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Analyse d'activité professionnelle dans un service de consultation ORL

Étude de cas : Analyse d'activité professionnelle dans un service de consultation ORL. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Décembre 2020  •  Étude de cas  •  1 013 Mots (5 Pages)  •  616 Vues

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ANALYSE DACTIVITE PROFESSIONNELLE

Présentation :

J’ai effectué un stage de 5 semaines dans un service de consultations ORL ( oto-rhino-laryngologie.) Qui est Spécialité dans le domaine des oreilles du nez de la gorge du larynx et sous

présentation du courrier du médecin généraliste.

Analyse de soin :

J’ai choisi de vous parler d’une prise de sang pour rechercher le gène de surdité chez une patiente, car ses 2 enfants étaient malentendants, ces examens sanguins sont complémentaires, cette patiente et ses enfants ont fait une IRM, et on vu un audiomètre.

J’entame actuellement ma troisième semaine de stage nous sommes dans la matinée quand l’infirmière de service m’annonce qu’il y a une prise de sang à faire, l’infirmière me dit que je vais faire seule la prise de sang car j’avais déjà pratiqué 3 jours auparavant, elle me demande donc de sortir le matériel que je dois utiliser et d’appliquer les règles d’hygiène nécessaire pour réaliser cet acte. Avant toute chose nous sommes rentrés dans le box de consultation de Madame X je me suis présenté en tant étudiante infirmière de première année je lui ai demandé si cela ne la dérangeait pas que je fasse moi-même la prise de sang. Après l’accord de cette dernière je me suis lavé les mains au savon doux et à l’eau en respectant la règle des 5 temps appris et pratiquer lors de ma formation et de mon stage précédent, puis je me suis munis d’un plateau que je désinfecte à l’aide d’une lingette désinfectante. Je m’occupe ensuite de prendre le matériel dont j’aurais besoin pour piquer la patience c’est-à-dire un garrot une tulipe une aiguille de petite taille qui est de couleur bleue 2 billes de coton stérile un petit flacon de Bétadine jaune puis je prépare une paire de gants en nitrile à usage unique. Une fois mon matériel mis en place je regarde la prescription du médecin je vérifie l’identité du patient avec lui en lui demandant de me donner son nom son prénom ainsi que sa date de naissance et de les épeler. Je prépare un tube violet pour la recherche NFS ainsi qu’un tube gris pour la CRP.

J’effectue un FHA, j’ouvre mon sachet de coton je mets de la Bétadine de couleur jaune pour aseptiser la zone de prélèvement.

Premièrement je mets le garrot en le croisant de façon à pouvoir le retirer facilement par la suite, je cherche ensuite à l’aide de mon index une veine au pli interne du coude, je demande au patient de serrer le poing et de tendre le bras pour pouvoir bien sentir la veine ainsi que sa trajectoire, une fois celle-ci trouvé je peux commencer à désinfecter la zone de prélèvement à l’aide du coton imbibé de Bétadine en utilisant la méthode de quadrillage pour aseptiser la peau, c’est-à-dire frotter énergiquement mais délicatement la peau de façon horizontale puis de façon verticale à plusieurs reprises, je laisse la Bétadine sécher pendant 30 secondes, pendant ce temps-là j’en profite pour effectuer un FHA, et mettre des gants en nitrile à usage unique.

J’ai tout d’abord commencer à saisir l’aiguille que j’avais préalablement emboîter dans la tulipe, à l’aide de ma main gauche je tenais ma veine, et avec la main droite j’ai pénétré l’aiguille à l’intérieur de la veine en m’assurant d’effectuer un angle de 35 degrés, l’infirmière m’a dit de bien enfoncer mon aiguille pour qu’elle soit plus stable, j’ai ensuite pris un tube de prélèvement que j’ai glissé à l’intérieur de la tulipe, une fois que ce dernier était rempli au deux tiers je l’ai délicatement retirer pour pouvoir insérer le deuxième tube. Une fois le prélèvement réalisé j’ai retirer le garrot du bras de la patiente, puis retirer mon Aiguille du bras de la patiente à l’aide de ma main droite pendant qu’avec ma mains gauche j’ai pressé le point de prélèvement à l’aide d’une compresse stérile, et me suis directement débarrasser de l aiguille en la mettant dans une boite Dastri. J’ai ensuite demandé à la patiente de tenir ce coton pour que je puisse lui mettre un bout de sparadrap.

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