Cas FESTYVET

1- Jean-Marc Barbier disposait des qualités requises pour créer l’entreprise Festyvet, en effet il a su se démarquer et faisant ses preuves dans une entreprise de prêt à porter et grâce a ça il a gravi les échelons jusqu'à devenir directeur commercial. Monsieur Barbier attache beaucoup d’importance aux clients et de plus il croit à l’innovation marketing, il a su aussi prendre des risques. Il reflète alors le portrait de l’entrepreneur selon Shumpeter.

2- Il n’y a pas de profil type de créateur d’entreprise, cependant traits de caractères sont indispensable, effectivement ils doivent avoir comme qualité personnelles un esprit volontaire, être dynamique, être optimiste, faire preuve d’innovation et avoir un certain courage pour prendre des risques. Il doit pouvoir travailler en équipe en s’entourant, faisant confiance et déléguant tout en dirigeant mais en écoutant et motivant.

3- La franchise est un contrat de distribution qui associe une entreprise, propriétaire d’une marque ou d’une enseigne, le franchiseur, à un ou plusieurs commerçants indépendants, les franchisés. En contrepartie d’une rémunération directe ou indirecte, le franchiseur met à la disposition du franchisé sa marque et/ou son enseigne, ses produits, son savoir-faire et une assistance technique. La franchise a été une solution judicieuse pour le développement de l’entreprise Festyvet car elle a dû surmonter le manque de financement, de plus cela lui a permis d’être présent sur tout le territoire, de gagner en compétitivité et de mettre en place au niveau national des publicités et des promotions.

4- La gestion de l’entreprise Festyvet par Jean-Marc Barbier est déséquilibrée car des signes de ralentissement apparaissent. Monsieur Barbier crée de nouvelles opérations marketing mais qui mobilisent beaucoup de ressources financières. Il est désormais difficile de démontrer leur rentabilité, alors l’entreprise a quelques problèmes d’organisation et d’argent.

5- Le directeur général s’investi dans toute l’entreprise, et a beaucoup de pouvoir.

Le recrutement d’un directeur général permettrait que Jean-Marc Barbier tempère sa fougue d’entrepreneur et de mieux réguler l’entreprise. Il serait alors ainsi mieux organiser et pourrait compter sur quelqu’un au niveau de ses choix, ses demandes, ses idées …

6- L’entrée dans le capital social de nouveaux actionnaires va permettre d’assurer le développement et la pérennité de l’entreprise, tout en assumant chaque choix stratégique mise en place, chaque innovation et chaque risque liés à l’exploitation ; ici les actionnaires font alors partit d’une logique entrepreneuriale.

Le directeur général fait partit d’une logique managériale car c’est lui qui va en quelque sorte « contrôler » tous les faits et gestes du dirigeant tout en le conseillant sur certains points, on peut le considérer comme son bras droit.

L’intérêt d’associer ces deux logiques est que tout simplement l’une ne va pas sans l’autre, ils vont pouvoir conquérir de nouveaux marchés, lancer de nouvelles activités ou encore faire face à un environnement hostile ou instable.

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