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Les femmes et le secret

Analyse sectorielle : Les femmes et le secret. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Février 2019  •  Analyse sectorielle  •  389 Mots (2 Pages)  •  1 319 Vues

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Lecture analytique :découpage de texte

Jean de La Fontaine, Fables, « Les Femmes et le secret »

v 1 à 2 => le narrateur débute avec la morale. La morale « Rien ne pèse tant qu’un secret ; Le porter loin est difficile aux Dames » fait comprendre que les femmes ne peuvent pas garder un secret, elles vont toujours aller le répéter. Quand on garde le secret loin des femmes il sera gardé.

V 3 à 6 => le narrateur toujours. Il explique dans ce passage que les hommes le savent, la morale est généralisé mais n’empêche pas les hommes d’éprouver leurs femmes, de les manipuler.

V 6 à 10 => discours directe. L’Homme dit à voix haute qu’il a pondu un œuf, il abuse de la naïveté de sa femme et la teste. Il précise donc « Enfin n’en parlez pas. », il est donc menteur et en profite pour manipuler sa femme.

v 11 à 18 => le narrateur intervient. Expliquant ici par ces mots « La femme neuve sur ce cas », « crut la chose » « indiscrète et peu fine », les femmes sont donc ici décrites comme stupides, crédules et naÏves. Malgré qu’elle promet de se taire elle va tout de même aller faire sa commère.

V19 à 25 => discours directe. La femme part voir sa voisine et avant de lui dire précise qu’il faut qu’elle garde le secret car elle ne devait rien dire et de ne pas « publier le mystère » . Elle raconte donc que son mari a pondu un œuf, ici la naÏveté de la femme est représenté par la crédibilité du mensonge qu’elle va répéter sans réfléchir, la femme se fait passé pour une ridicule sans s’en rendre compte.

V 26 à 29 => le narrateur parle, discours indirecte. Bien évidemment ici on comprend que la deuxième femme ne gardera pas le secret pour elle et va aller le répéter, de plus elle va amplifié l’histoire en disant que l’homme en avait pondu trois plutôt que deux.

V 30 à 36 => toujours le narrateur. La rumeur se propage de bouche à oreille et s’amplifie de plus en plus. Le nombre d’oeuf se multiplie au cours des femmes qui racontent aux autres « Ils se montaient à plus d’un cent ». La femme est donc caractérisé comme commère et bavarde. La situation montre aussi que les chosent dites sont souvent des rumeurs surtout amplifiées par le monde.

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