Commentaire Gabriel Lambert

I. En donnant peu d’indications

II. Avec l’identité du personnage

1) Des souvenirs vague

(l. 1) « quoique », avec une conjonction de subordination, l’ auteur chercher à attirer la curiosité du lecteur en donnant des souvenirs vague .

Aussi, (l. 17) «  vague ressouvenir », le lecteur se sent confus car l’auteur émet un vague souvenir.

2) Peu d’informations

(l. 16) « j’en étais certain », l’auteur nous montre une certitude dans son histoire, le lecteur se sent curieux avec peu d’information car il veut connaître la suite de l’histoire.

(l. 19-20) «  ces physionomies […] frappe », l’auteur donne peu d’information au lecteur pour que ce dernier veut connaître la suite de l’histoire.

Ensuite, (l. 23) «  il m’était donc […] comment je l’avais vu », l’auteur donne pas d’indication de temps et de lieu.

(l. 22) « j’avais déjà vu cet homme », l’auteur nous indique qu’il à déjà vu cet homme mais n’en rajoute rien d’autre. Avec ses peu d’informations l’auteur laisse le lecteur s’imaginer une suite et laisse la curiosité et la créativité faire la suite de l’histoire.

1) Un sentiment flou

(l. 4) « Je voulais voir d’éviter mes regards », l’auteur montre qu’il examine Gabriel Lambert, il essaye de remémorer cette personne qui lui est familier.

De plus, (l. 18) « je ne voyais pas cet homme pour la première fois », l’auteur a un sentiment flou, car ce n’est pas la première fois que Dumas cet homme.

(l. 27) «  Ce nom […] je l’entendais prononcer », l’auteur admet que le nom de Gabriel Lambert ne lui revenait pas en mémoire mais pourtant son physique lui rappelait quelqu’un.

2) Une description détaillé

(l. 6) « c’était un homme de vingt-huit à trente ans », l’auteur permet au lecteur de se protéger avec des descriptions détaillés et précises du personnage.

Mais encore, (l. 13) « des sept péchés capitaux », l’auteur nous montre que les sept péchés capitaux nous rattache à ce personnage ce qui favorise notre identifications, dont la paresse.

(l. 10-11) « Ses yeux […] d’aucune expression » L’auteur utilise beaucoup de description pour que le lecteur imagine le personnage de Gabriel Lambert, et devient plus curieux.