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Commentaire littéraire Diane étant en l'épaisseur d'un bois

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Par   •  7 Février 2023  •  Commentaire de texte  •  1 563 Mots (7 Pages)  •  2 247 Vues

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 Axe 1 : La place de l’amour dans se poème- sous axe 1 : le rapport avec la mythologie sous axe 2 : Le rôle de l’amour dans ce texte

Axe 2 : Les procédés d’écritures- sous axe 1 : La versification sous axe 2 les figures de styles

Le pétrarquisme apparus au 14ème siècle partisans et défenseur de l’amour mondain et galant et de la passion inquiète et idéal. Cette façon d’écrire l’amour publier pour la première fois par Pétrarque influença tout les poètes d’Europe dont la Pléiade et les Lyonnais Maurice Scève et Louise Labé.

Aujourd’hui précisément nous allons avoir le loisir de découvrir  une des œuvres les plus célèbres de la Poétesse Louise Labé.

 En pleine renaissance vers l’écho du 16ème siècle elle publie son poème «Diane étant dans l’épaisseur d’un bois...» qui  encore inspire et illustre la complexité de l’amour  a travers maintes allégories et sous-entendues.

Moult interrogation se bouscule à la suite de cette introduction mais la plus attrayante est selon la vision que donne Louise Labé de l’amour dans son écrit.

Tout d’abord ce sonnet décris une scène mythologique d’un passé lointain ou une jeune Nymphes disciple de la Déesse de la chasse comme le montre le titre « Diane étant dans l’épaisseur d’un bois » s’en vas se promenant sur les sentiers après une longue traque à la bête se retrouve agresser en plein sentier par un inconnue. Évidement au premier abord nous pouvons constater que l’amour ici n’est pas vraiment mis à l’honneur voir sans rapport avec ce texte de mythologie ancienne. Louise Labé ici mélange les style pétrarquisme et mythe se confonde et ne forme qu’un.

Les Nymphes et Diane sont chez les Grecs un groupe de femmes vierges fortes et indépendantes aussi habiles à la chasse qu’au maniement de l’arc. Elles passent généralement leurs journée à chasser  comme le traduit l’expression « Après avoir mainte bête assénée » (vers.2), puis le joyeux groupes s’en vas se reposer près de leurs chef « Diane étant en l’épaisseur d’un bois [] Prenait le frais de Nymphes couronnée » (vers.1 à 3) La narratrice ici Louise Labé qui incarne une des disciple de la Déesse s’écarte du groupe comme à son accoutumé comme nous l’explique le vers « j’allais rêvant, comme maintes fois » (Vers. 4).  L’emploie du champ lexical répétée de la mythologie « Diane » (vers. 1 et 7), « Nymphes-Nymphe » (Vers. 3 et 4)   plonge le lecteur dans le cadre spatio-temporelle ancien de la Grèce Antique, par le vocabulaire employé et encore plus précisément le lecteur vie la scène à travers la Nymphe vagabonde et se vois embarqué lui aussi sur les sentiers de forêt grec ou la narratrice se rend.  « J’allais rêvant comme maintes fois, Sans y penser, jouis une voix qui m’appela…. » (Vers.3,4 et 5) ce vers transition importante dans l’histoire décris une action ou un nouveau personnage encore inconnue se mêle et s’introduit dans le récit, il se lance dans une long discours après avoir hélé la jeune Nymphe « Qui m’appela, disant : Nymphe étonnée, Que n’est-tu vers Diane tournée ?[]Qu’as-tu trouvé, ô compagne, en ta voie, Qui de ton arc et flèches ait fait proie ? » (vers 6 à 10), cette extrait relate les premières parole du nouvelle arrivé qui assaillit notre personnage principale de question provoquant ainsi chez elle une sourde colère qu’elle exprime par cela « Je m’animais, réponds-je, à un passant » son animation et ça colère envers l’effronté qui se permis une t-elle familiarité avec elle l’excéda et la jeune créature en vint au armes comme le décris le vers suivant « et lui jetait en vain toutes mes flèches et l’arc après »(Vers 111 et 12,13) cela traduit également la force de l’adversaire qu’incarne le nouveau venue. L’ennemie ne se démonte point outre mesure et riposte par les mêmes armes comme l’explique le vers suivant « Et l’arc après ; mais lui les ramassant, et les tirant » (vers 13 et 14) s’attaque directement à la nymphe se servant de son arc et ses flèches lui infligeant plusieurs blessure comme l’indique le dernier vers « Et les tirant, me fit cent et cent brèches » ce qui implique aussi une vulnérabilité face au assauts de l’inconnu pour le personnage principal.

 

Ce poème mythologique est dans son ensemble le récit de l’aventure de la poétesse qui incarne son personnage  mais en même temps Louise Labé se sert de son histoire comme un voile pour recouvrir les véritable sens du poème et ces références au pétrarquisme et à l’amour .

Dans le 19ème sonnet de la poétesse lyonnaise ou la créature mythologique se fais assaillir de coup après avoir échouer son attaque. Nous parlons ici énormément de la chasse et de la traque dont le vocabulaire et champ lexical est régulièrement utiliser « bête » (vers 2), « assénée » (vers 2), «Diane »(vers 1), « arc »(vers 8,10 et 13), « carquois » (vers 8), « flèches » . C’est innombrables références ne sont point employées sans raison, Labé ici en plus de son récit poétique se joue à sous-entendre la souffrance amoureuse à travers la violence de la chasse, elle illustre ces propos avec son vers « Et les tirant, me fit cent et cent brèches » ou elle laisse entendre la souffrance de l’amour. Ces références au tire à l’arc laisse deviner derrière l’anonymat du personnage secondaire les traits de Cupidon le Dieu de l’amour connue pour son habilité au tir à l’arc et dont les flèches ne blesse que le cœur  amoureux. L’Auteur par cela exprime son point de vue de l’amour qui n’est autre que la douleurs et la souffrance qu’il peut provoquer, la soudaineté de l’attaque,l’empressement et la confusion qu’il provoque reflète avec une certaine finesse les caractéristiques de la passion amoureuse et l’impuissance des êtres face à sa puissance et qu’armé ou non l’amour est plus fort que l’homme. « Et me voyant sans arc et carquois » (vers 8) ce vers qui suis les premières paroles de l’étranger cherche a montrer que l’amour tombe sans crier garde en moment de répit. De plus

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