boire. Les femmes le dimanche vont toujours rester debout et les servir, débarrasser, faire la vaisselle et les hommes continuent à manger et boire.

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