Corpus sur le thème de la mémoire

Ce corpus parle sur le thème de la mémoire.Les trois auteurs parlent des souvenirs d’enfance.les 3 textes sont à la première personne, ce qui les situe dans le genre autobiographique.

Un événement brutal : le titre, le champ lexical de la brutalité (« victime d’une agression » (l 1), « manière très brutale » (l 3), « sans que je fusse anesthésié » (l 3), « instruments tranchants » (l 12), …)

Un souvenir de trahison : des expressions régulières (« commis la faute » (l 4), « sans me dire » (l 4), « je m’imaginais que nous allions au cirque » (l 5-6), « un coup monté » (l 8), « abominable guet-apens » (l 9), « une duperie, d’un piège, d’une perfidie atroce de la part des adultes » (l 29) …)

Un regard amusé avec le recul des années porté par les figures de l’exagération (« une attaque soudaine » (l 15), « cri de bête qu’on éventre » (l 17), « l’image d’ogre que j’en ai gardée » (l 12), « la plus sauvage agression » (l 2)ceux qui est assez ironique .

Pour Proust:La mémoire fonctionne grâce au goût et à l’odorat : le parfum du thé, le goût de la madeleine. Il ferme les yeux et les souvenirs reviennent. Cela le ramène à un souvenir d’enfance chez sa tante Léonie.Le personnage est passif, il est emporté par ses sensations et souvenir concerne un événement précis

quand a Cavana la mémoire vient en écrivant. D’un seul coup, Pour lui, elle va et vient au fil de la pensée : « la mémoire ça va ça vient » (l 5), alternance passé/présent, Cavanna est actif : le passé reviendra par le travail de l'écriture. Le texte évoque le fonctionnement de la mémoire plutôt que des souvenirs.

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