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ADM 1013 Comportement organisationnel

Dissertation : ADM 1013 Comportement organisationnel. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Décembre 2020  •  Dissertation  •  8 250 Mots (33 Pages)  •  542 Vues

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ADM 1013

Comportement organisationnel

Fichier-réponse

Travail noté 2

Série 10

25 points

2

Feuille d’identité

Consignes

  1. Remplissez soigneusement cette feuille d’identité.
  2. Commencez votre travail à la page suivante, à la suite de la feuille d’identité.
  3. Sauvegardez votre travail de cette façon : ADM1013_TN2_S10_PRÉNOM_NOM.
  4. Utilisez l’outil de dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre personne tutrice.

Commencez la rédaction de votre travail à la page suivante.

[pic 1]

Table des matières

1.

Résumé des faits…………………………………………………………….1

2. Identification du problème…………………………………………………..3

3. Identification des causes du problème…………………………………….4

4. Inventaires des solutions possibles………………………………………12

5. Choix de la solution………………………………………………………..15

6. Justification de la solution…………………………………………………19

Bibliographie ……………………………………………………….………….21

1. Résumé des faits

                   Dans le texte suivant, je ferai l’analyse du cas « LES NOUVEAUX QUOTAS DE RENDEMENT[1]». Cette analyse de cas concerne une entreprise qui produit des câblages électroniques pour des contrats tel que l’entreprise Atlantique Électrique. Celle-ci fait appel à notre expertise afin de mieux comprendre pourquoi les employés ont une difficulté à atteindre les quotas de production demandés.

C’est d’ailleurs lors d’une rencontre informelle, une partie de poker amicale sur l’heure du dîner entre quatre employés, Paul, Steve, Denis et Jacques, que ceux-ci en profitent pour discuter de leurs préoccupations et de leurs craintes au sujet des nouveaux quotas demandés par la direction. Tous étaient d’accord pour dire que la nouvelle demande est trop exigeante et quasi impossible à atteindre. Paul, qui est à l’emploi de l’entreprise depuis maintenant cinq ans, considère cette nouvelle demande comme de l’exploitation « il y a cinq ans, nous étions censés faire le câblage de trois appareils à l’heure. Maintenant, il faut en faire huit. [2]»

Maintenant,   il   faut   en   faire   huit.  Ils   ne   paient  pas   beaucoup   plus   pour  autant.   Je   pense   que   c’est

dégueulass».

Bien que les exigences soient plus élevées, le salaire n’en est pas pour autant et les employés semblent être à bout de souffle. Ils se sentent exploités, méprisés et forcés à produire excessivement. Pour sa part Denis, un employé qui a l’habitude d’être plutôt discret, exprime à ses compagnons son anxiété « Je ne suis pas sûr d’y arriver même si j’essaie, et je suis diablement certain de ne pas vouloir essayer. Ils peuvent la reprendre leur saleté de job s’ils la veulent [3]».

ne pas vouloir essayer. Ils peuvent la reprendre leur saleté de job s’ils la veulent.

Jacques, le plus ancien des quatre employés, avoue à ses collègues qu’il a discuté avec un ingénieur de la compagnie et que l’ingénieur lui a montré une nouvelle méthode d’assemblage. Avec cette méthode, ils épargnent six minutes d’assemblage électronique par appareil. Malgré cela, Jacques ne veut pas que l’ingénieur instaure cette nouvelle méthode afin de rester solidaire aux autres employés. Il croit que s’il produit comme la direction le veut, certains employés n’en seront pas capables et perdront leur emploi. « Huit, c’est possible, mais je crois que certains vont perdre leur emploi si chacun de nous le fait [4]».

Quelques jours suivants la discussion, Gaston le contremaître, fut sollicité par le directeur de l’usine pour une rencontre. Ce dernier a alors mentionné qu’il se demandait si l’engagement et le délai de livraison envers l’entreprise Atlantique Électronique allait être respecté. Gaston lui avoua que ses quotas étaient trop élevés et que ses employés ne fournissaient pas assez. Les employés ne réussisaient qu’à produire six et demi ou sept câblages au maximum. Il expliqua que Jacques, le doyen des employés, n’était pas plus productif et ce, malgré les nouveaux gabarits que les ingénieurs ont conçus. Bien entendu, le directeur n’était pas ravi d’apprendre cela. D’après lui, ce contrat est vital et un moyen doit être mis en place afin de répondre aux quotas de rendement. Si les quotas ne peuvent être atteints, quelques ouvriers risqueront de perdent leur emploi. Les problèmes budgétaires entrent en cause également et le directeur se questionne à savoir si les employés essaient réellement d’augmenter leur production. Gaston lui suggéra une prime au rendement et ce, même s’il n’était pas certain que la motivation et le rendement des employés augmenteraient. Ils doivent absoluement produire les quotas demandés afin d’honorer leur engagement et respecter le délai de livraison avec leur client Atlantique Électronique. Advenant leur non-respect de l’engagement, il y aura beaucoup de conséquences négatives pour l’entreprise dont la perte d’emploi et les pertes financières qui s’accumuleront dû à l’insatisfaction des clients qui ne reviendront probablement pas.

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