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Culture Générale !                                                                 Avril Aurélien

Ce corpus de texte présente des documents assez récents, de 1999 jusqu’as 2010, passant par 4 auteurs différents, Haruki Murakami, Jean-François Dortier, Annick Dubied et Marc Lits et Thierry Paquot, les deux premiers textes parlent tous deux du dépassement du connu, du dépassement de limite, de ne plus penser, imaginer, rêver, accepter l’inconnu, s’évader de la réalité. Les deux derniers textes, quant à eux, parle principalement de l’obscurité du monde, des évènements visant à oublier les mauvaises choses, surmonté la réalité, nous pouvons donc nous poser la question si l’évasion est nécessaire pour avancer.
Nous allons donc parler premièrement du dépassement de soi, de l’imagination, de la créativité. Et deuxièmement du mensonge et de la cohésion sociale

Pouvons-nous réellement dépasser nos capacités physiques ou mentales simplement en se laissant aller,  réel ou imaginaire,  Haruki Murakami nous parle de « passer à travers » passionner par la course il explique la seule fois où il a parcouru « aux alentours du kilomètre 75 » où il dit avoir accédé une autre dimension, son corps comme évadé de la réalité, dit-il un moment extraordinaire d’une temporalité différente, plus besoin de penser, simplement du laisser-aller,  se comparent à l’extraordinaire en se prenant pour une « créature auto-mobile ».                                        

Jean-François Dortier quant à lui, dans son article nous parle de « l’imagination créatrice », il explique l’imagination et au cœur de la réalité, dans la science, le travail et la vie quotidienne, pouvant donner naissance à des inventions exceptionnelles, « Galilée n’a jamais lancé de poids du sommet de la tour de Pise pour découvrir la loi de la chute des corps » ou bien même Einstein qui déclare « penser en images ». Toutes les constructions ont d'abord été imaginées sous forme d’ébauche, toutes créations proviens de l’imagination, un travail de construction du « Mondes Possibles »,                                                                Les deux textes sont tous deux liés à la création d’un imaginaire, reliant état psychologique, comme physique, d’une créativité sans limite pouvant amener à un dépassement de soi-même assimiler à une évasion de la réalité  pour un résultat inattendu, même inconnue, « plus de penser, simplement du laisser-aller »   qui n’arrive que quand ne s’y attend pas.

        Le mensonge est -il vraiment nécessaire pour avoir une bonne cohésion sociale et à se sentir mieux dans la vie, Annick Dubied nous parle « du quotidien, des scandales, des accidents et des crimes » tous les méfaits sont dissimulés par les médias, à des fins commerciales ?

.         Sans doute mais surtout pour répondre à des besoins plus profonds, la peur du peuple ne doit pas être approvisionnée par ces nouvelles triste et horrible, ont leurs permet donc de s’évader de la réalité grâce à des shows télé par exemple, des évènements qui nous font oublier la réalité et le monde dans le quelle nous vivons.                                le divertissement du peuple est primordial pour camoufler les vrais problèmes, les drogues sont évasives, elles ont étais inventer pour profiter pour penser à autres choses,  Annick Dubied les Compart aux évènements divertissant, servant à libérer le peuple des pressions pendant un moment        Thierry Paquot pour sa part nous part de fête, il prend pour exemple la fête de la musique qui  « adoucit les mœurs », un évènement qui casse les routines, faire la fête, une manière agréable ou non de rompre avec le quotidien urbain, d’oublier la réalité quelques instants, l’histoire d’une soirée;

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