BTS SAM culture générale

La vitesse passionne, souvent associée à l’argent ; « Time is money » de Benjamin Frankiln, elle est un phénomène d’accélération qui n’est pas sans poser de grave conséquence, car souvent en voulant être maitre du temps l’homme en devient esclave.

Selon Vittorio De Filippis dans son article « 2028, les robots font valser le CAC » publier dans le journal Libération le 23 janvier 2018, le journaliste laisse entendre que les robots sont un risque pour l’économie mondiale cette idée est conforté par Edouard Pflimlin et Laurent Checola dans leur article « L’essor vertigineux du trading algorithmique » publié dans le journal Le Monde le 21 janvier 2011. Plus de 100 ans auparavant Emile Zola, évoque l’ambiance d’une place boursière dans son ouvrage L’Argent, Chapitre VI publier en 1891 cet image et prolongé par la photographie (document 4) de ce corpus. Quel impact l’innovation technologique a sur le monde de la finance ?

Le trading algorithmique s’est limite et son impact sur l’emploi.

Dans le monde des finances les robots ont une place de plus en plus importante mais l’utilisation de ces dernières comportes des risques.

D’après V. De Filippis les robots sont un symbole de crise financière, dans son article écrit dans un genre littéraire d’anticipation il met en avant ce que sera le système de l’économie en 2028. Un système géré par les robots et l’algotrading, qui pour lui représente un risque pour l’économie.

Cette vision futuriste est partagée par E. Pflimlin et L. Checola lorsqu’ils évoquent le Flash Crash du 6 mai 2011 à la bourse de New York, pour ces auteurs les stratégies de trading algorithmique sont utilisé par plus de 70% des places boursières aux Etats-Unis. Cette utilisation en masse des robots implique pour eux une bataille souterraine ; celle de la recherche technologique afin de gagner quelques secondes sur les concurrents notamment les européens qui n’ont pas autant développé l’utilisation des robots dans leur place boursière.

E. Pflimlin et L. Checola évoquent la puissance de l’algotraining qui se trouve plus efficace que les traders humains qui font parfois des erreurs face à des enjeux importants, V. De Filippis complète cette idée comme cause qui a entrainé le remplacement des traders « humains » par les robots. Cependant les trois auteurs sont en accord avec le fait que les robots peuvent eux aussi faire des erreurs, cette idée est souligné par l’imagination d’un futur contrôlé par l’hyper puissance informatique dans lequel l’économie financière sera contrôlée par des robots devenu hors de contrôle manipulant jusqu’à la domotique des maisons et contrôlant aussi tout opération financière.

Cette puissance informatique a modifié l’ambiance des places boursières.

Le développement des robots sur les places boursières a eu un impact sur l’emploi des traders. Dans l’œuvre d’E. Zola (1891) la place boursière est décrite comme une place bondé de monde ou tout le monde est à l’affut du moindre mouvement financier. Si on en croit V. De Filippis en 2000 il y avait 600 traders dans la salle de marché de Goldman Sachs et en 2018 il n’y en aurait plus que 2, Les autres auraient été remplacé par les robots. Au fil des années l’hyper puissance informatique a donc fait ses peuvent est a remplacer les traders par les robots. Le constat fait par V. De Filippis et conforté par la photo du document 4, montrant des hommes face à des écrans dans une place boursière dans laquelle les ordinateurs prennent beaucoup d’espace poussant les hommes à se regrouper, a presque se marcher dessus.

 La bourse passion elle semble être un jeu excitant les foules.

Dans son œuvre E. Zola raconte et décrit une scène mémorable dans laquelle le protagoniste Saccard se sert habilement d’une information obtenue par une indiscrétion. Cette information est la paix à en devenir suite à une bataille entre l’Italie et l’empire austro-hongrois. Cela lui permet d’acheter beaucoup d’actions et de réaliser une plus-value exceptionnelle. Le coup de maitre fait par Saccars s’apparente à un coup de poker, c’est d’ailleurs cette image de joueur de casino qu’évoque la photographie du corpus car même si l’informatique et le numérique prennent de plus en plus de place dans le système économique, les hommes restent passionnés par ce jeu excitant.

L’innovation numérique à modifié le monde la finance. Parfois synonyme de risque elle a néanmoins permis de réduire les pertes au fil des années et a réussi à faire ses preuves puissent qu’elle s’est développer dans le monde entier. Si la pratique de l’algotrading est aujourd’hui monnaie courante sur les places boursières, la vitesse accrue des échanges qu’elle permet interroge : Qui maitrise aujourd’hui les mouvements boursiers et quelles en sont les conséquences ?

Selon vous l’accélération de la diffusion numérique des données représente elle un danger ?

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