LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Etude de Cas: entreprise LGT (transport)

Étude de cas : Etude de Cas: entreprise LGT (transport). Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  12 Octobre 2020  •  Étude de cas  •  717 Mots (3 Pages)  •  813 Vues

Page 1 sur 3

Etude de cas : Le cas LGT

Etude de cas LGT

  1. La société allemande LGT a opté pour un mode d’entrée basée sur la stratégie de croissance interne qui permet la création de filiale ainsi que de la croissance externe avec la fusion acquisition, celle-ci permet de regrouper deux entreprises qui bénéficient de ressources et de compétences chacune.

En ce qui concerne le processus d’intégration l’entreprise LGT a fait le choix de la Préservation :

Définition de la Préservation :

  • Faible intégration, fort degré d’autonomie de la cible
  • Faible pouvoir décisionnel de l’acquéreur limitée au rôle de financeur
  • Recherche de rentabilité

 En ce qui concerne l’entreprise il y a une très importante autonomie , ils ont encourager le maintien en place des équipes dirigeantes locales ainsi que de la conservation de la culture de chacun ( culture nationale prime sur la culture de groupe).

  1. L’entreprise rencontre des difficultés dans la création d’une identité organisationnelle en tant que groupe internationale, en effet le fait que chaque filiale conserve la culture nationale de son pays plutôt que la culture de groupe ce qui met en difficulté la création d’une identité propre au groupe en tant qu’entreprise internationale.

Aussi chaque filiale est autonome de ce fait les salariés ne sont pas poussé à évoluer à l’international, ce fait peut-être une conséquence de choix des filiales à conserver leurs culture nationale propre.

Les distances qu’elles soient hiérarchiques, culturelle ou administrative renforce l’indépendance des filiales au niveau de la culture organisationnelle.

Suite à la crise de 2008, l’entreprise LGT a lancé en 2012 une enquête internationale sur la satisfaction de ses employés, il en est ressorti que l’un des problèmes majeurs était le manque de communication dans l’entreprise mais aussi entre le siège et les filiales et à l’intérieur des filiales même

  1. Selon le modèle de Hofstede, Hofstede  et Minkov, il y a 6 dimensions de différenciations culturelle nationale qui se caractérise par :

La distance hiérarchique :

C’est le degré d’acceptation de la répartition inégale du pouvoir dans les organisations notamment par les individus dont le pouvoir est limité

Pour la distance hiérarchique, c’est en France qu’elle est la plus forte avec 68, suivi du Japon avec 54 et l’Allemagne avec 35, ce qui montre une forte différence culturelle entre le niveau de soumission au supérieur hiérarchique d’un employé dans son entreprise, on voit bien que la France a une tendance plus inégalitaire du pouvoir dans l’entreprise que au Japon mais surtout en Allemagne où le pouvoir semble mieux réparti.

L’individualisme/le collectivismes 

Cette dimension concerne les relations que les individus entretiennent avec les autres membres d’un groupe social

En ce qui concerne l’individualisme et le collectivisme, la France obtient un score de 71 montrant un fort individualisme important, présent également pour l’Allemagne avec un score de 67, contrairement au Japon avec un score de 46  ce qui trahi une tendance plus collectiviste.

La masculinité vs la féminité :

C’est la répartition des rôles entre les hommes et les femmes au sein d’une société

Pour le degré de masculinité, le Japon domine clairement avec un score de 95 montrant une société beaucoup plus masculine que l’Allemagne avec un degré de 66 ou que la France avec un score de 43 montrant une tendance vers la féminité

...

Télécharger au format  txt (4.8 Kb)   pdf (53.9 Kb)   docx (9.2 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com