BTS CGO P4

La principale fonction de cette activité faisait appel à des connaissances de première année, plus précisément du processus 7.Cette activité était principalement basée sur l’analyse des coûts. Il a été intéressant de faire appel à des connaissances déjà vues et de pouvoir les appliquer. La principale fonction que j’ai appris durant cette activité est la macro, en effet, elle ne sert pas vraiment pour une petite activité scolaire, mais on peu imaginer que pour les grosses entreprises, la macro est vraiment un gain de temps et très utile car elle permet de recopier les feuilles de calculs d’un classeur et donc d’automatiser pour d autre périodes. D’un autre coté ce qui nous a posé le plus de problèmes, est le schéma de production, nous avons trouvé qu’il était complexe, il comportait beaucoup d’informations, mais nous était nécessaire pour réalises les calculs de coûts

1) Vos chiffres pour les deux mois étudiés illustrent-ils le phénomène d’augmentation des coûts décrit ? Justifiez.

Le beurre de cacao est produit à partir de fèves de cacao. Ces fèves passent par l’atelier Concassage où les grains sont séparés de la coque. Ensuite, les grains passent dans l’atelier Torréfaction où ils sont grillés. Puis, ils passent finalement dans l’atelier Broyage où ils sont broyés et ainsi transformés en pâte de cacao. Pour finir, l’atelier Pressage sépare la pâte de cacao en beurre de cacao (partie liquide) et en tourteaux (partie solide).

La chocolaterie Cochet a acheté 152 sacs de fèves en Mai 2000 et 140 sacs en Juin 2000. Elle a diminué ses heures de main d’œuvre pour les ateliers Concassage (de 95 à 75 heures), Torréfaction (de 90 à 75 heures) et Broyage (de 90 à 70 heures). Alors que pour l’atelier Pressage, pour la production du beurre, elle a augmenté ses heures de main d’œuvre, elle est passée de 85 à 100 heures.

On s’aperçoit que le coût de production du beurre de cacao augmente entre ces deux mois, il passe de 5,18 € à 6,60 €.

2) Recherchez des informations sur la législation sur le chocolat.

Nouvelle législation proposant d'introduire des matières grasses végétales dans la fabrication du chocolat.

TVA à 18,6 % au lieu de 5,5 %

Selon une étude réalisée par la SOFRES, plus de 8 français sur 10 jugent "incompréhensible" et "injuste" que le chocolat et les confiseries soient taxés à 20.6%, tandis que les autres produits alimentaires sont taxés à 5.5%.

La TVA et le chocolat

TVA à 20,6 % sur le chocolat : une exception malheureuse

La quasi-totalité des chocolats est taxée à 20,6%, tandis que les autres produits alimentaires sont taxés à 5,5%.

Actualité TVA

Le chocolat noir menacé par une augmentation de la TVA de 5,5% à 20,6%

Le taux de TVA pratiqué sur le chocolat noir était jusqu'à présent de 5,5%. L'administration française a brutalement modifié son interprétation des textes pour le faire passer à 20,6%.

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